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Anvioù lec'hioù * Noms de lieux

Anvioù tud * Noms de personnes

England

Bro Saoz

Yorkshire (North-Riding)

York

Eburacum

Caerefrog / Kerevrog

pajenn bet digoret e 2001 page ouverte en 2001    

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

dernière mise à jour 17/07/2013 09:58:43

Définition :

- capitale britto-romaine de la civitas des Brigantes, au confluent de l'Ouse et de la Foss.

- capitale de la province Britannia Secunda / Britannia Inferior, à partir de 212.

Armoiries; blason : "d'argent à la croix de gueules chargée de cinq  lions d'or";

"en arc'hant, e groaz e gul karget gant pemp leon en aour"

i

Extrait de la carte Ordnance Survey : Map of Roman Britain.

Histoire.

            Il ne semble pas que le site lui-même aurait été d'une quelconque importance avant la conquête romaine, même si une présence celtique n'y est pas niée a priori. Il semble que la capitale des Brigantes se situait à Isurium / Aldborough (25 km nord-ouest de York).

            York doit son existence au camp romain dressé au confluent de l'Ouse et de la Foss, entre 71 et 74, par la Legio IX Hispania, sous les ordres du gouverneur Petilius Cerialis, lors de la guerre contre les Brigantes.

            Selon Tacite, Agricola, XVII : " La terreur (aux Bretons), leur fut aussitôt inspirée par Petilius Cerialis : il attaqua la cité des Brigantes, qui passe pour la plus peuplée de toutes la province : combats nombreux et parfois sanglants; il étendit sur une grande partie du pays ou la conquête romaine ou la guerre (77 ap JC)."

            Dès que la cité brigante est tombée aux mains des Romains, York devient la plaque tournante de la conquête du nord de l'Ile de Bretagne.

            En 107-108, le forteresse en bois est rebâtie en pierre.

            En 122, l'empereur Hadrien retire de l'Ile la Legio IX Hispania, lourdement endommagée par de très violentes rebellions dans le nord depuis 117, et la replace par la Legio VI Victrix, et affectée désormais spécialement à la garde du Mur. York devient alors le quartier général des bases romaines du nord de l'Ile de Bretagne.

            En 196-197 cependant, lors d'une nouvelle révolte importante de la part des Maetae, la forteresse est prise, anéantie et détruite de fond en combles. Elle est reprise et reconstruite par Virius Lupus (197-202).

            En 211, alors qu'il prépare une contre-offensive contre les tribus du nord, l'empereur Septime Sévère meurt à York, laissant le pouvoir à ses deux fils, Bassianus et Geta. Mais l'aîné, Bassianus, se débarrasse de son frère en le poignardant dans les bras de sa propre mère, avec laquelle, selon une rumeur, il entretenait un certain commerce.

            En 212, Bassianus, désormais connu sous son nom de Caracalla, érige Eburacum en capitale de la province Britannia Inferior, province à caractère essentiellement militaire. York se trouve ainsi au deuxième rang des villes de Bretagne, après Londres, qui conserve l'administration civile et politique.

            Les Pictes ayant une nouvelle fois traversé le Mur au profit de l'usurpation de Carausius et d'Allectus qui, se déroulant dans le sud, avait eu pour conséquence de dégarnir les défenses du nord, une sévère reprise en mains est entreprise par la césar Constance Chlore qui "... teint en rouge les Orcades du sang des Pictes".

            La province Britannia Secunda est désormais démembrée en :

            - Britannia Secunda : capitale Eburacum / York

            - Flavia Caesarensis : capitale Lindum Colonia / Lincoln.

            Ce même empereur (296-306) fait reconstruire les forteresses d'Eburacum / York et de Deva / Chester sur de nouveaux plans, en les dotant de tours, qui sont l'un des nouveaux éléments de l'architecture militaire du Bas-Empire romain.

            Eburacum / York devient officiellement la résidence du Dux Britaniarum, qui a compétence sur les opérations du Mur, de la Mer du Nord et de la Mer d'Irlande, et assure la police intérieur de l'ensemble de la Bretagne romaine. Seul le comte de la Côte saxonne est sous la dépendance directe du préfet des Gaules.

            Constance Chlore décède à York le 25 juillet 306. C'est ainsi le deuxième empereur qui décède chez les Bretons. Son corps sera inhumé à ***.

            Son fils Constantin (Ier) est aussitôt proclamé empereur par les légions de Bretagne le 25 juillet 306.

            En 367, Eburacum / York et toute la province du nord sont de nouveau confrontés aux attaques concertées des Pictes et des Scots. C'est au comte espagnol Théodose que Valentinien Ier donne la mission de rétablir l'ordre. Chose faite en 370.

            Nous n'avons pas d'indication précise sur la participation de la Legio VI Victrix à l'épopée continentale et impériale de Maxime, armée dont le noyau dur est constitué par la Legio XX Valeria Victrix, de Deva / Chester (383-388). Cependant, des indices laissent à penser que Maxime aurait pu être un officier supérieur de cette Legio VI Victrix. Certains chercheurs lui attribuent même le titre de général ou de dux, mais nous n'en n'avons pas de preuve absolue.

            Malheureusement, le processus de dégradation est entamé, et à chaque proclamation d'empereur, la Bretagne romaine voit s'étioler petit à petit ses moyens de défense, appelés sur le continent sur les frontières du Rhin aux abords de l'Italie.

            En 402, sur ordre de Stilichon, c'est quasiment toute la Legio VI Victrix qui est ainsi rappelée sur le continent pour défendre la Ville de Rome attaquée par les Wisigoths d'Alaric. Cette légion disparaît alors corps et biens, et ne reviendra plus jamais en Bretagne.

            Malgré tout, York restera pendant plus e'un siècle encore le siège du Dux de Bretagne. Mais celui-ci n'est plus alors désigné par l'autorité centrale, mais par l'assemblée des chefs tribaux et nationalistes britto-romains.

            Il faut reconnaître que cette résistance a été tout à fait glorieuse.

            On ne sait pas exactement comment York est passée sous le contrôle anglo-saxon. Il est raisonnable de penser que cela a pu se faire sous les effets combinés tantôt des guerres, tantôt des alliances.

            Par la suite, York dépendra successivement du royaume de Deira, puis de celui de Northumberland.

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* Anglo-Saxon Chronicle, Laud Chronicle : 741 : "In this year, York was burnt down"

Étymologie :

A) Eburacum

Rivet & Smith : 

Itinéraires géographiques

- Ptolémée, II,3,10 : Eborakon, Legiwn 6 Nikephoros ( = EBORACUM, LEGIO VI VICTRIX), une ville des Brigantes.

* Ptolémée, VIII,3,7 : Eborakon ( = EBORACUM).

* Itinéraire d'Antonin, 

- 4061 (Iter I) : EBURACUM leug. Vi. Victrix;

- 4684 (Iter II) : EBURACUM;

- 4757 (Iter V) : EBURACO;

- 4786 (Iter VIII) : ab EBURACO.

* Ravenna, 10714 : EBURACUM.

* Notitia Dignitatum :

- XL3 : SEXTAE

- XL18 : Praefectus legionis sextae (victricis, EBURACI);

Inscriptions

- JRS, XI (1921), 101-107 : un autel élevé à Bordeaux par M. Aurelius Lunaris, un "SEVIRAUG(USTALIS) COL(ONIARUM) EBOR(ACI) ET LIND(I), qui correspond à un un vœu pris lors d'un voyage maritime, à partir de York, en 237 (après J.C).

- RIB 2274, un milliaire datant de 251-253, trouvé près de Castleford sur la route de Tadcaster à Doncaster : EB(ORACO) M P XXII ( = 27 000 pas).

- RIB 648,dédicace à Hercules : COL(ONIAE) EBUR(ACENSIS).

- RIB 657, partie supérieure d'un autel trouvé à York : NUM(INI) AUG(USTI) ET GEN(IO) EB(OR(ACI)).

- RIB 674, un sarcophage découvert à York : FL(A)VI BELLATORIS DEC(URIONIS) COL(ONIAE) EBORACENS(IS).

- RIB 678, un sarcophage découvert près de York : M(ARCUS) VEREC(UNDIUS) DIOGENES SEVIR COL(ONIA) EBOR(ACENSIS)

- CIL, XIII,3162 : AD LEGIONEM SEXT(AM), qui signifie en fait : " à York".

Textes officiels, littéraires et historiques

- Codex Justinianus, III,32,1 : EBORACI (mention datée du 5 mai 210); 

- Aurelius Victor, 20,27 : "in Britanniae municipio, cui EBORACI nomen".

- Historia Augustae (Severus), XIX,I : " Periit EBORACI in Britannia"; 

- Eutrope, VIII,19,1 : EBORACI; X,I,3 : EBORACI;

- Saint Jérome, Interpretatio Chronicae Eusebii, 212 - 309 ap. J.C : EBORACI;

- Excerpa Valesiana, I,2,4 : EBORACI

- Orose, VII,17,8 : EBORACUM

- Prosper Tiro : 764 : EBURACI; variante EBORACI; 976 : EBORACI

- Cassiodore, A.U.C 893 / après  J.C 211 : EBORACUM

On these sources, RIB p. 215 points out that a distinction should be made between Eboracum, the fortress of Legio VI Victrix on the left bank of the Ouse, and Colonia Eboracensis on the right bank, but both fortress and Colonia were doubtless currently known by the single name Eboracum in ordinary usage. An alternative usage for the fortress is hinted at by ND if we take the textual Sextae as a sort of locative and regard the text as complete as it stands; the fact that Sextae is the caption of ND's pictura supports this, as does the reference in the Marble of Thorigny. It could be, then, that ND needs no addition; but see the arguments of C. E. Stevens in Arch.J., XCVII (1940), 141.

DERIVATION. The more classical form is Eburacum (British *Eburacon), preserved by AI, Ravenna and ND, but by only one of the inscriptions (RIB 648). It is notable that already Ptolemy records Ebor-, and that ail but one of the literary texts have this too; Prosper Tiro has both. While Ptolemy's form might be open to doubt, the later texts showing -o- record the Vulgar Latin process u (stressed and unstressed) > o, a process which did not occur in British until the sixth century, and then only in the south-west (Jackson); instances from Vulgar Latin in Britain are known. Bede has both forms, according to the source he was following in numerous mentions of the city : with u, Eburaci (locative) in II 14, II, 20 and II, 28; also Eburacum (ace.) II, 20; with o, apud Eboracutn I, 5 when mentioning the death of Severus. These are references to the old city. When talking of the episcopal see, Bede strangely made the name feminine : ad Eburacam.. . civitatem I, 29 ; per Eburacae episcopum I, 29; with u/o variation again in the adjectival form, Eburacensis II, 18, and Eboracensis IV, 3. Already in Roman times ecclesiastical usage had adopted the form with Vulgar Latin o, as shown by the name of the bishop who attended the Council of Arles in 314, Eborius. For a different explanation of the u/o change, with a very full account of the name as a whole, see A. H. Smith in EPNS, XIV, 278-80.

Apart from the examples of Eboraci properly employed as a locative in the full sentences of literary texts, there is evidence that the fossilised locative Eboraci was the name of the city in the third century. The inscription of Bordeaux has ab Eboraci (instead of the expected ab Eboraco), and Aurelius Victor writes Eboraci as a pseudo-nominative.

British *Ebur-aco-n had one of two possible senses. *Eburo- was ' yew ' (Irish ibhar glossed 'taxus' ; modem Welsh efwr 'cow-parsnip', as in Dinevor from Din-efwr; Breton evor 'black aider'); hence, with *-aco- suffix (see in general BRAVONIACUM) 'place of yews, place abounding in yews'. Jackson and Williams provide many examples of this use of *-aco- (Welsh -awc, -awg-, -og) with names of trees and plants, e.g. Welsh rhedynog 'bracken-patch' < British *ra-tinaco- (cf. Radenoc in Brittany), ceirchog 'oatfield', celynnawg 'holly-thicket'. However, Ebùros is known as a personal name in Gaul, where commonly the *-aco- suffix was used to denote 'property of, estate of, so that British *Ebùracon could well signify 'estate of Eburos'. We have no way of knowing which meaning is right, though Jackson (Britannia, i (1970), 73-74) regards the first as preferable, because the formation signifying 'estate of' was rare in Britain.

*Eburo- is a common element in Continental toponymy. Similar to the British name are Eb(u)riacus > Yvré-le-Polin (Sarthe, France) and Evry (Seine-et-Oise, France). These involve a personal name
*Eburios. The sense 'yew' is presumably (but see P. Aebischer in RC, xiiv (1927), 328-35) that present in Eburodunum > Brünn (Germany), Yverdon (Switzerland), and Embrun (Hautes-Alpes, France) ; Eburobriga > Avrolles (Yonne, France) ; Eburomagus > Bram (Aude, France); Eburobrittium in Lusitania (Pliny NHiv, 113). Ethnic names include Aulerci Eburovices > Evreux (Eure, France), and the Eburones (Caesar BG n, 4, etc.) who lived between the Maas and the Rhine; both are 'yew-men' ('bowmen' ?). For a full list, see Holden. 1395, GPN34<5-47, DAG 721-22.

It is possible that the British name of Roman York was eventually understood by its inhabitants to contain a word for 'boar ', and a boar appears as the 'canting badge' of the city on the Bordeaux inscription of A.D. 237; if this was at all common, it might have assisted the Anglo-Saxon interpretation of Romano-British Eboracum as Eoforwic 'boar-town'. On this and the later history of the name, see EPNS, xiv, 275 ff."

IDENTIFICATION. The Roman legionary fortress (SE 6052) and colonia (SE 6051) at York, on the left and right banks of the river Ouse respectively. The fortress was occupied by Legio IX Hispana from Flavian times until the reign of Hadrian, when it was replaced by Legio VI Victrix. The settlement which grew up opposite it appears to have been granted the title of colonia by Septimius Severus. The precise location of the domus palatina in which Severus (and presumably Constantius Chlorus) died has not been established.

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note JCE : anglais boar = français : verrat; 

wild boar : cochon sauvage = sanglier.

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B) York :

* Eilert Ekwall : Eborakon, (Eborakon), c. 150 Ptol; Eboracum, Cassiodor, c 730 Bede; Eburacum, 4 Itinéraire d'Antonin, et c. 730 Bede; Eoforwicceaster, 644 ASC, c. 890 OEBede; Eferwic, 10 Aelfric; 1070 ASC; Eforwicceaster, c. 893 Alfred Or; Euruic DB; Euerwik, 1297 Rob Gl; Eoverwik, 3eorc (3orc), 1205 Lay; 3ork, 1338 Rob. Br;  

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C) en langues celtiques

Nennius : Cair Ebrauc, c 800 Historia Brittonum

Geoffroy de Monmouth : Kaerebrauc; Din Efroc.

Gallois : Efrog; Caerefrog

Cornique : 

Breton : Kerevreg; Kerevrog.

Gaelique : 

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Signification étymologique :

- de < *Ebur-aco : *ebur- : if; -aco = accusatif, collectif : lieu planté d'ifs. 

L'if est l'un des arbres sacrés des Celtes. Il est aussi l'élément totémique de la Grande déesse : Dana.

Mais comme il semble que le site de York n'était pas occupé avant que les romains n'y installent un camp, on peut aussi rappeler que l'arbre totémique de Cybèle, la Mère de Rome, est un pin, arbre lui aussi toujours vert de même espèce que l'if. On peut y voir une forme de récupération idéologique par la recherche de l'identification d'une déesse à l'autre pour justifier du rattachement des Brigantes à l'Empire. 

Liste des évêques d'York, approximative avant le 10è siècle : 

St. Caedda; St. Wilfrid, 664-678; Bosa, 678; St. Wilfrid (restoré), 686; Bosa (restoré), 691; St. John of Beverley, 705; Wilfrid II, 718; St. Egbert, 732 or 734; Æthelbeorht (Albert), 767; Eanbald I, 780; Eanbald II, 796; Wulfsige, after 808; Wigmund, 837; Wulfhere, 854; Æthelbeald, 900; Hrothweard (Lodeward or Redwald), incertain; Wulfstan I, 931; Oseytel, 956; Eadwald, 971; St. Oswald, 972; Ealdwulf, 992; Wulfstan II, 1003; Ælfric Puttoc, 1023; Ælthrie, 1041; Ælfric Puttoc, 1042; Cynesige (Kinsy), 1051; Ealdred, 1061; Thomas of Bayeux, 1070; Gerard, 1101; Thomas II, 1108; Thurstan, 1114; vacance, 1140; St. William, 1143; Mordac, 1147; St. William (restored), 1153; Roger de Pont l'Evéque, 1154; vacance, 1181; Geoffrey, 1191; vacance, 1212; Walter de Grey, 1216; Sewal de Bovill, 1256; Geoffrey of Ludham, 1258; Walter Giffard, 1266; William of Wickwaine, 1279; John de Romeyn, 1286; vacance, 1296; Henry of Newark, 1298; Thomas of Corbridge, 1300; vacance, 1304; William Greenfield, 1306; vacance, 1315; William de Melton, 1317; vacance, 1340; William la Zouch, 1342; John of Thoresby, 1352; Alexander Neville, 1374; Thomas Fitzalan, 1388; Ralph Waldby, 1397; Richard Scrope, 1398; vacance, 1405; Henry Bowet, 1407; vacance, 1423; John Kemp (Cardinal), 1426; William Booth, 1452; George Neville, 1464; Lawrence Booth, 1476; Thomas Scot (de Rotherham), 1480; Thomas Savage, 1501; Christopher Bainbridge (Cardinal), 1508; Thomas Wolsey (Cardinal), 1514; Edward Lee, 1531; vacance during which Robert Holgate was schismatically intruded, 1544-55; Nicholas Heath, dernier archevêque catholique d'York, 1555-79.

Sources

* Eilert EKWALL : The Concise Oxford Dictionary of English Place-Names. Fourth édition. Clarendon Press. 1980.

* A.L.F RIVET & Colin SMITH : The Place-Names of Roman Britain. Batsford. 1979.

* JC Even : Histoire nationale des bretons en Grande Bretagne. 2000-2001. Étude entièrement passée sur Internet. + bibliographie in fine.

Envois de :

 

Liens électroniques des sites Internet traitant de York / Eburacum :  

* lien communal : 

* Liste des évêques d'York : http://www.newadvent.org/cathen/15733b.htm

* forum du site Marikavel : Academia Celtica

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