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Noms de lieux * Anvioù lec'hioù

Noms de personnes * Anvioù tud

Breizh

Bretagne

Bro hag Eskopti Sant-Brieg

Pays et Évêché de Saint-Brieuc

 

Plœuc-sur-Lié

*Ploheg

 

pajenn bet digoret ar 16.06.2014 page ouverte le 16.06.2014

* forum du site Marikavel : Academia Celtica 

dernière mise  jour 22/05/2025 09:48:05

Définition / Displegadur : Commune de la Bretagne historique, en pays-évêché de Saint-Brieuc / bro-eskopti Sant-Brieg.

Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne", département des Cotes d'Armor; arrondissement de Saint-Brieuc; chef-lieu de canton; sur le Lié, et le ruisseau de Duancre.

Code postal : 22150

Superficie : 4445 ha.

Population : 6000 'communiants", y compris ceux de Gausson; 4843 hab. en 1878; 4798 hab. en 1881; 4875 hab. en 1890; 2932 hab. en 1968; 3009 hab. en 1982; 2932 hab. en 1998;  2937 hab. en 1999; 

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Carte J. Rigaud. 1890

Armoiries; blason

* Editions Flohic (1998) : ce sont les armes des seigneurs de Plœuc.

* Michel Froger et Michel Pressensé (2008) : "d'hermine, à trois chevrons de gueules". "armes de la famille de Plœuc-Tymeur, XIIIè siècle".

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*JC Even : "en erminoù, e deir c'hebrenn en gwad"

Paroisse : église sous le vocable de saint Pierre.

Histoire / Istor

* Ogée (1780) :  Plœuc; à 5 lieues1/2 au sud de Saint-Brieuc, son évêché; à 19 lieues de Rennes, son ressort, et à 3 lieues de Moncontour, sa subdélégation. On y compte 6000 communiants, y compris ceux de Gausson, sa trève. La cure est à l'alternative. Il y a dans le bourg une chapelle dédiée à sainte Marguerite, laquelle a été bâtie des ruines de la maison du Pont-à-l'Ane. — Plœuc est une ancienne bannière qui appartient aux seigneurs de la Rivière. La famille de ce nom, une des plus illustres de Bretagne, tire son origine de Graslon-Mur et de Budic-Mur, comtes de Cornouailles. Elle a pris des alliances dans les maisons de Rohan, de Dinan, de Tornemine, de Goyon-Matignon, de Beaumanoir, de  Rostrenen, de Kergorlay, etc., et a toujours soutenu l'éclat de son nom par les places distinguées qu'elle a occupées. La maison de la Rivíère-Plœuc commença en la personne de Pierre du Plessis de Plœuc, fils de Pierre, sieur de Saint-Quiouaíl, et de Julienne de Vaucouleurs. Il épousa Marguerite Bouexel, fille de Jean et de Marguerite de Castello des Granges, maison illustre en Piémont, d'où sont sortis les marquis de Carheil et les comtes de Sauffray. Jean, son fils, commandant de cent arquebusiers à cheval, fut père de Mathurin, capitaine de cinquante chevau-légers et de cent hommes d'infanterie. Son fils Olivier eut de son mariage Yves-Olivier de la Rivière, seigneur du Plessis, chevalier de l'ordre du  roi, gentilhomme de sa chambre, gouverneur de Saint-Brieuc, qui fut blessé au siège de Montauban, en Querci. C'est en sa faveur que la seigneurie de Plœuc fut érigée en comté, par lettres-patentes du l4 avril 1696, et par autres de surannation du 22 juin 1699. Ces lettres portent que "ladite bannière de Plœuc est érigée en un comté, en considération de l'illustre maison et de l'ancienne noblesse des seigneurs de la Rivière, issus des comtes de Cornouailles, juveigneurs des sieurs de Rohan, etc., et en considération des services qu'ils ont rendus, comme l'histoire le rapporte, notamment ceux de Thiybaud de la Rivière, fameux capitaine." Yves-Olivier épousa Vincente, fille unique d'Olivier de Kermartin, capitaine général des garde-côtes de Bretagne, colonel d'infanterie, gouverneur de Tréguier, et capitaine des île et château de Bréhat, de laquelle il eut Charles-Yves-Jacques, comte de Plœuc, page du roi, aide-de-camp du maréchal de Boufflers, enseigne des gendarmes anglais, gouverneur de Saint-Brieuc et de la tour de Cesson. Il fut élu par la noblesse pour présider aux États assemblés à Saint-Brieuc en 'l709, et eut l'agrément du roi et du dauphin, qui signèrent son contrat de mariage pour épouser Marie-Françoise-Céleste de Voyer de Paulmi, fille unique de Jean-Armand, tué à la bataille de Senef-Fontaine, en Champagne, l'an 1674. Jacquemine, tante de ce dernier, avait épousé, en 1655, Jean de Goyon-Matignon. — Du mariage de Charles-Yves-Jacques, comte de Plœuc, sortirent plusieurs enfants, qui sont : 1° Charles-Yves Thibaud de la Rivière, comte de Plœuc, lieutenant-général des armées du roi, et gouverneur de Saint-Brieuc, marié à Julie Barberin de Reignae, ci-devant dame du palais de la reine douairière d'Espagne, dont deux filles, l'une mariée à M. de la Rivière, son parent, et l'autre à M. de Lusignan Lezai; 2° Jacques-Charles de la Rivière, dit le comte de Mur; 3° et 4°  deux filles mariées, l'une à un grand-maître des eaux et forets de France, et l'autre à un maître des requêtes. La seigneurie de Plœuc, haute, moyenne et basse-justice, à M. de la Rivière; l'Île, moyenne et basse-justice, à M. de Bréhand;  l'Hôtellerie-Abraham, haute, moyenne et basse-justice, à M. le Deist-Bolidoux, qui possède la Vieuxville, avec haute, moyenne et basse-justice; Saint-Eloy, vieux château, avec une grande chapelle et une prison, le tout en masure : cette seigneurie, qui a haute, moyenne et basse-justice, laquelle s'exerce à Saint-Eloy, appartient à M. de la Rivière; la Touche-aux-Moines, manoir en ruines, a haute, moyenne et basse-justice; le Gué, haute, moyenne et basse-justice, et la Hazais, moyenne et basse-justice, à M. de Carlan; le Pont-à-l'Ane, ancienne maison, avec une chapelle en ruines, auprès de laquelle est un étang qui fait tourner un moulin, a une haute, moyenne et basse-justice, qui appartient a M. de la Rivière. On voit auprès de la chapelle du Pont-à-l'Ane une statue de saint Pierre; les habitants de la paroisse et des environs y portaient jadis avec eux, lorsqu`ils allaient invoquer ce saint, un paquet de genêts avec lequel ils fouettaient la statue pour obtenir leur guérison ou autre faveur. On voyait des tas de ces arbrisseaux dont les fermiers de l'endroit profitaient. Cremeur, manoir avec chapelle, étang, moulin et fuie, haute-justice, à M. le Sage de Cremeur. La Corbière est un château qui n'a point été achevé, avec une chapelle et un étang d'une étendue considérable, lequel joint la forêt de Lorge. Dans le village de Saint-Just est une chapelle rurale dédiée à saint Just. Bayo est un lieu noble où l'on trouve une chapelle desservie par les prêtres de la paroisse. Ce territoire renferme une partie de la forêt de Lorge, des terres fertiles en grains et des landes. Quoique le terrain soit bon, on trouve pourtant dans la paroisse une assez grande quantité de mendiants.

* Marteville &Vari (1843) :  Plœuc; commune formée de l'anc. par. de ce nom, moins sa trève Gausson (voy. ce mot), devenue commune; aujourd'hui cure de 2è classe: chef-lieu de perception; brigade de gendarmerie à pied. — Limit. : N. Saint-Carreuc, Hénon; E. Plemy, Plouguenast; S. Gausson; O. L'Hermitage. — Princip. vill. : Caribet, la Touche, Gouromplé, Fontenieux, Rouault, Saint-Eloy, Berlugeon, la Saudrelle, le Grand-Ros, la Vieille-Ville, la Touche-Vizel, Gourméneu, les Norniers, Hidrio, Prigiens, Jagu, le Chesnay, Douancre, Louis, la Roncière, Coatrion, Mellet, Treveray, Neuf-Fontaines, Pourhon, Saint-Magnan, Branlée, la Hazaie, Saint-Just, la Bernardais, Cosseul, Pimpoul. — (V. le Supplément pour les superficies cadastrales.) Moulins de la Vieuville, de la Corbière, Neuf, Gougeon, du Pot-d'Or, de Grillon, de la Marre, Guéné, Rolland, de Saint-Magnan, de Sain-Eloy, du Pont-à-l'Ane, à eau. Plœuc est un bourg bien arrondi, par rapport à son église, qui en occupe assez exactement le centre. Il est situe sur le chemin de l'Hermitage à Monconlour, et cinq autres chemins y aboutissent. — Le Lie traverse la commune du sud-est au nord-ouest d'abord, puis, en se dirigeant à1'ouest; dans ce cours, il alimente huit moulins. — On voit près du moulin Bertrand deux menhirs renversés. — L'agriculture est en grand progrès dans tout le canton de Plœuc; cette favorable disposition est due en grande partie à M. Baron du Taya, maire de l'Hermitage, qui, dès 1826, a stimulé le zèle des agriculteurs par la création de comices très-fréquentés. — Il y a foire le 25 avril, le 10 août, le 2 novembre, les premier et troisième vendredis de juin, et le dernier vendredi de novembre. — Marché le lundi. — Géologie : constitution granitique. — On parle le breton et le français. (Voy. aussi l'article Plémy.)

* J. Rigaud (1890) : Plœuc était autrefois une ancienne seigneurie appartenant à la famille de la Rivière, et qui fut érigée en comté vers 1696. Le père du général de La Fayette épousa en 1754 la fille du dernier représentant de cette famille"

* Régis de Saint-Jouan (1990) : 

1) le 22 février 1664 Yves-Olivier de 1a Rivière acheta la seigneurie de Plœuc, saisie en 1662 sur la marquise de Montgaillard, née Mauricette-Renée de Plœuc (Arch. des C.-d'A., 1 E 2541) ;

2) par lettres patentes du 14 avril 1696 la terre de Plœuc fut érigée en comté en faveur dudit acquéreur (Arch. des C.-d'A., 1 E 658; D. de Thezan, Hist. généal. de la mais. de Plœuc, 1873, p. 14) ;

3) le 20 avril 1781 s'éteignit le titre du comté de Plœuc par le décès de Charles-Yves-Thibaut de la Rivière, arrière-grand-père de La Fayette (Soc. d'émul. des C.-du-N., LXXVI, 1946, p. 32) ;

4) le 5 août 1783, Gilbert de La Fayette et son cousin, le marquis de Lusignan, qui venaient d'hériter des La Rivière, vendirent la seigneurie de Plœuc à la marquise de la Chasse (1 E 2541) ;

5) le 4 août 1795 un détachement de colonne mobile républicaine sévit à Plœuc en tuant six habitants (Arch. des C.-d'A., Lm5 92) ;

6) le 23 octobre 1795 André, maire et curé constitutionnel de Plœuc, fut tué par des soldats républicains. Son successeur, Yves Jernot, maire de Plœuc, fut tué par les chouans le 3 novembre 1795 ou peu après ;

7) en 1821 le premier comice agricole des Côtes-du-Nord se réunit à Plœuc (Soc. d'émul. des C.-du-N., CXIV, 1985, p. 81) ;

8) le 22 mars 1885 fut bénie la première pierre de la nouvelle église Saint-Pierre. L'édifice fut terminé le 31 octobre 1886 et béni le 25 décembre 1886 ;

9) en 1901 fut érigée à Plœuc la croix de Marie Ecobichon en souvenir d'une jeune fille qui, au cours de la cérémonie de son mariage, répondit "non" à la question du recteur et se fit religieuse. Le nom d'Ecobichon est très répandu dans la commune ;

10) le 21 mai 1941 onze hommes furent arrêtés à Plœuc par les Allemands à la suite du sabotage d'un câble téléphonique ;

II) dans la nuit du 3 au 4 août 1944 il y eut un combat à Plœuc entre des F.F.I. et des soldats allemands ;

12) à partir de janvier 1978 est parue à Plœuc la revue trimestrielle d'études locales Regards sur la région de Plœuc, publiée par M. Toinard. C'est l'organe du Centre d”études et de recherches sur Plœuc et ses environs (CERPE).

Patrimoine. Archéologie / Glad. Arkeologiezh

seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs

Le bourg Ar bourg
Église saint Pierre (1885-1886) Iliz sant Per
Menhir de Bayo (6,50m) Peulven Bayo
Chapelle Saint Just (XVè-XVIIè) Chapel sant Yust
Fontaine saint Eloi Feunteun sant Elar
Manoir de la Corbière (1545-1764) Maner la Corbière
Manoir du Tertet (1689) Maner Tertet
Manoir de la Ville-Rouault Maner Ville-Rouault
Manoir de Lande-Valo (mauvais état) Maner Lande-Valo ( en stad fall)
Manoir de la Vieuville Maner Vieuville (= Kêrgoz)

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Église saint Pierre

Image provenant de Wikipédia

 

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Chapelle, calvaire, et fontaine saint Just

Image provenant de Google-Earth.; épurée par J.-C. Even le 20 mai 2025

Étymologie / Gerdarzh

* Jean-Yves Le Moing (1990) :¨Ploehuuc, 1162; Ploec; 1274; Plebs Huduc"

* Bernard Tanguy (1992) :  "Ploehuuc, 1182; par de Ploec, Plooc, 1274; Pluec, 1530; par. Plebis Gausson, 1368; Ploecgausson, 1569; Pleouc Gausson, 1426; Plœuc Gausson, 1458; Plœuc-Gausson, 1480; gallo Pieu".

Appelé depuis 1965 Plœuc-sur-Lié, ...

Paroisse bretonne primitive, en vieux-breton ploe, Plœuc est un doublet de Plouëc-du-Trieux (cf. ce nom), mais aussi de Plouézec (cf. ce nom) et de Pleugriffet (Morb.). Ce dernier toponyme, qui a pris le nom du manoir du Griffet dès 1295, date à laquelle il est transcrit Plooc Griffet, est noté Pluhuduc entre 1066 et 1082. Dans cette graphie, le -d- intervocalique a valeur de -z-, ce qui explique la notation Plohozec pour Plouézec entre 1184-1189. C'est à l'effacement de cette consonne spirante que l'on doit d'avoir pour Plœuc en 1182 la forme Ploehuuc.

Mal lue Ploehmic et rapportée à Plémy, paroisse voisine, cette forme figure dans un acte énumérant les biens des Templiers en Bretagne. Ce document leur attribue un lieu appelé La Verger, aujourd'hui inconnu, et un autre village dont le nom n'est pas spécifié. Un village du Temple existe bien à Plémy, mais situé à la limite de Hénon et près de celle de Plœuc.

On ne peut dire si le second élément du toponyme, qui a été rapproché du cornique hudic (= huzic), dérivé d'un terme correspondant au gallois hawdd "facile, paisible", est ou non un hagionyme, mais l'hypothèse paraît plausible.

* Erwan Vallerie (1995) : "Ploehuuc, 1162; Ploec, 1274; Plœuc, 1298; Pluec, Plieuc, Ploch, Plecheg ?, Plueucz, 1330; Ploec Gausson, Plebis Gausson, 13671; Plœuc, 1382; Pleuc  Gaussoon, 1437; Plœuc, 1516; Ploeus, 1516; Pleurs, 1630"

* Editions Flohic (1996) : "probablement de l'ancien breton ploe, paroisse, et du cornique, budic, facile, paisible"

* Hervé Abalain (2000) : "Ploehuuc, 1162; paroisse de Hu(z)uc / Huduc, ou Hézec, cf. Plouézec; 

Personnes connues Tud brudet
Yves-Olivier de la Rivière

acquéreur de la seigneurie de Plœuc (1664), gouverneur de Saint-Brieuc (lettres patentes données à Saint-Germain-en-Laye le 25 avril 1667), comte de Plœuc (1696), mort en 1708 ;

R.d.Saint-Jouan

 
Charles-Yves-Jacques de la Rivière

fils du précédent, né à Plaintel le
ler août 1662 (voir Plaintel, chap. 171) comte de Plœuc, mort en 1729 ;

R.d.Saint-Jouan

 
Charles-Yves-Thibaut de la Rivière

fils du précédent, troisième et
dernier comte de Plœuc, né en 1691, lieutenant général (1745), gouverneur
de Saint-Brieuc et de Rocroy, grand-croix de Saint-Louis, mort le 20 avril
1781. Une de ses filles épousa un La Rivière de la branche de Saint-Quihouët et fut la grand-mère de La Fayette ;

R.d.Saint-Jouan

 
Gilbert du Motier marquis de la Fayette

 (1757-1834).

Cet homme politique, héros de l'ndépendance américaine, possédait notamment, sous 1'Ancien Régime-, le comté de Plœuc et la seigneurie de Saint-Quihouët (en Plaintel). Son grand-père maternel, le marquis de la Rivière, seigneur de Saint-Quihouët, habitait le château de Kerauffret, alors en Bourbriac,
aujourd'hui en Saint-Adrien (voir le chap. 271) ;

R.d.Saint-Jouan

 
Jean-Baptiste Illio

né à Plœuc le 18 novembre 1873, sténographe du
Conseil général (1909-1934), professeur de sténographie (1919-1933). Outre
des ouvrages et articles sur la sténographie et son histoire, Illio a écrit 1
Histoire de Saint-Brieuc (1931, avec un chapitre de prospective: Saint-
Brieuc en 1950), Ploufragan autrefois et aujourd'hui (1923 et 1946), Plœuc
autrefois et aujourd'hui
(1924 et 1947). Il est mort à Saint-Brieuc le 19 mars
1962. Son nom a été donné à une rue de Saint-Brieuc selon une délibération du 9 avril 1963. Il a raconté sa vie et la généalogie de sa famille (depuis
1634, à Locmalo, Morb.) dans : Jean-Baptiste Illio raconté par lui-même de
l 'origine à 1950
(1948, sic).

R.d.Saint-Jouan

 

La famille chevaleresque de Plœuc, qui posséda la seigneurie de Plœuc
jusqu°en 1662, donna, au X1X° siècle Alexandre-Marie-Sébastien marquis de
Plœuc (1815-1887), inspecteur général des Finances, sous-gouverneur de la
Banque de France. Celui-ci resta à son poste, à la tête de la Banque de
France, sous la Commune et parvint ainsi à sauvegarder la réserve d`or de
cette institution. Il fut élu député de la Seine en 1871. Son fils, René-
Alexandre-Etienne-Constantin
dernier marquis de Plœuc mourut en 1938
(d'après lllio, Plœuc, 2è éd., 1947, p. 23) et sa famille s'éteignit avec lui.
Cette famille avait fait l'objet de l'Histoire généalogique de la maison de
Plœuc
(1873) par Denis de Thézan.

R.d.Saint-Jouan

 

Vie associative Buhez dre ar gevredadoù
   

Communes du canton de Plœuc-sur-Lié Kumunioù kanton *Ploheg
Le Bodéo

  Bodeoù
La Harmoye    
L'Hermitage-Lorge    
Lanfains    
Plaintel    
Plœuc-sur-Lié    

Communes limitrophes de Plœuc-sur-Lié Parrezioù tro war dro *Ploeg
L'Hermitage-Lorge Saint-Carreuc Plémy Plouguenast Gausson

Sources; Bibliographie / Eien; Levrlennadur :

* OGEE : Dictionnaire de Bretagne; vers 1780; 

* MARTEVILLE et VARIN, continuateurs et correcteurs d'Ogée, 1843.

* Adolphe JOANNE : Dictionnaire des communes du département des Côtes du Nord. 1878.

* J. RIGAUD : Géographie historique des Côtes du Nord. 1890; rééditions La Tour Gile. 1995.

* Éditions ALBIN-MICHEL : Dictionnaire des communes de France. 1970.

* Régis de SAINT-JOUAN : Dictionnaire des communes du département des Côtes d'Armor. Eléments d'histoire et d'archéologie. Conseil général des Côtes d'Armor. 1990.

* Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990.

* Bernard TANGUY : Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes d'Armor. Chasse-Marée / Ar Men. 1992.

* Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995

* Éditions FLOHIC : Le patrimoine des communes des Côtes d'Armor. 1996.

* Hervé ABALAIN : Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.

* Daniel DELATTRE : Les Côtes d'Armor. Les 372 communes. Editions Delattre. 2004.

* Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes des Côtes d'Armor et Ille et Vilaine. 2008.

Liens électroniques des sites Internet traitant de Plœuc-sur-Lié / *Ploheg

* lien communal : PLOEUC L'HERMITAGE- La Mairie

* pajenn Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Ploheg-Peniti

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

* Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente :

http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm

http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm

* solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique

* sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5.

* Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3

hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup

go fast, my little friend, I love you very much

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