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Noms de lieux * Anoioù lec'hioù

Noms de personnes * Anaoioù tud

Breizh

Bretagne

Bro-Wened

Pays de Vannes

  Kiberen

Quiberon 

 

pajenn bet digoret an 26.11.2013 page ouverte le 26.11.2013     * forum du site Marikavel : Academia Celtica  dernière mise à jour 05/07/2019 22:11:36

Définition : commune de la Bretagne historique, en Bro-Wened, évêché de Vannes.

Aujourd'hui dans la région économique dite 'de Bretagne', département du Morbihan, arrondissement de Vannes; chef-lieu de canton;.

Superficie : 883 ha.

Population : 1100 'communiants' vers 1780; 2000 hab. en 1863; 2922 hab. en 1886; 2884 hab. en 1891; 4808 hab. en 1982; 4647 hab. en 1996; 5073 hab. en 1999; 

Armoiries, blason :

* Éditions Flohic : 

* Froger et Pressensé : "d'azur à une ancre d'or, habillée et flammée de même, la voile chargée de trois fleurs de lys de gueules; au chef cousu de gueules à l'hermine passante, colletée et à l'écharpe flottante de Bretagne".  D.M 1974. Concepteur Loïc Ermoy. Quiberon, ville maritime appartenait au fief de Vannes. Les lys sanglants rappellent les massacres de Quiberon en 1795.

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* JC Even : "e glazur e eor en aour, goueliet ha flammet ivez en aour, e c'houel karget gant teir fourdilizenn e gul; e c'hab gwriet e gul, e erminig tremenant, gwakoliet gant (e)ur skerb nijant a Vreizh"

Paroisse : église sous le patronage de Notre-Dame de Locmaria.

NB : compte tenu de l'importance du sujet et de sa documentation, une page spéciale sera ouverte à propos du débarquement royaliste de 1795

Histoire :

* Ogée (1780) : Quiberon; presqu'île; à 7 lieues au S.-O. de Vannes, son évêché; à 27 lieues 2/3 de Rennes, et à 5 lieues d'Auray, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1100 communiants. La cure est présentée par l'abbé de Saint-Gildas de Rhuys. Cette presqu'île ne tient plus au continent que par une langue de terre, qui, sous le fort Penthièvre, bâti à l'entrée de Quiberon, n'a pas vingt-cinq toises de large et presqu'aucune élévation au dessus du niveau de la mer. Une partie de cette langue de terre est couverte d'eau à marée haute, et le passage n'est praticable, pour se rendre à Quiberon, qu'à marée basse. La rade de Quiberon est aussi vaste que sûre, elle offre partout un bon mouillage; c'est une espèce de golfe, dont les deux caps les plus avancés sont la pointe de Quiberon et celle de Saint-Gildas. Le seul port de Quiberon est le port Haliguen, fermé par un môle en pierres sèches, et ne pouvant recevoir que des bâtiments de cent cinquante à deux cents tonneaux. — Quiberon était riche et peuplé de bons navigateurs. Des vingt-deux villages que contient la presqu'île, les Anglais en brûlèrent onze, en 1746, ainsi que tous les bâtiments qu'ils trouvèrent dans les havres ou à la côte; à peine, depuis ce temps, a-t-on pu rebâtir les villages; et aujourd'hui la petite marine de Quiberon, réduite à trente-six chasse-marées, ne reviendra de long-temps à l'époque brillante où, avec ce même nombre de chasse-marées, elle mettait en mer jusqu'à quarante bâtiments de soixante à deux cents tonneaux. Les Anglais, qui ont la réputation de guerriers généreux, la démentent souvent quand ils sont intéressés à détruire des établissements de commerce et d'industrie. Le roi vint au secours des malheureux qu'ils avaient ruinés; il accorda des sommes pour leur être remises, mais ils se plaignent que ces grâces, arrêtées dans leur course, n'ont pu arriver jusqu'à eux. — La seule défense de Quiberon consiste en quelques batteries répandues sur la côte, et dans le fort Penthièvre, qui ne peut empêcher l'ennemi de ruiner la presqu'île, mais qui peut lui fermer le chemin du continent.— Le peuple de Quiberon est d'une plus belle espèce que celui de toute cette côte. Un air de santé, de gaîté, de propreté, lui est apparemment donné par l'aisance et la propriété. Ses maisons sont bien bâties, presque tous ses habitants sont propriétaires; les portions de terres y sont prodigieusement subdivisées, et par cela même le territoire général est d'un plus grand produit. Heureusement pour cette honnête peuplade, on n'y voit que deux ou trois fermiers. Le roi, comme propriétaire foncier de Quiberon, prélève un quart des récoltes. Henri IV avait exempté de cette énorme redevance beaucoup de terres qu'il avait réduites à ne payer que le douzième. Les incendies allumés en 1746 par les Anglais ont fait perdre aux habitants les titres de la concession de ce bon roi. D'autres terres avaient eu la faculté de racheter toutes leurs redevances; et, totalement libérées, on les connaissait sous le nom de terres quittes. Aujourd'hui les unes et les autres sont indistinctement forcées à payer au seigneur cette première redevance d'un quart de leurs récoltes. La pêche de la sardine se faisait autrefois sur la côte de la rade de Quiberon, et dans les parages voisins, jusqu'au Morbihan. Le poisson préfère aujourd'hui ceux de Belle-Isle et de Groais. Beaucoup de presses, bâties à Quiberon, et sur les bords de la baie de la Trinité, en Carnac, près de Kernavest, sont tombées en ruines. Ainsi doivent disparaître toutes les puissances fondées sur un commerce fugitif; il n'y a de stable que celles qui ont des richesses foncières, une grande abondance de matière première dont les peuples éloignés ont besoin, et qui ne peuvent naître chez eux. La puissance des Anglais, si fort accrue par le commerce, est donc plus précaire que jamais; et, après la période leurs colonies, on pourrait calculer le moment où elle doit s'évanouir. Ce moment s'accélérerait avec une grande vitesse, si des nations tributaires de son commerce voulaient s'efforcer d'imiter son industrie. — On déclame beaucoup contre la variété de nos modes; je ne déciderai point si c'est bien ou mal à propos: j'observerai seulement que sur toute cette côte de Bretagne, il n'est pas deux villages dont le costume, surtout pour les femmes, soit semblable : leurs habillements et leurs coiffures, qui ne sont pas toujours de bon goût, n'en sont pas moins chers. Les marchés des villes voisines, où affluent les habitants de ces côtes, offrent, en ce genre, un spectacle très-bizarre et très-varié. La fortune ne les fait pas encore quitter leur costume, et la seule différence entre les habits de la femme d'un colon riche et d'un colon moins opulent consiste en ce que les uns sont de soie quand les autres sont de laine, mais tous sont de la même forme. — A la vue de tous les parages et de la chaîne de rochers qui semble lier ensemble les îles de Hédic, Houat et Quiberon, on ne peut guère douter que toutes ces terres, et peut-être même Belle-Ile, n'aient fait autrefois une ou plusieurs presqu'îles du continent de la Bretagne. Je dis presqu'île, parce qu'il a toujours fallu des issues aux rivières d'Auray, de Vannes et de la Vilaine; et qu'en les réduisant à un seul débouché, il paraît qu'il a toujours été dans l'espace qui existe entre Hédic et la pointe de Piriac. — Le prieuré de Quiberon fut rétabli, en 1037, par le duc Alain III, qui le donna à l'abbaye de Saint-Sauveur de Redon, de laquelle il passa depuis à celle de Saint-Gildas de Rhuys, qui le possède encore, et qui en nomme le recteur ou prieur. Depuis sa sécularisation, ce prieuré fut détruit par les Normands, et les cruautés de ces barbares avaient jeté une telle épouvante parmi les habitants du pays, qu'on fut obligé, long-temps après, de rappeler à Redon un prieur de cette nation qu'on y avait établi, parce que son origine effrayait tout le monde. En 1705, on vit un homme marin entre l'île de Belle-Ile et Quiberon : il fut aperçu par des pêcheurs. Le Père Henriquez, jésuite, en t'ait mention. On remarque dans cette presqu'île plusieurs de ces pierres énormes dont les antiquaires ont tant parlé.

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* Marteville et Varin (1843) : QUIBERON (sous l'invocation de la Vierge); commune formée d'un ancien prieuré, dont l'église portait le nom de saint Clément; aujourd'hui cure de 2° classe, ayant succursale en l'ancienne chapelle de Saint-Pierre (ordonnance du 6 octobre 1843); bureau des douanes à Portaliguen. — Limit. : N. la mer; le fort Penthièvre; E.et S.-O. la mer. — Princip. vill. : Bach Priol, Portaliguen, Kerhostin, Portivy, Reraron, le Roc-Quinaut, Keraud, Kergroix, Kerdavid, Kerrnahé, Kerdenvel, Kerné, Kervihan, le Grand-Rohu, Kernavezet, Kerboulevin, Kerniscole, Julien, le Manesmeur, Kermorvant, Saint-Pierre. Moulins à -vent de Portivy, de Saint-Pierre, de Kerboulevin, de Saint-Julien, du Bourg. — (V. le Supplément pour les contenances cadastrales.)  Notre auteur dit à tort que le prieuré de Quiberon fut rétabli en 1027. C'est au contraire en 1027 qu'il fut établi, ainsi qu'il résulte d'un acte que donne dom Morice (t. Ier des Preuves, col. 363, 364l). Un abbé de Redon fut trouver le duc de Bretagne, qui alors avait sa cour à Kerberoen, et obtint de lui la confirmation tant de la donation qu'un nommé Gurki, homme vivant saintement dans l'île de Guadel, faisait à l'abbaye de Saint-Sauveur de Redon de son île, que de la réunion de cette île à la terre de Minichy et de Plee, pour en former un membre de ladite abbaye. Il faut conclure de cet acte, intitulé Fondation du prieuré de Quiberon, que dom Morice avait acquis la preuve que la presqu'île portait jadis le nom qu'il donne à cette terre, qui forme, avec Guadel, le prieuré de Quibéron. — Minighy ou Minihy voulant dire asyle, franchise, il serait assez probable que la presqu'île aurait joui jadis de quelque droit d'asyle ou de franchise. Sa position justifierait suffisamment cette présomption.

Pour le débarquement de 1795, voir page annexe.

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* M.N Bouillet (1863) : "Les Anglais y tentèrent un débarquement en 1716, mais furent repoussés. Le 27 juin 1795, une troupe d'émigrés, commandés par d'Hervilly et Puisaye, y débarquèrent et s'emparèrent du fort de Penthièvre; mais, cernés dans la presqu'île, il y furent anéantis par le général Hoche. Les royalistes imputèrent cet échec à la trahison de Puisaye".

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* Adolphe Joanne (1888) : "La presqu'île de Quiberon est restée célèbre par le débarquement et le désastre des émigrés le 28juin 1795 (V. Brech)"

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* Gustave Geffroy (1905) : pages 315- 316, traitant de sa visite à Auray : "Il est impossible de quitter Auray sans avoir été visiter la Chartreuse, la Chapelle sépulcrale, la Chapelle expiatoire, le Champ des martyrs. Ce n'est pas que les monuments à voir aient un grand caractère, mais le souvenir de la défaite des royalistes à Quiberon plane sur ces lieux paisibles, et, précisément, ce désaccord entre la tragédie de 1795 et l'aspect actuel, si ordonné, si administratif, suffit à motiver la curiosité du voyageur. J'ai eu un peu la même sensation, ici, que dans l'enclos de la rue Haxo, où l'on montre, moyennant rétribution, les traces de la fusillade des otages. Après la traversée d'un bois de chênes, et le surgissement d'un gardien, on commence la visite par le Champ des martyrs, où s'élève la Chapelle sépulcrale, qui conserve la mémoire des royalistes jugés et fusillés à quelques mètres de là, sur les bords du Loc, du ler au 25 août 1795. L'inauguration de cette chapelle eut lieu en 1829. Il faut entrer pour voir le mausolée en marbre blanc qui porte ces inscriptions : QUIBERON xxi JULII MDCCXCXV — PRO DEO, PRO REGE NEFARIE TRUCIDATI. Sur trois côtés du soubassement, on lit les noms de 952 victimes. Les sculptures abondent : bustes de personnages royalistes, représentations de divers épisodes du débarquement, tenté de connivence avec les Anglais, des bas-reliefs où le duc d'Angoulême prie sur les ossements des victimes, où la duchesse d'Angoulême pose la première pierre du mausolée. Non loin de là est une seconde chapelle, la Chapelle expiatoire, également fondée par le duc et la duchesse d'Angoulême, également inaugurée en 1829. Elle est construite au-dessus de la vallée où retentirent les coups de feu des exécutions. C'est un petit édicule en forme de tombeau, surélevé de nombreuses marches et entouré d'un bois de pins.

Tout cela est assez froid d'architecture, et assez ordinaire de sculpture; mais, néanmoins, le funèbre souvenir hante ces pierres banales, et l'on ne peut se défendre d'une émotion en évoquant les terribles journées où fonctionna à Auray la Commission militaire. Je remonte ici à rebours les événements de l'histoire, puisque je visite Auray avant Quiberon. C'est à Quiberon qu'eut lieu l'action principale. Ici, ce fut l'épilogue, affreux et sanglant, épilogue sur lequel la discussion entre historiens royalistes et républicains dure encore. Ce n'est pas précisément, toutefois, la politique terroriste de la Révolution qui est en jeu, c'est son régime militaire et l'application de la loi martiale à des insurgés, pris les armes à la main, au moment où ils essayaient une intervention avec l'aide de l'étranger. La loi était barbare, et ces fusillades sont épouvantables; mais l'acte des émigrés, alliés aux Anglais, était un crime caractérise contre la patrie. On ne peut répondre pour les émigrés que d'une façon, c'est qu'ils n'avaient pas en eux l'idée de patrie telle qu'elle existe aujourd'hui, telle précisément que les hommes de la Révolution ont contribué à la créer. Pour eux, la France, c'était le roi. Ils croyaient attaquer la Révolution et non la patrie, mais c'était tout de même celle-ci qui recevait leurs coups et les leur rendait".

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* Camille Vallaux (1941) : p. 74 : "Quand Hoche et les délégués de la Convention eurent obtenu par leurs concession la cessation de la guerre de Vendée, les hostilités ne traînèrent plus longtemps en Bretagne; le traité de la Mabilais (près de Rennes), signé le 19 avril 1795, promettait la liberté des cultes et l'amnistie pour les insurgés.

Le succès des négociations de Puisaye remit tout en question. Une armée d'émigrés convoyée par une escadre anglaise, débarque le 27 juin sur la plage de Carnac. Des contingents chouans se joignent à elle. Des dissensions entre Puisaye et son rival d'Hervilly provoquent des retards que Hoche utilise : il refoule les assaillants vers Quiberon, les enferme dans la presqu'île "ainsi que des rats", s'empare du fort de Penthièvre qui commandait le passage, oblige les vaincus à capituler. Bien qu'il inclinât personnellement à la clémence, la loi qui condamnait à mort les émigrés pris les armes à la main fut appliquée dans toute sa rigueur. Près de huit cent de ces malheureux, parmi lesquels le dernier évêque de Dol, furent passés par les armes à Vannes et à Auray".

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* Editions Flohic (1996) : Affaire de Quiberon. Juin-Juillet 1795. Plage du Porigo : "l'épilogue de la tentative des royalistes émigrés pour rétablir le trône avec le soutien de l'Angleterre se joue sur la plage du Porigo, lorsque la division Sombreuil acculée à l'extrémité de la presqu'île doit se rendre au général Hoche. La controverse existe toujours sur les conditions de la capitulation, compte tenu des exécutions massives d'émigrés, devenus aujourd'hui des martyrs au nombre de cent soixante sept dans la presqu'île. Une stèle pyramidale fait état de cette reddition sur la plage du Porigo. La statue de Hoche, érigée en 1902 en bas du "Varquez", alimente une violente polémique".

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Le débarquement royaliste de 1795 Dilestradeg ar roueelerien 1795

Lien actif * Liamm bev

Archéologie. Patrimoine :

seules les fenêtres ouvertes (blanches) ont des liens actifs.

Le bourg Ar bourg
Église Notre-Dame de Locmaria (XVè, XVIIè, 1900) Iliz Itron Varia Lokmaria
ruines du couvent de Saint-Clément restachoù kouent Sant Klemans
maison des Templiers Ti an Demplourien
Chapelle Saint Julien (XVè, XVIIIè, 1859) Chapel Sant Juluen
Chapelle Saint Clément (XIè, XIXè) Chapel Sant Klemans
allée couverte de la Pointe-de-Guéritte Lia Beg ar ***
menhir et dolmen ruiné, au Mané-Meur peulven ha lia dismantret e Mane-Meur
Menhir du Goulvars  
Menhirs de Saint-Pierre Peulvenoù Sant-Per
Dolmens de Port-Blanc Taolioù men Porzh Gwenn
Fort Neuf (fin XVIIè-fin XVIIIè) Kastell Nevez
Château Turpault (début XXè) Kastell Turpault

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Étymologie

* Marteville et Varin (1843) : Quibéron

* Albert Dauzat et Charles Rostaing (1963, 1978) : pas de proposition.

* Erwan Vallerie (1995) : "Keberoen, 1037; Kemberoen, 1038; Keberoen, 1067; Keperoen, 1069; Kemberoen, c.1100; Keberoen, 1146; Keberoen, 1208; Queberon, 1304; Queberen, 1407; Queberon, 1418; Queberien, 1431; Queberan, 1438; Queberoen, 1438; Queberen, 1453; Queberien ? , 1461; Queberon, 1486; Queberon, 1489; Guiberon, 1516; Queberon, 1554; Kiberon, XVIIè."

* Éditions Flohic (1996) : "Au XIè siècle, les chartes mentionnent l'île de Keberoën. Le bourg de Locmaria a pris le nom de le presqu'île, laissant à Saint-Pierre le nom de son village fondateur"

* Hervé Abalain (2000) : "Keberoen insula, XIè, de (berv(enn)), bouillant, bouillonnant (d'écume), que qualifie kib, "bassin, sources, fontaines"

* Daniel Delattre (2004) : "Kébéroen en l'an 1000"

* Jean-Yves Le Moing (2007) : "On trouve aussi probablement erv au singulatif à la presqu'île de Quiberon, notée Keberoen au XIè siècle, la langue de terre reliant l'ancienne île donnant une forme de coupe (kib en vieux breton) à l'anse formant la baie de Plouharnel"

Personnes connues Tud brudet
   
Jean-Pierre DESMOTE

tourneur; capitaine de chouans; a soutenu le débarquement des royalistes à Quiberon en 1795; capturé, il est condamné à Quiberon le 18 thermidor An III / mercredi 5 août 1795, à l'âge de 55 ans.

Yann-Ber DESMOTE

turgneur; kabiten ar chouanted; en eus skoazellet dilestradeg ar roueelerien  e Kiberen e 1795; bet tapet, eo bet kondaonet e Kiberen, ar 18 thermidor AN III / Merc'her 5t a viz Eost 1795, oajet a 55 bloaz.

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
Jumelage avec Kempten, Allemagne

Gevellidigezh gant Kempten, Bro-Alamagn

Jumelage avec Looe, Canada Gevellidigezh gant Looe, Bro-Ganada
Jumelage avec Josselin, Morbihan, Bretagne

Gevellidigezh gant Josilin, Mor-Bihan, Breizh

Jumelage avec Le Grand-Bornand, en Haute-Savoie

Gevellidigezh gant Le Grand-Bornand, Bro-Savoia Uhel

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Communes du canton de Quiberon Parrezioù kanton Kiberen
Carnac Karnag
Hoëdic    
Houat    
Plouharnel    
Quiberon    
Saint-Pierre-Quiberon    
La Trinité-sur-Mer    

Communes limitrophes de Quiberon Parrezioù tro war dro Kiberen
Saint-Pierre-Quiberon   Sant-Per-Kiberen

Sources; Bibliographie :

* OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1783;

* MARTEVILLE et VARIN, continuateurs, commentateurs et critiques d'Ogée. 1843.

* M.N BOUILLET : Dictionnaire Universel d'Histoire et de Géographie. Librairie L. Hachette et Cie. Paris. 1863.

* Adolphe JOANNE : Département du Morbihan. Hachette. 1888.

* Gustave GEFFROY : La Bretagne. Librairie Hachette. 1905. Réédition Jean-Pierre Gyss. 1981.

* Camille VALLAUX, Henri WAQUET, Auguste DUPOUY, Charles CHASSE : Visages de la Bretagne. Horizons de France. Paris. 1941.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire Meyrat. Dictionnaire national des communes de France. 1970.

* Albert DAUZAT et Charles ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Librairie Guénégaud. 1963, 1978.

* Erwan VALLERIE : Traité de toponymie historique de la Bretagne. (3 volumes). Editions An Here. 1995.

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes du Morbihan. 1996.

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes du Morbihan. Froger SA. 1999.

* Hervé Abalain : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.

* Daniel DELATTRE : Le Morbihan. Les 261 communes. Éditions Delattre. 2004.

* Jean-Yves LE MOING : Noms de lieux de Bretagne. Éditions Christine Bonneton. 2007.

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* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout vas vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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