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Breizh Bretagne |
Bro Sant Malo Pays de Saint Malo |
Meurdrigna
Merdrignac *Medrigneg |
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pajenn bet digoret d'an 06.01.2012 | page ouverte le 06.01.2012 |
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dernière mise à jour 02/08/2024 10:23:58 |
Définition / Displegadur : commune de la Bretagne historique, en Bro-Sant Malo; évêché de Saint Malo. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département des Côtes d'Armor, arrondissement de Dinan; chef-lieu de canton; sur les ruisseaux de la Ramée, l'Hivet; Code postal : 22230 Superficie : 5712 ha. Population : 2500 'communiants' vers 1780; 3444 hab. en 1878; 3447 hab. en 1881; 3292 hab. en 1890; 2576 hab. en 1968; 3009 hab. en 1979; 2780 hab. en 1982; 2830 hab. en 1999; |
Carte J. Rigaud. 1890 |
Blason; logo :
* Editions Flohic : ce sont les armes de la famille de Gouyon, présente dès 1219. * Froger et Pressensé : "d'or à un lion couronné de gueules". Les Merdrignac portaient les armes de la famille Gouyon-Matignon (XIè). La commune s'est inspirée des armes originales des Gouyon (d'argent au lion de gueules couronné d'or)." * JC Even : "en aour, e leon kurunet en gwad" |
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Paroisse / Parrez : église sous le vocable de saint Nicolas. |
Histoire / Istor : Aux époques gauloise et gallo-romaine, le territoire fait partie de la Civitas des Curiosolites. A l'époque de la mise en place de l'organisation bretonne, il fait partie de l'évêché de Saint-Malo. -------------------- * Ogée (1780) : Merdrignac; sur le chemin de Saint-Méen à Loudéac; à 12 lieues au S.-O. de Saint-Malo, son évêché [aujourd'hui Saint-Brieuc], à 11 lieues 2/3 de Rennes, et à 6 lieues de Montauban, sa subdélégation. II s'y tient un marché le mercredi. Cette paroisse ressortit a Ploërrnel, et compte 2500 communiants. La cure est présentée par le seigneur de la Hardouinaye. Ce territoire fournit beaucoup de mines de fer, et renferme des terres en labour, des landes et des bois. Vers l'an 1218, Robert, vicomte de Merdrignac, épousa Denise Goyon de Matignon. Ces deux époux firent, aux années 1252, l257 et 1259, plusieurs donations aux moines de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois, qui reconnurent Denise Goyon pour leur fondatrice : l'acte en fut passé l'an 1278. Denise Goyon mourut sans postérité, l'an 1284. — L'an 1294, la seineurie de Merdrignac passa dans la maison de Beaumanoir, par le mariage de Jean de Beaumanoir avec l'héritière de Merdrignac. — Les jurisdictions et maisons nobles sont : Merdrignac, haute-justice, à M. de Saint-Pern; Vaucouleurs, haute, moyenne et basse-justice, à M. de Derval; le Penhouet, haute-justice, à M. le Rebours; le Peigne, à N... * Marteville et Varin (1853). MERDRIGNAC; ville (sous, l'invocation de saint Nicolas); commune formée de l'anc. par. de ce nom; aujourd'hui cure de 2è classe; chef-lieu de perception; bureau d'enregistrement: bureau de poste; brigade de gendarmerie à pied. — limit. : N. Laurénan, Saint-Vran, Merillac, Saint-Launeuc; E. Trémorel, Illifant; S. Ménéac; O. Gommené. — Princip. vill.: Lannay, Trébrède, lé Chêne-Creux, Kernuet, le Fortier, Ville-ès-Gareaux, Kerilvala, les Petites-Forges, laPoetrie, la Rabionnais; Rue-Bresset, Cartady, Fontenelle, Ville-ès-Coupeau, le Siguais, la Tremblais, Beaucomout, Bas-Breil, la Racine, Grand-Fraut, Ville-ès-Berhons, Ville-ès-Coqs, Bocheriais, Coignet, Ville-Ferron, Ville-ès-Brés, Ville-Orial, Bauderien, La Vau. — Superf. tot. 5748 hect. 334 a, dont les princip. divis. sont : ter. lab. 2097; prés et pat. 357; bois 1611; landes et incultes 1344; étangs 52; sup. des prop. bat. 20; cont. non imp. 587; moulins 4 (du Plessix, a vent; du Bois-Jouar, Fontenelle, du Bourg, à eau ). Merdrignac est une ville ancienne, mais qui certes ne saurait être regardée, ainsi qu'on l'a avancé, comme étant le Fanum-Martis. Cependant tout annonce que les Romains ont jadis occupé ce pays. En plusieurs endroits on retrouve des briques romaines, notamment dans le champ du Moulin-du-Plessix; et le chemin de l'Aestra (voy. Carhaix ) traverse cette commune et les avoisinantes, Sainl-Vran, Langourla et autres. — C'est surtout lorsque le duc de Retz y fit construire une halle vers l'an 1463 que Merdrignac prit de l'accroissement. Le bois employé a cette construction fut tiré de la foret de Merdrignac, qui est plus connue sous le nom de la Hardouinaie et sous celui de Coatalan. — L'un des monuments les plus anciens de cette localité était le château de Vieille-Cour. Ce château qui appartenait à Guy, seigneur de Merdrigac et de la Hardouinaie, représentait trois côtés d'un parallélogramme dont chacun avait 48 mètres de développement; il était entouré de fossés ayant près de 10 mètres de largeur, et que l'on franchissait sur un pont levis avisagé au côté midi. Vieille-Cour a été abandonné, dit-on, dans le XIIIè siècle, et l'on ignore l'époque à laquelle il fut fondé. La plupart des belles pierres de ganite qui avaient été employées à sa construction ont servi à bâtir beaucoup des maisons de Merdrignac. Ces ruines, situées à environ 300 mètres à l'ouest de la ville, sont coupées par le tracé de la nouvelle route royale n° 164 bis, de Rennes à Brest. — Merdrignac fut presque dépeuplée dans le XVIIè siècle par la peste qui sévit du mois de mai 1632 au mois d'avril 1633. On trouve à cet égard, sur le registre des décès, à la date de 1632, la note suivante qui nous est transmise par M. Ragot du Parc : "Le mercredi, 12è jour de mai, 1632, le marché fut à la Touche-Brichore, à cause de la contagion qui était à la ville, et y fut tenu jusqu'au 21è jour de décembre 1633, qu'il retourna en la ville. Et un petit marché fut au jour du mercredi, pendant ces 20 mois, et s'y tenait comme miracle, à cause que le marché était au dimanche.» L'église de Merdrignac est récente; elle date de 1833 seulement. L'ancienne était située à 1500 mètr. environ à l'est de la ville, au village dit le Vieux-Bourg. Cette église était irrégulièrement construite, et avait été fondée, dit-on, en 1373, par la famille de Saint-Pern. Pendant la Révolution, elle avait été abandonnée; on en avait fait d'abord un atelier pour la fabrication du salpêtre, et plus tard un cantonnement de cavalerie. Outre cette église, il y avait la chapelle Saint-Thomas, qui était contigüe à la tour de ce nom, dans laquelle se tient aujourd'hui la municipalité. Depuis 1792, elle était comme abandonnée, et ses matériaux ont été employés dans la construction de la nouvelle église. Aujourd'hui il y a encore cinq chapelles; ce sont : 1° celles de Penhouet, de Saint-Brieuc-des-Bois, de la Vallée, de Sainte-Brigite, qui ne sont pas desservies; 2° celle du Perron ou de la Petite-Chapelle, qui a été construite en 1839, et qui est desservie, sous le nom de Notre-Dame de la Petite-Chapelle. Pendant la Révolution, les fidèles, privés de leur église paroissiale, se réunissaient souvent près du village de ce nom, autour d'une croix de pierre à laquelle était adossé un autel en pierre dans lequel on avait scellé un ex voto contenant une statuette de la Vierge. Les dimanches et les jours fériés, des milliers de paysans accouraient à cet endroit. Une colonne mobile renversa ce modeste monument; il fut relevé le lendemain, et continua à être le point de réunion des campagnes environnantes. En 1839, comme nous le disions tout à l'heure, une chapelle en forme de croix latine a été élevée, non pas à cet endroit, mais à 300 mètres. plus au sud; elle a été bénie le 8 septembre. — une autre chapelle, dite de la Madelaine, existait autrefois à environ 15 m. du lieu où s'élève actuellement l'église paroissiale; elle a été abandonnée récemment, et les matériaux en ont été destinés à la construction du nouveau presbytère. — Les édifices religieux de cette paroisse comptaient enfin un prieuré dit de Sainte-Brigitte. Il appartenait aux chanoines réguliers de l'ordre de Sainte-Geneviève de Paris, établis a Paimpont, et leur avait été donné en 1100 par Guy de Merdrignac, habitant alors Vieille-Cour, et a charge de prier Dieu pour son âme à perpétuité. Le prince Joseph Stuart, cousin-germain du dernier prétendant au trône d'Angleterre, est mort le 22 février 1784 à Kilvala, propriété appartenant alors à M. Halba; il était âgé d'environ soixante ans. Ce prince avait accompagné le prétendant lorsqu'il débarqua en Écosse en 1745. Après la bataille de Culloden, il erra longtemps dans les campagnes, et enfin il vint à bout de gagner le bâtiment français qui recueillit le prétendant et le débarqua a Morlaix. Le prince Joseph Stuart, accompagné de lord Saint Pill, qui lui était resté fidèle, vécut ignoré pendant quarante-cinq années dans la modeste campagne où il est mort. Lord Saint-Pill avait mis à sa disposition toute sa fortune, qui était considérable; mais le prince n'avait pour tout bien qu'une pension de 1,500 fr. que lui faisait le gouvernement français, comme chevalier de Saint-Louis. Son instruction était immense, sa douceur et son affabilité étaient égales à son courage; mais il haïssait profondément les Anglais, et disait quelquefois qu'il voulait être leur Annibal. — Nous tenons ces détails de M. Bagot du Parc, son filleul, auquel il a voulu donner comme troisième prénom celui d'Annibal. Cet épisode de la fatale entreprise du prétendant est certes peu connu.— Un Chateaubriand a été curé de cette paroisse. Il y décéda le 26 février 1776, à l'âge de cinquante-huit ans, et fut inhumé dans l'église.— La forêt de la Hardouinaie renferme le Haut-Fourneau, auquel elle donne son nom. Le minerai nécessaire à cette exploitation se trouve dans la commune même. — On exporte de Merdrignac des peaux, du chanvre, des toiles à voile et du beurre pour Rennes, Nantes et Dinan. — Il y a foire le premier mercredi avant la Nativité. — Marché le mercredi. — On parle le français. * Bernard Tanguy (1992) : "Bien qu'elle ait vu jadis sans doute se constituer à ses dépens les paroisses d'Illifaut et de Trémorel, la paroisse de Merdrignac atteint encore 5712 ha, dont plus de 1500 ha sont, il est vrai, occupés par la forêt de La Hardouinais. Mais, pour avoir eu jadis une couverture forestière importante, comme en témoignent par ailleurs nombre de toponymes, ce territoire n'en conserve pas moins des traces précoces d'occupation humaine. Traversé d'est en ouest par la voie romaine de Rennes à Carhaix, qui passait à Saint-Brieuc-des-Bois, Le Raitren, La Racine, Le Plessis et La Ville-Gareaux, on y a découvert, outre un lot de monnaies gauloises à 4 km du bourg, des briques romaines au Vieux-Bourg et, aux abords des villages du Plessis et de La Chaussée, un important gisement de briques et de tuiles romaines. Couvrant une vingtaine d'hectares, ce gisement semble témoigner de la présence d'une ancienne station routière, ce que n'est pas pour démentir le nom gallo-romain de la localité. *** C'est à l'un de ses seigneurs, Robert, que le nom de Merdrignac doit de figurer dans les documents dès 1118. Un peu plus tard, on voit un certain Ginan de Medrignac octroyer à l'abbaye de Boquen, outre le droit de faire paître cinquante porcs ou plus dans sa forêt de Catalun, aujourd'hui dite de la Hardouinais, deux parts de la dîme de la Terterie, "entre le bourg et les torrents de Frothen et d'Ivel', c'est-à-dire entre le ruisseau du Grand-Frau et l'Hivel. C'est en effet entre ces deux cours d'eau que se trouvait le bourg, avec son église dédiée à saint Nicolas. C'est aujourd'hui le Vieux-Bourg. Sans doute est-ce en ce lieu que se déroulaient à la Saint-Pierre d'été les foires dont il est fait mention en 1220 dans un acte des seigneurs de Merdrignac en faveur de l'abbaye de Saint-Georges de Rennes. Pourvue dès 1255 d'une mesure propre et possédant une grange, la seigneurie, qu'un texte de 1479 qualifie de "grande seigneurie appartenancée de chasteau, bourgade marchande et de la forest de Castalun", avait quant à elle son siège à 1,5 km à l'ouest. Une enceinte fortifiée, sans doute d'origine féodale, s'appuyant sur le ruisseau du Duc à 300 m de l'église actuelle, en marquait l'emplacement. L'existence près de cette église d'une ancienne chapelle dédiée à saint Thomas, présentant des restes du XIIe siècle et d'une ancienne chapelle de la Madeleine, indice d'une maladrerie, suggère qu'une petite agglomération se développa très tôt aux abords du château. L'église Saint-Nicolas du Vieux-Bourg ne fut cependant abandonnée qu'en 1830. Le culte paroissial fut transféré dans la chapelle de la Madeleine jusqu'en 1834, date à laquelle fut achevée l'église actuelle". * Régis de Saint-Jouan (1990) : Maires de Merdrignac : |
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Étymologie / Gerdarzh : * Dauzat et Rostaing (1963) : cf. Margny 2.. Medregnac, vers 1330 (de Maternius, Maternus) ? * Régis de Saint-Jouan (1990) : * J-Y Le Moing (1990) : "Medreniac 1201 AE/JA; Medregnac 1330 LO; Matriniac" * Bernard Tanguy (1992) : "Medrinniac(us), 1118; Medrenniac(us), 1164; Medrignac, Merdrignac, XIIe s.; Medreniac, Meidrignac, 1201; Medregnac, 1220; Merdregniac, 1229; Medreignac, 1245; Medregniac, Merdreigniac, 1251; Merdrignac, 1255; Medregniac, 1269; Medregnac, v. 1330; Medrignac, 1479, 1490; gallo Medrigna, Meurdrigna. Jadis Medrignac, devenu par assimilation régressive Merdrignac, c'est, comme Mérignac (Char.; Char.-Mar.; Gir.), Margny-sur-Matz (Oise), Marnay (Aube, Madriniacum en 859), Marnay (Vienne, Matriniacum au Xe s.), un dérivé formé avec le suffixe gaulois -acos d'un gentilice latin Matrinius. La conservation du groupe -dr-, réduit en français à -r- dès le XIe siècle, est ici imputable à la prédominance jadis du parler breton". * Erwan Vallerie (1995) : "Medrinniaco 1118; Merdrenniaco, 1164; Merdregniac, 1229; Medreignac, 1245; Medrignac, 1248; Medregniac, Merdreigniac, 1251; Medrignac, 1276; Medreignac, 1312" * Éditions Flohic (1996) : "sans doute du fondateur gallo-romain Maternus ou Matrinus, et du suffixe gaulois -acos". * Hervé Abalain (2000) : "Merdrinniaco en 1118; Medreniac en 1201; nom d'origine gallo-romaine, formé du nom Matrinius + suffixe acum". * Daniel Delattre (2004) : Medreniac, Meidrignac * J-Y Le Moing (2007) : cf. supra. ************* |
Personnages connus | Tud brudet |
Joseph STUART
Écossais émigré; chevalier de Saint-Louis Décédé à Kerilvala, en Merdrignac, le 22 février 1784 |
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Jean-Baptiste-Mathurin
SOUCHET
curé de Merdrignac, de 1823 à 1836; chanoine en 1834 Grand-Frau, Merdrignac, 29.10.1786 / Saint-Brieuc 10.05.1875 |
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Louis GUILLOIS
docteur en médecine; maire de Ploërmel; sénateur, 1920-1932; député de Ploërmel, 01.05.1932 / 03.05.1936. Merdrignac, 23.02.1872 / Ploërmel, 09.09.1952 |
Armorial * Ardamezeg
de Beaumanoir | |||
Barons
dudit lieu en Évran;
seigneurs de Merdrignac,
paroisse de ce nom; de la Hardouinais, en Saint-Launeuc;
de Moncontour,
paroisse de ce nom; vicomtes du Besso, en Saint-André-des-Eaux;
barons de Pont-l'Abbé
et de Rostrenen;
seigneurs de la Motte, en Pleuguéneuc;
du Bois de la Motte, en Trigavou;
de Tréméreuc,
paroisse de ce nom; du Quélennec, en
le Vieux-Bourg de Quintin; de Boisbilly,
en Plorec;
de Langevinaye ?; marquis de Lavardin; vicomtes de Saint-Jean; barons de
la Troussière et seigneurs de Malicorne, au Maine; seigneurs de Beaufort,
en Vallée; de Landemont, en Anjou; comtes de Nègrepelisse, en Quercy.
"d'azur à onze billettes d'argent, 4, 3, 4" "en glazur e unnek c'hanochenn en arc'hant, 4, 3, 4" - Deux maréchaux de Bretagne : Robert de Beaumanoir, en 1342; Jean de Beaumanoir, en 1350 - un maréchal de France en 1595 : Jean de Beaumanoir de Lavardin, décédé en 1614 - des chevaliers du Saint-Esprit - deux évêques du Mans, en 1601 et 1671 - un évêque de Rennes, abbé de Beaulieu, décédé en 1711; (PPC) |
Vie culturelle et associative | Buhez dre ar gevredadoù |
http://www.mairie-merdrignac.fr/associations.php | http://www.mairie-merdrignac.fr/associations.php |
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Communes limitrophes de Merdrignac | Parrezioù tro war dro *Medrigneg |
Gomené | Laurenan | Saint-Vran | Mérillac | Trémorel | Illifaut |
Sources / Eien : * OGEE : Dictionnaire de Bretagne; 1780. * A. MARTEVILLE et P. VARIN : continuateurs et correcteurs d'OGEE. 1843. * Adolphe JOANNE : Département des Côtes du Nord. Hachette. 1878. * Adolphe JOANNE : Dictionnaire des communes du département des Côtes du Nord. 1886. * J. RIGAUD : Géographie historique des Côtes du Nord. Imprimerie Francisque Guyon. Saint-Brieuc. 1890. * A. DAUZAT et Ch. ROSTAING : Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France. Librairie Guénégaud. 1963. Édition 1978. * Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970. * Michel de la TORRE : Guide de l'art et de la nature. Côtes du Nord. Berger-Levrault. 1978. * Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes . Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc.1990. * Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux de Haute Bretagne. Coop-Breizh. 1990. * Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes d'Armor. Chasse-Marée. Ar Men. 1992. * Erwan VALLERIE : Traité de toponymie historique de la Bretagne. (3 volumes). Editions An Here. 1995. * Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes des Côtes d'Armor. 1998. * Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000. * Daniel DELATTRE : Les Côtes d'Armor. Les 372 communes. Éditions Delattre. 2004. * Jean-Yves LE MOING : Noms de lieux de Bretagne. Editions Christine Bonneton. 2007. * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et Ille et Vilaine. 2008. |
Liens électroniques des sites Internet traitant de Merdrignac / *Medrigneg : * liens communaux : - mairie : rue Philippe Lemercier. 22230. Merdrignac. - site officiel : http://www.mairie-merdrignac.fr/mairie.php - mail : mairie.merdrignac@wanadoo.fr * Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Medrigneg
* forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |