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Breizh Bretagne |
Caritas super eminat |
Bro hag eskopti Sant-Maloù Pays-évêché de Saint-Malo |
Néant-sur-Yvel *Neant |
pajenn bet digoret an 19.05.2019 | page ouverte le 19.05.2019 | * forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 02/08/2024 10:24:34 |
Définition
: commune de la Bretagne historique, en Pays-évêché de
Saint-Malo. Aujourd'hui dans la région administrative non historique dite "de Bretagne"; département du Morbihan; arrondissement de Vannes; canton de Mauron; sur l'Yvel, ruisseaux de Landuez, du Pont-Perrin, de Pivolet, de la Maladrerie Code postal : 56430 Superficie : 3230 ha. Population : 1500 'communiants' vers 1780; 1630 hab. en 1896; 1615 hab. en 1891; 939 hab. en 1968; 835 hab. en 1982; 882 hab. en 1996; 851 hab. en 1999; |
Armoiries; blason :
* Froger & Pressensé : "d' argent au rocher de gueules sommée d'une croix latine d'argent et soutenue de deux feuilles de chêne ployées de sinople. Au chef parti : à dextre de gueules à sept macles d'or posées 3, 3, 1, et au lambel à quatre pendants d'argent; à senestre d'azur aux lettres capitales M et V imbriquées sommées d'une épée tombante, le tout d'or". Devise : Varitas super eminat Concepteurs : J.Cl. Renaud & Y. Garaud Conseil municipal : 31 juillet 1989 * JC Even : "en arc'hant e garreg en gwad leinet gant ur groaz latin en arc'hant ha skourret gant div delienn derv kromm en geot; e gab rannet : ouzh dehoù en gwad e seizh mailhenn en aour, 3, 3, 1, e lambel a beder drailhenn en arc'hant; ouzh kleiz en glazur e ziv pennlizerenn M & V kenweek leinet gant ur c'hleze ouzh beg, an holl en aour"
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Paroisse : église sous le vocable de saint Pierre |
Histoire : * Ogée (1780) : Néant; sur la route de Ploërmel à Dinan; à 15 lieues 3/4 au S.-0. de Saint-Malo, son évêché; à 10 lieues 1/4 de Rennes, et à 2 lieues 1/3 de Ploërmel, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1,500 communiants. La cure est a l'alternative. Le territoire est un pays assez généralement plat et couvert, qui se termine, à l`est, à la forêt de Paimpont, et, à l`ouest, à la rivière d`Inel. On y voit des terres en labeur, des arbres à fruits, des prairies et des landes. Il se tient un marché, le vendredi de chaque semaine, dans la cour du château du Bois-de-la-Roche, qui est la maison seigneuriale de la paroisse. Cette maison est très-ancienne, et nommée du lieu de sa situation, qui est sur le haut d'une assez haute montagne, voisine d'un bois coupe par la rivière d`lnel, qui passe par l'étang au Duc, entre Ploërmel et le bourg de Taupon. Le château du Bois-de-la-Boche échut, en 13110, à Renaud de Montauban, Ier du nom, fils d`O1ivier de Montauban, qui, par son mariage avec Amice du Breil, fille unique et héritière de Guillaume du Bois-de-la-Roche, devint seigneur de cette terre. ll eut un fils nommé Renaud de Montauban, qui fut un des plus grands guerriers de son temps. Philippe de Montauban, seigneur du Bois-de-la-Roche, fut très-savant dans la jurisprudence et très-habile dans les armes. Le duc François II le fit gouverneur de Rennes et chancelier de Bretagne en 1487. Ce seigneur et le comte de Comminges dirigèrent les démarches de la reine Anne, après la mort de son père, et empêchèrent le mariage de cette princesse avec le sire d'Albret. Lorsqu'il fut question de faire la paix en Bretagne, et de faire consentir la duchesse à épouser le roi Charles VIII, Philippe de Montauban fut le seul qui pût la résoudre à conclure cette alliance, pour laquelle elle avait peine à consentir. Après ce mariage si désiré, le roi Charles Vlll employa Philippe dans les charges les plus importantes; et lorsqu'il supprima la place de chancelier de Bretagne, il lui donna le titre de gouverneur et de garde de la chancellerie de la province. En 1513, le roi Louis Xll érigea en vicomté la terre et seigneurie du Bois-de-la-Roche et celle de Saint-Brice, que Philippe avait achetées de M. de Scepeaux, en baronnie. Ce fut environ le même temps que le seigneur fit fermer de murs le parc du château du Bois-de-la-Roche. Philippe de Montauban tomba malade, et fit son testament à Rennes, le 27 juin 1514. Il mourut le 1er juillet suivant. Son corps fut porté à Ploërmel, et inhumé dans la chapelle de Notre-Dame; chapelle qu'il avait fondée lui-même dans l'églíse des pères carmes de la même ville. On y voit son tombeau avec l'épitaphe suivante : Ci-gist haut et puissant seigneur Philippe de Montauban, baron de Grenonville, de Bazoges et de Sens, vicomte du Bois-de-la-Roche, chancelier de Bretagne, fondateur de cette chapelle, qui décéda à Rennes le 1er jour de juillet 1514. Priez Dieu qu'il lui fasse pardon. Anne du Châtelier, son épouse, lui survécut quelque temps, et fut inhumée, après sa mort à côté de son époux. La seigneurie du Bois-de-la-Roche passa dans la maison de Volvire, qui est une des plus anciennes du royaume, puisqu`elle existait sous le règne de Robert, trente-septième roi de France, qui commença à régner en 996. Ce fait est prouvé par un acte conservé dans les archives de cette maison, lequel, dit Quingelien, vicomte de Volvire, vivait du temps de ce monarque. René de Volvire, baron de Rufec, épousa Catherine de Montauban, fille de Philippe de Montauban, qui lui porta ses biens. Philippe de Volvire fut chevalier des ordres du roi, gentilhomme ordinaire de sa chambre, et, en 1567, capitaine de cent lances de ses ordonnances. Le roi Charles IX le retint en cette qualité en son conseil, par brevet donné à Saint-Germain-en-Laye, le 4 juillet 1570. Quelque temps auparavant, le roi lui avait fait don de 6,000 livres; et dans l'expédition des lettres données à ce sujet le 17 novembre 1567, le monarque le qualifie de son cousin. Le 12 Décembre 1570, il fut envoyé en ambassade vers les princes d'Allemagne, en place du comte de Retz, qui était tombé malade. Cette ambassade était pour traiter du mariage de François de France, duc d'Alençon, frère du roi, avec la seconde fille d'Auguste, duc de Bavière, pour assurer le Landgrave de Hesse et le duc de Wittemberg de l'amitié de ce prince, et entretenir l'intelligence qui était entre eux et la couronne de France. Le mariage projeté ne réussit pas, mais ce voyage ne laissa pas de faire honneur à Philippe de Volvire, qui, à son retour, eut la lieutenance générale de Bretagne, vacante par la mort du seigneur de Bouillé. ll n`occupa pas cette place, parce qu'il fut presque aussitôt décoré de la lieutenance générale et du gouvernement du pays d'Angoumois. L'an 1582, le roi Henri III, voulant s`attacher les grands du royaume, institua l'ordre du Saint-Esprit, composé de cent chevaliers. Philippe de Volvire fut fait commandeur de cet ordre, le dernier jour de décembre de la même année. Ce ne fut pas la dernière faveur qu'il reçut du roi, qui, le 23 juillet 1583, lui donna la lieutenance générale de Saintonge et le gouvernement de La Rochelle et pays d'Aunis, en l'absence du roi de Navarre, qui était gouverneur de Guyenne. Ce seigneur était âgé de cinquante-trois ans, et assuré du premier bâton de maréchal de France vacant, lorsque la mort vint le surprendre au commencement de l`année 1585. Il était en si grande vénération dans son gouvernement d`Angoumois, que les habitants du pays députèrent à Paris pour demander son corps à madame Anne d'Aillon, son épouse, et l'inhumèrent dans la cathédrale de Saint-Pierre, avec tous les honneurs dus à son mérite, et convenables au zèle de ceux qui faisaient les funérailles. Anne d'Aillon, épouse de Philippe, fit son testament le 28 juin 1618, et demanda à être enterrée aux carmes de Ploërmel, dans la chapelle et enfeu des seigneurs du Bois-de-la-Roche. Elle ordonna aussi de mettre son cœur dans le même vase de plomb où était celui de son mari, qu'elle avait toujours soigneusement conservé, et de le porter dans l'église collégiale de Saint-André-du-Rufec, à laquelle elle légua 10 livres tournois de rente, pour une messe basse par semaine. Ses entrailles furent déposées dans la chapelle de Saint-Brice, et son corps fut porté, quelque temps après, aux carmes de Ploërmel, pour y être inhumé. Le convoi fut assisté de ses enfants, de tous les gentilshommes voisins et d'un grand concours de peuple. Guillaume le Gouverneur, évêque de Saint-Malo, fit la cérémonie des funérailles et prononça l'oraison funèbre. Le comte du Bois-de-la-Roche et le baron de Saint-Brice, ses enfants, avaient fait faire des ornements de velours noir, comme chasubles, dalmatiques, chapes, parements d'autel, drap mortuaire, qu'ils laisseront aux religieux carmes. Le corps fut déposé dans le caveau, auprès de celui de Philippe de Montauban et autres seigneurs de cette maison. Avant de mourir, cette dame avait eu la douleur de voir son château du Bois-de-la-Roche assiégé et pris, en 1592, par les seigneurs de Camors, qui mirent le feu au bois qui le joint, et en brûlèrent une grande partie. Henri de Volvire, second fils de Philippe et d`Anne d`Aillon, fut tenu sur les fonts baptismaux par le roi Henri III et Marguerite, duchesse de Savoie. Il se distingua dans les guerres où il servit. Son maître, le roi Henri IV, voulant reconnaître les services que lui et ses ancêtres avaient rendus à l'État, érigea la vicomte du Bois-de-la-Roche en comté, comme on le voit par les lettres de ce monarque, du mois de février 1607, publiées et enregistrées au Parlement les 22 et 23 juin 1609. Ce seigneur avait été président de la noblesse, aux États assemblés à Ploërmel, l'an 1606. Le 16 avril 1616, le roi Louis XIII le créa capitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, pour récompense de ses services, et lui donna le titre de conseiller en son conseil d'État. Henri de Volvire mourut, en son château du Bois-de-la-Roche, le 8 octobre 1645, et huit jours après son corps fut porté processionnellement aux carmes de Ploërmel. La justice et la noblesse assistèrent à ses funérailles en corps et en habit de deuil. Son fils, nommé Charles, mourut aussi au château du Bois-de-la-Roche, le 26 février 1692. Le lendemain son corps fut porte aux carmes de Ploërmel, pour y être enterré dans l`enfeu de ses ancêtres. Son convoi funèbre fut mené par les recteurs des paroisses de Néant, Guilliers, Loyat et Tréhoranteuc. Il laissa de son mariage plusieurs enfants : Joseph, l'aîné de tous, fut colonel du régiment de Bretagne, infanterie, en 1688, et gouverneur de la ville de Ploërmel. La terre et seigneurie du Bois-de-la-Roche appartient présentement à M. de Saint-Pern Ligouer. En 1420, la maison du Boissic appartenait à Raoul de Bois-Jacu; la Touche, à Guillaume l'Ecuyer; la Saudraye, à Jean le Prévost; la Roche, à Olivier de la Regneraye; le Frêne-Daniel, à Olivier Jolivet; le Bochet, à Michel des Prés.
* Marteville et Varin (1843) : NÉANT; commune formée de l'anc. par. de ce nom;
aujourd'hui succursale. — Limit. : N. Mauron; E. Tréhorenteuc, Paimpont, Saint-Loyat; O. Guilliers.
— Princip. vill.:
La Ville-Zinc, le Bois-Bily, la Ville aux Feuvres, la Ville-Agnes, la Ville-Boulard,
Kereméan, la Grande-Touche, le Bouchat, la Ville-Hubaut, le Bouexis, Lhopital,
Kermagaro,
També, Tregadou, Quelneuc, Trémel, Penhouet. Moulins
a vent de la Grée, des Corvées.
On voit dans l'église
de Néant, nous écrit M. L....Z., le tombeau de Mle de Volvire, dont la mémoire est toujours
chère aux habitants de
ces contrées. Son image est religieusement conservée dans
la sacristie. On lit au pied de ce portrait : ANNE-TOUSSAINTE-DE-VOLVIRE,
APPELÉE COMMUNÉMENT Mlle DU BOIS-DE-LA-ROCHE, OU LA SAINTE DE
NÉANT, MORTE EN ODEUR DE SAINTETÉ LE 22 FÉVRIER 1694. SON TOMBEAU
EST EN RENOMMÉE PAR UN GRAND NOMBRE DE MIRACLES. On vend une petite brochure contenant la vie de
la Sainte de Néant, et quelques-uns des cantiques composés en son honneur, auprès de la fontaine
qui porte son nom, et qui est visitée par de nombreux pèlerins. M. Émile
de Condé a raconté d'une manière fort
touchante, dans ses Récits et Impressions de voyage, p. 1 et
suiv., l'évènement qui détermina la vocation religieuse de
Mlle de Volvire. (Voy. aussi la Vie des Justes, par M. (Tarron.) Un arrêté du Directoire du département du Morbihan, rendu le 1er avril 1793, en exécution de l'art. 2 de la loi du 18 mars précédent, ordonna la démolition du château du Bois-de-la-Roche, par mesure de sûreté publique, ou dans la crainte qu'i1 ne servit de retraite aux ennemis de l'intérieur. L'exécution de cet arrêté fut confiée au directoire du district de Ploërmel, qui donna immédiatement commission a un officier municipal de surveiller le château, et chargea M. Boulay, ingénieur des ponts et chaussées, de lui faire un rapport sur l'assiette et la position du Bois-de-la-Roche, sur le système de fortifications que présentait ce manoir aux insurgés du dedans et aux ennemis du dehors, sur les moyens d'attaque et de défense dont il était susceptible, sur les parties qu'il était important de démanteler ou démolir, et sur les portions qu'on pouvait conserver comme bâtiments civils, sans danger pour la chose publique. M. Boulay, soit qu'il éprouvât du regret de voir tomber cet antique et bel édifice, dont le cardinal de Richelieu avait trouvé trop dispendieux ou inutile d'ordonner la démolition, soit que la mesure réclamée lui parût trop rigoureuse ou injuste, émit l'opinion, dans son procès-verbal, en date du 9 avril 1793, que ce château n'était pas un poste tellement avantageux qu'il fût à l'épreuve du canon, ou qu'il dût inspirer des craintes sérieuses; que deux de ses tours notamment étaient vieilles, que la plate-forme était à découvert et sans parapet, et que l'artillerie y manœuvrait assez difficilement. Ce fonctionnaire se borna à demander la démolition d'un mur de clôturer et de deux pavillons gothiques. "Mais lorsque l'ingénieur Boulay, lit-on dans un mémoire rédigé par M. Toullier, adressé à la Convention nationale, au mois de mai 1793, alla pour faire le dépôt du procès-verbal contenant le résultat de son examen et écrit entièrement de sa main, on l'intimida, on l'empêcha de signer, en le menaçant de le punir de son incivisme, et il refusa de souscrire son propre ouvrage". Le 15 mai, les citoyens Landormy, Paillier et Boulay, par suite d'une nouvelle décision du conseil du district, en date du même jour, faisaient raser les redoutes de l'entrée septentrionale du Bois-de-la-Roche, les tours et plates-formes revêtues des faces extérieures vers orient; ils faisaient démolir les arcades et les murs d'enceinte à l'occident, recomblaient les fossés et les caves, faisaient disparaître les plus fortes escarpes, les embrasures des casemates et les meurtrières. Peu de temps après, une compagnie de partisans, dirigée par MM. Jean et Pierre de Saint-Pern-Couëllan, s'étant défendue avec vigueur, au Bois-de-la-Roche, contre une colonne mobile, les Républicains mirent le feu à l'un des corps de bâtiments pour les débusquer de cette position. Il y a foire à Néant le premier mardi de juin. — Géologie : schiste talqueux. — On parle le français. |
Patrimoine.
Archéologie : seules les fenêtres ouvertes ont des liens actifs
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Étymologie :
* Jean-Yves Le Moing (1990) : Neant, 1330, 1426 * Erwan Vallerie (1995) : Neant, 1330, 1420 * Éditions Flohic (1996) : Néant-sur-Yvel est issu du nom breton néan, le ciel ou horizon. C'est peut-être aussi le paradis. En 1947 la commune devient Néant-sur-Yvel |
Personnes connues | Tud brudet |
Anne-Toussainte de Volvire Madame du Bois-de-la-Roche Morte en odeur de sainteté 1653-1694 |
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docteur Guérin
(1816-1895)
inventeur du pansement ouaté |
Armorial * Ardamezeg
d'Andigné | Baron | |||
Originaire du Poitou Châtelains de la Chasse en 1707, en Iffendic; seigneurs de Saint-Jean et des Maisons Neuves, en Saint-Malon; de la Marche, du Hallay, de la Bouëxière, en Soudan; de Kermagaro et de la Roche, en Néant; de la Grée, en Augan; des Touches, de Mayneuf, en Saint-Didier; de Sainr-Germain, en Saint-Germain-en-Coglès; du Plessis-Bardoul, en Pléchâtel; de Beauregard en-Montfort-la Canne; baron de Mauron; seigneur de la Soraye en Quintenic; de Kerédec en Plouzané; baron de Vézins, en Anjou, et de Pordic; seigneur de Lancrau; de Resteau treize générations; références en 1513 "d'argent à trois aiglettes de gueules becquées et membrées d'azur" "en arc'hant, e deir ererig en gwad pigosek hag iziliek en glazur" sceau / siel 1392 devise / sturienn Aquila non capit muscas (PPC) |
Seigneurs du Taya, en
Néant "d'argent à deux lions affrontés de gueules, soutenant une moucheture d'hermine de sable" "en arc'hant e zaou leon penn-ouzh-penn en gwad, o skourañ ur vrizhenn erminig en sabel". (PPC)
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Vie associative | Buhez dre ar gevredadoù |
Communes limitrophes de Néant |
Parrezioù tro war dro *Neant |
Mauron | Tréhorenteuc |
Sources; Bibliographie : * OGEE : Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne; vers 1780; * A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843. * Adolphe JOANNE : Géographie du Morbihan. Hachette. 1888. * Dictionnaire MEYRAT : Dictionnaire national des communes de France. (année 1968). Editions Albin-Michel Paris. 1970 * Jean-Yves LE MOING : Les noms de lieux bretons de Haute Bretagne. Coop Breizh. 1990 * Erwan VALLERIE : Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez * Corpus * Traité de toponymie historique de la Bretagne. An Here. 1995 * Michel FROGER et Michel PRESSENSE : Armorial des communes du Morbihan. 1999 * Editions FLOHIC : Le Patrimoine des communes du Morbihan. 1996 * Daniel DELATTRE : Le Morbihan; les 261 communes. Editions Delattre. 2004 * Pol POTIER de COURCY : Nobiliaire et armorial de Bretagne. 1890. Editions des Régionalismes. 2011 / 2015 * AL LIAMM : Nouveau Dictionnaire Breton / Français; Français / Breton. 2014 |
Liens électroniques des sites
Internet traitant de Néant-sur-Yvel / Neant : * lien communal : https://www.commune-mairie.fr/neant-sur-yvel-56430/ * Wikipedia brezhonek : https://br.wikipedia.org/wiki/Neant * forum du site Marikavel : Academia Celtica * Autres pages de l'encyclopédie Marikavel.org pouvant être liées à la présente : http://marikavel.org/heraldique/bretagne-familles/accueil.htm http://marikavel.org/broceliande/broceliande.htm * solidarité nationale bretonne avec le département de Loire Atlantique : Loire-Atlantique * sauf indication contraire, l'ensemble des blasons figurant sur cette page ont été dessinés par J.C Even, sur bases de GenHerald 5. * Introduction musicale de cette page : Bro Goz Ma Zadoù, hymne national breton, au lien direct : http://limaillet.free.fr/MP3s/BroGoz.mp3 hast buan, ma mignonig, karantez vras am eus evidout va vite, mon petit ami, je t'aime beaucoup go fast, my little friend, I love you very much |