Encyclopédie Marikavel-Jean-Claude-EVEN/Encyclopaedia/Enciclopedia/Enzyklopädie/egkuklopaideia
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forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 10/01/2021 12:16:05 |
Famille le Bacre : débouté en 1670. Guy, procureur à la cour de Rennes en 1670. (PPC) | ||||
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Famille Badam : "d'argent à trois merlettes de gueules, au franc canton de même" / "en arc'hant e deir moualc'henn en gwad, e c'hrenngonk ivez en gwad". Guillaume, conseiller du duc Arthur III en 1309. (GLB)(PPC) | |||
Famille Badereau : seigneurs de la Saminière, en Sainte-Luce; de la Caffinière, en Remouillé; du Buttay en Sainte-Mars-de-Coutais; de Soulans. "de gueules à deux épées en sautoir la pointe en haut, accompagnées en chef et en flancs de trois étoiles et en pointe d'un croissant, le tout d'argent" / "en gwad, e zaou c'hleze lammellet begoù ouzh kab, eilet ouzh kab hag ouzh lezioù gant teir steredenn hag ouzh beg gant ur greskenn, an holl en sabel". Trois conseillers auditeurs des comptes depuis 1724. Famille transplantée dans l'Auxerrois. (PPC) | ||||
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Baeldaeg ( *** le Bon) : fils du roi d'origine germanique Woden; il a pour héritier Brand. (ASC/Parker). |
Famille Baellec : seigneurs de Kermoualc'h en Meslan; de Locunolay en Kervignac; de Kerouallan en Lignol; de Kerbihan en Lesbin-Pontscorff; de Kerlezhoarn en Bubry. "d'argent à l'aigle épolyée d'azur" / "en arc'hant e erez dispaket e glazur". référencé en 1536. débouté par la réforme de 1770. (PPC) | ||||
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Baetasii : nom d'une peuplade installée à l'ouest du Rhin, dans la région de Dusseldorf; chef lieu : peut-être la ville de Beez, en Belgique. Une unité de Baetasii (Baetasiorum) a été en garnison à Regulbio / Reculver, en (G)Bretagne. |
Famille le Bagatz : seigneurs dudit lieu en Guichen; de Longlée en Retiers; de la Salmonnaye en Auverné. "d'argent au sautoir de gueules" / "en arc'hant e lammell en gwad". références de 1427 à 1478. Raoul, connétable de Rennes en 1451. (PPC) | ||||
Famille le Bagatz : (alias) : "d'azur semé de billettes d'argent, à la cotice d'hermines" / "en glazur hadet gant kanochennoù en arc'hant, e c'housourin en erminoù". (PPC) | ||||
Famille Bages : évêché de Vannes. Paroisse non donnée. "un croissant accompagné de cinq billettes" / "ur greskenn eilet gant pemp kanochenn". (sceau / siell 1217) | ||||
François-Ignace Baglion, (originaire de l'Agenais), évêque de Tréguier de 1679 à 1686. | ||||
Famille Bagot : seigneurs des Salles en Trégueux; de la Roche-Blanche; de la Ville-Ménart; de Prévallon. "d'azur à la bague ou annelet d'or" / "en glazur e rilhenn en aour". arm. 1696. Plusieurs syndicts et maires de Saint-Brieuc depuis 1579. (PPC) |
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Famille Baguénet : "porte un sautoir accompagné en flancs de deux étoiles et en pointe d'un croissant; au chef chargé de deux croix potencées" / "dougen a ra ul lammell eilet ouzh lezioù gant div steredenn hag ouzh beg gant ur greskenn; e gab karget gat div groaz krouget". (cf Blanc-Manteaux). évêché et paroisse non précisés. (PPC) | |||
Famille Bahaly : seigneurs de Kerivot en Plouëzal (= Ploézal). "de gueules à la croix engreslée d'or" / "en gwad e groaz koñchek en aour". références et montres de 1481 à 1543. (PPC) | ||||
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Famille le Bahezre : seigneurs dudit lieu en Saint-Mayeux, trèves de Saint-Gilles; de Tananguen et de Lanlay en Plésidy; de Mesfantan, du Cosquer en Bourbriac; de Kerfichant et de Rosvillou en Duault; de Créamblay en Maël-Pestivien; de Kervénargant en Guilers; du Rest, du Quenquis en Locarn; de Kervéno et du Goullo en Plouray. références et montres de 1447 à 1562; maintenus par arrêt du Parlement de 1675. "d'argent au lion de gueules, armé et lampassé de sable" / "en arc'hant e leon en gwad, krabanet ha teodet en sabel". (PPC) | |||
Famille Bahulost : seigneurs de Kermathéman et de Kerillis, en Pédernec |
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Famille Baillardel : "En glazur, e varc'h divaskellet en argant, eilet ouzh kab gant daou c'hleze lamellet ivez en argant, hag ouz beg gant ur verienenn en aour". Ginidig eus Normandi. Aotrouien Larenty. Dalc'het gant Kuzul Martinik e 1780. Familh nesañtet gant ar re la Haye-Saint-Hilaire, Cossin de Chourses, Chastenet de Puységur. cf Pol Potier de Courcy |
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Bailleul / Baliol (de) : famille normande qui accède au trône Écosse en 1292. |
Bailleul (Édouard) : | ||||
Famille le Baillif : seigneur de Sulé, en Surzur; du Quillio, en Guern. "d'or au château de sable, au bâton d'argent brochant" / "en aour e c'hastell en sabel, e sourinan en arc'hant balirant". références et montres de 1427 à 1536. (PPC) | ||||
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Famille le Baillif , en breton ar Veli : seigneur de
Coëtjunval, en Ploudaniel
: "d'azur à deux estamaux ou orceaux d'or, couronnés de
même / en glazur e zaou stammell pe orsel en aour, kurunet ivez en
aour"
Devise / Sturienn : MERUERE CORONAN |
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Famille le Baillif : seigneur de Tourault, en Plougrescant; Kernuz, en Perros-Guirec. "d'azur au chevron d'argent, accompagné de trois besants de même, 2, 1" / "en glazur e gebrenn en arc'hant eilet gant tri bezantenn ivez en arc'hant, 2, 1". références et montres de 1427 à 1543. (PPC) | ||||
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Famille le Baillif : seigneur de Kersimon et de Keroulédic, en Plouguin. "écartelé d'or et de gueules" / "palefarzhet etre aour ha gwad". références et montres de 1427 à 1503. (PPC) | |||
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Famille le Baillif : originaire de Normandie. seigneur de la Rivière, de Saint-Martin, en Beuzec-Conq; de Lestrezec; de Portzsaluden. "d'argent au palmier arraché de sinople, fruité d'or" / "en arc'hant e wezenn-balmez en geot diframmet , frouezhiek en aour". maintenu par les commissaires en 1716 et par arrêt du parlement de 1778. (PPC) | |||
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Famille Baillon : seigneurs du Blancpignon, de Cervon, de Longpré; de la Coudre, en Saint-Méloir-des-Ondes. "d'azur à deux épées d'argent garnies d'or, posées en sautoir, accompagnées en chef d'un croissant d'argent / en glazur e zaou c'hleze en arc'hant dornellek en aour ha lammellet, heuliet ouzh kab gant ur greskenn en arc'hant". | ||
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Famille de Bain : seigneurs dudit lieu, paroisse de ce nom; de Poligné : "losangé d'argent et de gueules / talbennanek etre ar'hant ha gwad" | ||
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Famille Bain, seigneurs de la Landelle de la Ricardais, de la Touche, de Bonabry; de la Coquerie, en Saint-Aubin-des-Châteaux : "d'azur à la bande d'or chargée de cinq croissants de gueules et accompagnée de deux lévriers rampants d'argent / en glazur e sourin en aour karget gant pemp greskenn en gwad, hag heuliet gant daou c'hadgi savant en arc'hant" |
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Balam : "de gueules au lion d'argent, au chef d'azur chargé de trois billettes d'argent / en gwad, e leon en arc'hant; e gab en glazur karget gant teir kanochenn en arc'hant" (sceau / siell 1396) |
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Famille Balathier . originaire du Dauphiné : "de sable à la fasce d'or / en sabel, e dreustell en aour" |
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Famille de Balavenne . seigneurs de Kerlan, en Camlez; de Kervézec, du Ballac'het de Kermébel, en Plougasnou; de Mesily, de Lestrézec, de Lanigou, en Taulé. "d'argent à trois fermaux de sable, 2, 1, un annelet de même en abyme / en arc'hant e zri ezev en sabel, ur ruilhenn ivez en sabel ouzh kondon" |
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Ballan : "de sable à la fasce d'argent chargée de trois tourteaux de gueules / en sabel e dreustell en arc'hant karget gant teir dorzhell en gwad" |
Compte tenu des recherches historiques et linguistiques, on peut identifier le royaume de Ban à la partie sud du pays Goelo, et précisément le bassin du petit fleuve côtier Ic. Le nom de Benoïc peut effectivement se traduire par *Ben-o-Ic = embouchure de l'Ic, ou *Ben-av-Ic = les bouches de l'Ic, sachant qu'à l'embouchure de ce petit fleuve se trouve la station appelée aujourd'hui Binic = bouche de l'Ic. Les limites nord et ouest du bassin de l'Ic correspondent en effet à la limite linguiste et toponymique entre les toponymes bretons en *Ker et les toponymes gallo-romains en *Villa > Ville. Cette particularité permet de dire que le sud du pays Goelo, originellement dépendant du territoire de la cité des Ossismes, jusqu'au Gouet, a été attribuée vers le Vè siècle à la cité des Curiosolites, dans le cadre de la réorganisation territoriale de cette cité. Compte tenu de la datation de la bataille de Carohaise, le mercredi Ier mai 474, il est permis de dire que Ban était alors en âge adulte avancé. Ban a participé à cette bataille en tant qu'allié de Leodagan de Carohaise, allié également du tout jeune Roi Arthur. Il a été fait prisonnier pendant un moment par les ennemis, mais a été délivré par ***. Selon le texte de la Légende, Ban possède le château de Trèbe, qui lui aurait été enlevé par Claudas de la Terre Déserte. Ce château n'est pas identifié. Ban est décédé peu de temps après que Claudas de la Terre Déserte s'est emparé de son "royaume". Son fils, Galaad / Lancelot, a hérité de ses biens et de son titre, et s'est trouvé, par l'alliance britto-armoricaine établie en 497 en accord avec Clovis, légat de l'Empire, ami et vassal du Roi Arthur. |
Banin : filleul du roi Ban de Benoïc; c'est lui qui exécute Aleaume, sénéchal et traître au roi Ban au profit de Claudas de la Terre Déserte. |
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Barbette : "d'azur, au barbet d'argent, colleté de gueules; au chef d'argent, chargé d'un rameau de sinople couché en fasce / e glazur, e c'hi foutouihek en arc'hant, gwakolliet en gwad; e c'hab en arc'hant, karget gant ur skoultrig geotet ledet ha treustellet" |
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Barbu (Francis) : 12è évêque constitutionnel de Quimper et Léon ( = Finistère) en Petite Bretagne, de 1968 à ***; il a succédé à André-Pierre-François Fauvel, et eu pour successeur *** |
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* Bardyetae : peuple du nord de l'Espagne, entre les Allotrigues et les Vascones; ville principale : Oeasso. |
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Famille Bartaige du Minihi : "d'argent, fretté d'azur de six pièces; en chef un croissant de gueules / en arc'hant, plezhek e glazur a c'hwec'h pezh; (e)ur greskenn en gwad ouzh kab" |
Basile (Basileus) : nom de plusieurs empereurs byzantins. |
Basile
Ier le Macédonien (Basilius Makedonicus)
: fils de *** et ***; né à
Andrinople, le *** 812; empereur d'Orient le *** 867; décédé à ***le 886. |
Basile II :
fils de *** et ***; né à ***, le ***; Empereur d'Orient le *** 963; Écrase les Bulgares et les Arabes. Décédé à ***, le ***1025. |
Basiliscus (Flavius Basiliscus) : Maître des deux milices, entre 468 et 472. Reçoit le commandement de l'expédition de 468 contre les Vandales. Épouse Aelia Zénonide. Proclamé empereur par Aelia Verina en janvier 475. Déposé par Zénon, rétabli sur son trône. Mort en exil en Cappadoce. |
Basin : roi franc de Thuringe; il reçoit Childéric comme réfugié politique; son épouse Basine le quitte pour rejoindre Childéric quand celui-ci recouvre son royaume. |
Basine : épouse du roi de Thuringe Basin; elle quitte celui-ci pour rejoindre Childéric, à qui elle donne Clovis. |
Bataves
: peuplade germanique du rivage de
la Mer du Nord, à l'ouest des bouches du Rhin. Chef lieu
: ***; autre villes :***. Des auxiliaires Bataves ont participé à l'expédition de l'armée romaine contre la Bretagne en 0043 après J-C. |
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Famille de Baterel : "d'argent, à deux léopards de sable, couronnés de même / en arc'hant, e zaou leonparzh en sabel, kurunet ivez en sabel" |
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Famille le Baud de Kerverien : "d'azur, à dix billettes d'or / e glazur, e dek kanochenn en aour" |
Beaker Folk / Beaker People / Peuple des Gobelets : population protohistorique installée en Ile de Bretagne vers 2000 avant J.C. Son nom lui a été attribué du fait qu'il a été souvent trouvé des vases campaniformes dans leurs tombes, elles-mêmes individuelles. |
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Famille de Beaumanoir : "d'azur,
à dix billettes d'argent / e glazur, e zek kanochenn en
arc'hant". Jean de Beaumanoir commandait les chevaliers du parti breton au Combat des Trente. |
Bède
(le Vénérable) / Beada : moine et historien
national anglais; né à Wearmouth (comté de Durham) en
673; Bède est décédé à *** ?) en 735; Bède a été
canonisé, il est honoré le 27 mai Auteur de : - History of the English Church and People. - Manuel de Dialectique. |
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Bedoyer /
Beduier : chevalier. Echanson d'arthur. Selon Malory, c'est lui qui accompagnait Arthur lors de l'agonie de celui-ci, et que c'est lui qui aurait jeté Excalibur dans l'eau. |
Famille de la Bédoyère : seigneur dudit lieu en Talensac "d'azur à six billettes percées d'argent" / "en glazur e c'hwec'h ganochen toull en arc'hant". Références de 1427 à 1441. Fondu au XVè siècle dans Huchet. (PPC) | ||||
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Famille de Begaignon : "fretté d'argent et de gueules / plezhek en arc'hant hag en gwad" |
Belatucadrus : divinité honorée essentiellement en Cumbria, et rapprochée du dieu Mars. (cf. I.A Richmond, Roman Britain; p 197) |
Belges (Belgae)
: vague celtique des derniers
siècles du millénaire avant J.C. Le gros de la vague
est installé dans le nord de la Gaule, de l'embouchure
de la Seine à l'Escaut, jusqu'aux sources des rivières
***. Le thème de leur nom est basé sur la Fierté , sur la Force guerrière : *** Peuples belges de Gaule belgique : Ambiani; Atrebates; Bellovaci; Caletes; Catuslogi; Mandubii; Mediomatrici; Menapii; Morini; Nervii; Remi; Suessiones; Treveri; Veliocasses; Viromandui; Peuples belges en extension en Ile de Bretagne : Atrebates; Belgae; Cantiaci, Catuvellauni; Durotrigues; Trinobantes; Icenii (?) Peuples pouvant être apparentés aux Belges : Volcae Tectosages (Toulouse), Volcae Arecomici (Nîmes) |
Belges (Belgae) : peuple celtique de l'Ile de Bretagne, issu de la vague belge. Il est installé dans le quart sud-ouest de l'Ile. Nous ne connaissons pas sa capitale originelle. Sous les Romains, il a pour capitale Venta / Winchester, et pour villes principales Ischalis / Charterhouse-on-Mendip, et Aquae Calidae / Aquae Minerva / Aquae Sulis / Bath. En Grande Bretagne, le territoire des Belgae couvre les actuels comtés de Wiltshire, ... |
BEL1AL, idole des Sidoniens, mentionnée dans la Bible (Juges, 19, 22 ; Rois, I, 2, 12), est sans doute le même dieu que Baal ou Moloch. (M.N Bouillet) |
BËL1DOR (Bernard FuR£<i DE , célèbre ingénieur ; français, né eu lU'JT en Caîalogne pendant la guerre d'Espagne, mortenl761, servit avec distinction dans plusieurs campagnes, et fut ensuite nommé professeur à l'école d'artillerie de La r'ère, et inspecteur-général des mineurs de France. On a de lui un Nouveau Cour* de mathématiques, à l'usage, de [artillerie, 1747; la Science des ingénieurs, ! " tés de fortifications, d'architecture militaire et d'hydraulique, et un Dictionnaire de l'ingénieur. fut membre des académies des Sciences de Paris et île Berlin. Ses ouvrages furent longtemps classiques. M.N Bouillet |
BEL1N DE BALLU (Jacq.-Nic.), savant
helléniste, né à Paris en 1753, cultiva les lettres en
même temps qu'il occupait une charge de conseiller à la
cour des monnaies, et fut admis en 1787 à l'Académie
des Inscriptions. Il fut nommé vers 1800 directeur du
prytanée de Saint-Cyr, mais il quitta ta fonctions pour
aller occuper une chaire de littérature grecque d
Charkov en Russie. 11 mourut à Pétersbourg en 1815. Ses
principaux ouvrages sont : Ovpiani poemata de Venations
et Piscatione, \ cum interpretatione latina et scholiis, Strasb., 178S (il n'en a paru que le De Venatione) ; la Chasse, poëme d'Oppien, traduit en français, 1788, in-S ; uvres de Lucien, traduites en français avec des notes historiques, littéraires et critiques , 1788, 6 vol. in-8 ; Histoire critique de l'éloquence chez les Grecs et les Romains, 1803, 2 vol. in-8. M.N Bouillet |
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Famille de la Belinaye : "d'argent, à trois têtes de bélier de sable / en arc'hant, e dri penn tourz e sabel" |
BELISA1RE, * M.N Bouillet (1863). BELISA1RE. général de Justinien , né en Thrace vers 490. Il fit ses premiers exploits contre les Perses qu'il força à faire la paix (532). L'année suivante il passa en Afrique pour combattre les Vandales, vainquit Gelimer leur roi, leur enleva Carthage et les chassa pour jamais de l'Afrique. Il se rendit ensuite en Sicile, reprit sur les Goths Catane, Palerme, Syracuse; pénétra en Italie, où il enleva aux Goths Naples et Rome après un long siège ; poursuivit Vitigès, roi des Goths, jusqu'à Ravenne où il s'était réfugié, le fit prisonnier et l'emmena à Constantinople (540). De là retournant en Perse, il s'opposa aux progrès de Chosroès (543). Rappelé de nouveau en Italie par les succès de Totila, il reprit Rome, dont ce conquérant s'était emparé (547); mais le manque de troupes le força bientôt à abandonner ses conquêtes. Malgré ses services, Bélisaire fut, à la fin de sa vie, accusé de conspiration et disgracié; toutefois l'empereur reconnut son innocence et lui rendit sa faveur. Il mourut en 565. Selon une tradition fort répandue, et que Marmontel a suivie dans son roman de Bélisaire, ce grand général aurait eu les yeux crevés et aurait été réduit à mendier sa vie ; mais il paraît que ces infortunes sont une fable inventée par le poète Tzetzès. Bélisaire eut le malheur d'avoir pour femme Antonine, amie de l'impératrice Théodora et aussi dissolue qu'elle. Procope, qui a écrit l'histoire de ses campagnes, avait servi sous lui. |
Belisama
= la Très Belle, la Superbe
: l'un des qualificatifs gaulois de la Grande Déesse; Le nom de la déesse Belisama est devenue l'éponyme de : Bellême (Fr. 61130), ... |
André-Marie de Gouzillon, vicomte de Bélizal, brigadier des armées navales, chevalier de Saint-Louis, né à Brest le 12 mai 1741, blessé lors du débarquement de Quiberon du 16 juillet 1795, est massacré. |
BELL (André), fondateur de l'enseignement
mutuel en Europe, né à Saint-André en Ecosse en 1753,
mort en 1832 , puisa, dit-on, l'idée de sa méthode dans
l'Inde, où elle existe de temps immémorial, et en fit
<\i:* Kf'fl l'application à Madras, où il avait
été envoyé en qualité de chapelain. De retour en
Europe, Bell ût connaître sa méthode dans uu ouvrage
intitulé : Expériences sur l'éducation faite à l'école
des yarçons à Madras, Londres, 1798. J. Lancaster,
maître d'école à Londres, se hâta d'adopter le nouvel
enseignement, et disputa à Bell la priorité de sa
découverte. |
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Famille de la Bellaing : "d'azur, à la fasce d'argent, chargée de trois hermines de sable / e glazur, e dreustell en arc'hant, karget gant teir erminig e sabel" |
Bellona : déesse de la Guerre. Honorée à Eburacum / York. Cela ne semble guère surprenant dès lrs qu'on sait que Eburacum / York était la capitale militaire de la Bretagne romaine, et quartier général de la Legio VI Victrix, dont le commandant sera gratifié du titre de "Dux Britanniarum". |
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Bellovaques (Bellovaci) : Peuple celte de la Gaule belgique. Capitale : Beauvais. Autres villes : *** |
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Famille de Belouan : "de sable, à l'aigle éployée d'argent / e sabel, e erez dispaket en arc'hant" |
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Benedic : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 906 à 940. il a succédé à Salvator, et a eu pour successeur Blenlivet, ou Salvator, en 945. |
Benignus : compagnon de St Patrick en Irlande. |
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Famille de Bennerven : "d'argent, au chêne de sinople glandé d'or, et un sanglier de gueules passant au pied / en arc'hant, e zervenn geotet ha mezennek en aour, he c'houezhoc'h en gul tremenant ouzh troad" |
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Benoc : fils du roi d'origine germanique Brand; il a pour héritier Aloc. (ASC/Parker). |
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Benoît : évêque de Saint-Malo, en Petite Bretagne; son nom est en concurrence avec celui de Judicaël, évêque de Saint-Malo, de 1089 à 1111. |
Bercilak : seigneur tombé sous la coupe de Morgane. (à développer. J. Matthews. p. 144) |
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Famille de Berezay: "d'azur, à la lance d'or, la pointe en haut accompagnée de deux épées d'argent garnies d'or / en glazur, e c'hoaf en aour, beg ouzh kab, eilet gant daou kleze en arc'hant, krogennek en aour" |
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Famille Bergoet : "d'argent, au chevron de sable, accompagné de trois coquilles de gueules / en arc'hant, e c'hebrenn en sabel, eilet gant teir kregilhenn en gwad" |
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Famille Bernard de Keraberio : "de gueules, à deux épées en sautoir, la pointe en haut, accompagnées de deux fleurs de lis, une en pointe, l'autre en chef, flanquées de deux molettes, le tout d'argent / en gul, e zaou kleze lammellet, eilet gant div flourdilizenn, unan ouzh beg, unan ouzh kab, leziet gant div rodig-kentr, an holl en arc'hant" |
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Bernard (de Moëlan) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1159 à 1167; il a succédé à Raoul, et a eu pour successeur Geoffroy. |
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Bernard (du Pouget) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1322 à 1324; il a succédé à Thomas d'Anast, et a eu pour successeur Guy de Laval. |
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Berones : peuple du nord de l'Espagne, entre les Allobrigues à l'ouest, les Bardyetae au nord et les Vascones à l'est; ville principale : Varia. |
Béroul : |
Mark ar Berr / Marc Le Berre : décédé accidentellement à Quimper le 02 août 1968. Ami de l'abbé Yann-Vari PERROT, il était l'organisateur d'un pèlerinage en l'honneur de celui-ci (cf. Al Liamm, n° 129/1968, p 284) |
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Famille de Bertrand : "d'or, au lion de sinople / en aour, e leon geotet" |
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Bertrand (de Marillac) : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de 1565 à 1573; il a succédé à Bernardin Bochetel, et a eu pour successeur Aymar Hennequin. |
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Bertrand de Rosmadec : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1416 à 1444; il a succédé à Gatien de Monceaux, et a eu pour successeur Alain de Lespervez. |
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Famille le Bervet : "de gueules, à la croix potencée d'argent / en gwad, e groaz krouget en arc'hant" |
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Famille Beschart : "d'azur, à trois bêches d'argent / en glazur, e deir pal en arc'hant " |
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Bibroci : nom de tribu celtique de l'Ile de Bretagne, cité uniquement par Jules César (BG,V,21,1 : BIBROCI); probablement installée dans le sud-est, dans ou près du Kent. Étymologie : racine probable celtique. *bebro- = castor. Il s'agit probablement ici d'un animal totémique, ou d'un éventuel cours d'eau nommé *Bibra, mais non identifié; (raisonnement semblable à celui des Ancalites, par Rivet & Smith, Place-Names of Roman Britain, p 268). |
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Jean-Marie Le Bideau / de Bideau ? : laboureur, émigré; de Plouharnel. Capturé lors du débarquement de Quiberon; condamné à Quiberon le 23 thermidor An III. |
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Bieda : premier fils du roi germanique Port (?), débarqué avec lui en Ile de Bretagne en 501 (ASC). |
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Bili (Saint) : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 892 à 919 ?; il a succédé à Kenmonoc, et a eu pour successeur Cunadan. Peut-être le même Bili que l'évêque de Saint-Malo, vers 880. |
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Binidic (ou Budic, ou Benoît) : 5ème évêque (supposé) de Cornouaille. Il aurait succédé à saint Alain, et aurait eu pour successeur supposé Gurthebed. |
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Binidic (ou Budic, ou Benoît) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1003 à 1022. Il a succédé à Oratius, et a eu pour successeur Orscand, le frère d'Alan Canhiart. |
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Binidic : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1074 à 1113. Il a succédé à Orscand, et a eu pour successeur Robert l'Ermite. |
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Famille de Bizien : "d'azur à la croix d'argent / e glazur e groaz en arc'hant" |
Blaise : |
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Famille le Blanc : "de gueules, à trois bandes d'or / en gwad, e deir sourin en aour" |
Blandine (Sainte) : jeune gauloise de Lyon; chrétienne et martyre. Livrée aux bêtes, à Lyon, en 177; fêtée le 02 juin. |
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Blenlivet, ou Salvator : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, en 945. il a succédé à Benedic, et a eu pour successeur Oratius, en 990. |
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Blinlivet : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, vers 959 ?; il aurait succédé à Cunadan ?, et aurait eu pour successeur Alveus ?. |
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Blois (Charles de ...) : duc de Bretagne, en compétition avec Jean de Montfort. |
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Blonce (Louis) : né à ***, le ***; fils de *** et de ***; Photographe. Louis Blonce est décédé à ***, le ***, à l'age de 47 ans. cf : Al liamm; n° 341 / Kerzu / Décembre 2003. |
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Boadicée / Boadicea : voir Boudicca. |
Boand = Bo Vinda = Vache Blanche / Vache Sacrée : l'un des noms irlandais de la Grande Déesse; |
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Bodic : roi en Bretagne armoricaine (510). Se soumet à Clovis. |
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Bodiocasses
: tribu celtique de Gaule
armoricaine; chef-lieu : Bayeux. Etude de l'ethnonyme : A. Bodio- : C. -Casses : selon Rivet & Smith, Place-names of Roman Britain, p 302, cette racine est identique à celle qui a donné en britannique l'ethnonyme *Cassis : " excellent, fin, gracieux, etc." |
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Bohor de Gannes Bohor l'Ancien ***** - frère de Ban de Benoic |
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Bohor de Gannes Bohor le Jeune ***** - fils de Bohor l'Ancien et de ***. - cousin de Lancelot. - Après le désastre de Camlann, il se fait ermite. |
Boïens (Boii)
: peuple celtique de l'Europe centrale, qui a donné son
nom à la Bohême. Pline : IV-18 : Boi. |
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Famille de Bois-Berthelot : "écartelé d'or et de gueules / palefarzhet etre aour ha gul". |
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Famille de Boisboissel
: "d'hermine au chef de gueules chargé de trois
mâcles d'or". Evêché de Saint-Brieuc. Ancienne extraction, dite chevaleresque (1383) (cf. . de Saint-Houardon) |
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Famille de Boisdavid
: "d'argent à un chêne de sinople englanté d'or,
auquel sont attachées deux harpes de gueules". Chambre des Comptes de Nantes. Anobli en 1616. Baron en 1818. |
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Famille de Boishamon
: "d'argent, au léopard lionné de
sable, armé et lampassé de gueules" Evêché de Saint-Brieuc. Ancienne extraction, (1427). cf J. de Saint-Houardon |
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Famille de Boishardy : "de gueules au léopard d'argent / en gwad, e leonparzh en arc'hant" |
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Famille du Bois-Jagu
de la Villerabel : "d'argent, à trois
pins de sinople". Devise : Semper virens. Evêché de Saint-Malo. Ancienne extraction, maintenue en 1784. cf J. de Saint-Houardon, p. 127. |
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Comte Henri-Louis-Augustin de Boissieux : émigré, participant au débarquement raté des monarchistes à Quiberon, en 1795, en qualité de capitaine dans le régiment d'Hervilly. Blessé le 16 juillet, au moment du débarquement. Décédé le 2 août suivant. |
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Bolanus (Vettius Bolanus) : nommé gouverneur de Bretagne en 69 par Vitellius, membre de son entourage, à la suite de Marcus Trebellius Maximus. Il est déposé en 70/71 par Vespasien, au profit de Petilius Cerialis, propre gendre de l'empereur. |
* Bolegasgus : nom cité en Galatie. (cf. Rivet & Smith, p 271) |
Bolgios (Bolgios) : nom d'un roi celte de Macédoine, vers 280 av. J.C. (cf. Rivet & Smith, p 267) |
Boresti : peuple celtique de l'Ile de Bretagne,
probablement installé dans les parages des Mons
Graupius / Monts Grampians ou sur le rivage du Moray,
dans l'actuelle Écosse. * Rivet & Smith, The Place-names of Roman Britain, p. 272-273 : SOURCE - Tacitus Agricola 38, 3: BORESTORUM (gen. pl.) DERIVATION. None can be suggested. Holder I. 1490 suggests a connection with Graeco-Latin boreas and mentions the Hyperboreans. Rhys (1904) 283-84 thinks the name a British equivalent of late Latin floresta (presumably on the grounds of general rescmblance and because Latin f- = British b-, as in fiber / *bebro-). O'Rahilly EIHM 529 suggests that Boresti might be a corruption of *Voretii, meaning 'dwellers by the Forth', the latter having had the ancient name *Voretia (see BODOTRIA); this is perhaps just possible if one can assume a V- represented as B- in an early medieval MS of Tacitus, but the confusion is unlikely in the Latin of Tacitus's own time and is not possible in British. We have insufficient evidence on which to choose or reject these proposals. Holder and Rhys think the tribe the same as the Verturiones documented in the fourth century. The fact that Ptolemy does not mention it, when he ultimately drew his North British material from the very Flavian military map which had been composed in large part on the basis of Agricola's campaigns, might indicate that the tribe was a subdivision of one of the larger units that do in fact figure in Ptolemy. As noted by Ogilvie and Richmond in their edition of the Agricola (1967), 282, the name has nothing to do with that of Forres, as was ounce proposed. IDENTIFICATION : A people of north-east Scotland apparently located beyond Mons Graupius (q.v.) and so, as Ogilvie and Richmond suggest, on the Moray coast". |
Boron
(Robert de) : cf. Al.
Micha : probablement seigneur (du village de Boron ?) de
la région de Montbéliard (jadis chef-lieu de comté
entre la Franche-Comté, la Lorraine, l'évêché de
Bâle et le Sundgau; aujourd'hui chef-lieu d'arrondissement
du Doubs). On y parlait un dialecte *** C'est à Robert de Boron que l'on attribue l'introduction dans les Romans arthuriens des thèmes du Saint Graal et de Joseph d'Arimathie, après avoir largement puisé son inspiration dans les oeuvres de Geoffroy de Monmouth (Prophetiae Merlini, c 1132-1134; Historia Regum Britanniae, c 1135-1138; Vita Merlini, c 1148-1150) et de Wace (Roman de Brut, c 1155). |
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Famille de Botmiliau : "d'azur, à trois cloches d'or bataillées de sable, 2 et 1". Evêché de Tréguier. Ancienne extraction (1481). cf J. de Saint-Houardon, p. 130. |
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Famille Boüan
du Chef du Bois : "d'argent au chevron de
sable accompagné de trois têtes de loup de même
arrachées et lampassées de gueules" Bretagne. Evêché de Saint-Brieuc. Ancienne extraction (1460) |
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Famille Boüays
de Coüesbouc : "de sable à une fasce
d'argent bordée de gueules" Bretagne. Evêché de Rennes. Ancienne extraction (1447) |
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Bouchalampe : évêque de Saint-Malo, en Petite Bretagne, de 1263 à 1264. Il a succédé à Nicolas de Flacé, et a eu pour successeur Simon de Clisson. |
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Bouchard (Alain)
: originaire du Croisic; XVè
siècle. Chroniqueur. - Grandes croniques de Bretaigne. 1514. |
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Boucher (Etienne) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1560 à 1573; il a succédé à Nicola-Cajetan Sermonetta, et a eu pour successeur François de la Tour. |
Boucher (Jean) : |
Boudicca : reine de la tribu bretonne des Iceni,
à l'époque de la conquête romaine. Épouse de
Prasutasgus. A la mort de ce dernier, et conformément à un décret impérial de Néron, l'empereur se trouve en situation de co-héritier. Boudicca et ses deux filles sont violées par les fonctionnaires romains chargés d'établir le relevé des biens du roi défunt. Cet outrage suprême déclenche une guerre effroyable à l'été ***, qui se termine en ***, se soldant par la mort de 70000 romains et 80000 bretons. Vaincues, Boudicca et ses filles préfèrent se suicider; Variantes du nom : en anglais : Boadicea; en français : Boadicée; en Breton : Budig. Un monument lui a été dédié à Londres, à l'une des extrémités du pont de Westminster Bridge, il s'agit d'un ensemble romantique en bronze du XIXè siècle, représentant Boudicca, debout en victorieuse, sur un chariot de guerre de type breton, tiré par deux poneys fougueux et cabrés, et guidés par les deux filles de la reine. Une portrait romantique lui a aussi été attribué sur un vitrail de l'Hôtel de Ville de Colchester. Une page spéciale a été ouverte concernant l'épopée de Boudicca, dans notre Histoire Nationale des Bretons. Activer le lien : Boudicca. Pour revenir, utiliser l'index 'page précédente' de votre navigateur interne. |
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Famille du
Bouëtiez de Kerorguen : "d'azur à deux
fasces d'argent accompagnées en chef de trois besants d'or" Bretagne. Evêché de Vannes. Ancienne extraction (1443) |
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BOUGAINVILLE Hyacinthe : fils de Louis-Antoine de Bougainvilleet de Marie-Josephine Flore de Longchamps de Montendre; né à Brest le 26 décembre 1781. Décédé à Paris en 1846. |
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BOUGAINVILLE Louis-Antoine : |
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Bourdonnaye (Jean-Louis de la ) : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1701 à 1745; il a succédé à Pierre Le Nebous de la Brosse, et a eu pour successeur Jean-Louis Gouyon de Vaudurand. |
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Bradua (Marcus Appius (ou Atilius) Bradua) : gouverneur de (G)Bretagne, apparemment entre 115 et 118 après J-C; si l'on s'en tient à cette chronologie, ce serait sous son gouvernement que des soulèvements graves se sont produits dans le nord de l'Ile de Bretagne, conduisant à l'écrasement de la Legio IX Hispania. |
Bran : équivalent en langue galloise du Dagda / Jupiter; |
*Bran(n)o-
: racine celtique désignant le corbeau, animal
totémique, et servant en toponymie : - Brannodunum : fort romain de Brancaster, G. Bretagne; Norfolk. |
Brand : fils du roi d'origine saxonne Baeldaeg; il a pour héritier Benoc, et Frithugar. (ASC/Parker). |
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Brandan / Brendan (Saint) : saint d'origine irlandaise, célèbre par ses voyages maritimes qui l'ont mené aux Canaries et peut-être au Groenland. |
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* Brandobrici : peuple gaulois de la Gaule narbonnaise. (cf : DUHG) |
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Brandu / Brandub(h) : nom de personne celtique, inspiré du nom de l'animal totémique *bran = corbeau + *dub- = noir. |
Brangwen / Branwen : |
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Brannovices : déterminant l'une des branches de la famille des tribus celtiques Aulerci > Aulerci Brannovices, en Lyonnaise Ière; ont donné leur nom au pays nommé Briennais. |
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Famille Bréart de
Boisanger : * Thomas-Charles-Armand-Nicolas Bréart de Boisanger, né le 20 août 1756, au château de Québlain, près de Quimperlé, émigré, fait prisonnier par les Républicains lors du débarquement royaliste de Quiberon en 1795, fut condamné à Vannes le 12 thermidor AN III / jeudi 30 juillet 1795, et fusillé. |
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Famille Brégel, seigneurs de la Vaerie, du Hautbois, en Saint-Jacques-de-la-Lande. "d'argent à la fasce de gueules chargé de trois roses du champ, et accompagnée de trois mains appaumées de gueules / en arc'hant e dreustell en gwad karget gant teir rozenn diouzh ar maez, hag heuliet gant tri bav en gwad" Trois conseillers au Parlement de Bretagne depuis 1574; un maître des comptes en 1615 |
Breiz Atao : Association nationaliste bretonne, fondée en janvier 1919, par Morvan Marchal, Job de Roincé, Henri Prado, et leurs amis du Groupement régionaliste breton. Le nouveau parti est vite rejoint par des personnalités de toutes origines sociales et professionnelles : Olivier Mordrel, Yann Brickler, Fransez Debeauvais, Yann-Vari Perrot, François Vallée, Camille Le Mercier d'Erm, Loeiz Herrieu, Roparz Hemon, Youenn Drezen, Jakez Riou, René-Yves Creston. |
Breiz Dishual : revue régionaliste bretonne du début du XXè siècle. |
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Brekilien (Yann) : nom d'écrivain de Jean SICARD. Décédé à Quimper le 12 mars 2009, à l'âge de 88 ans. |
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Bretagne
: liste des gouverneurs de (G)Bretagne
romaine. (selon Appendix III, p 746, de Roman Britain, de Peter Salway) Aulus Plautius AD 43-47 Publius Ostorius Scapula 47-52 Aulus Didius Gallus 52-57 Quintus Veranius 57-58 Gaius Suetonius Paulinus ?58-61 Publius Petronius Turpilianus 61/2-63 Marcus Trebellius Maximus 63-69 Marcus Vettius Bolanus 69-71 Quintus Petillius Cerialis 71-73/4 Sextus Julius Frontinus 73/4-77/78 Gnaeus Julius Agricola 78-84(ou 77-83) Sallustius Lucullus (83/4-96) Publius Metilius Nepos ? Vers 86 Titus Avidius Quietus ? 97/98-? 100-101 Lucius Neratius Marcellus ? 100/101-103 ou plus tard Marcus Appius (ou Atilius) Bradua, peut-être 115-118 Quintus Pompeius Falco 118-122 Aulus Platorius Nepos 122-? 125 Sextus Julius Severus, vers 131-132/33 Publius Mummius Sisenna ? 132/3-135 ou plus tard Quintus Lollius Urbicus 138/139-?144 Gnaeus Papirius Aelianus, vers 146 Gnaeus Julius Verus, vers 158 - ? anus Longus (ou Longinus) 158/59-161 Marcus Statius Priscus 161/162 Sextus Calpurnius Agricola, vers 163/64-?166 Quintus Antistius Adventus, vers 169-180 ? Caerellius Priscus, vers 169-180 Ulpius Marcellus, vers 180-? Publius Helvius Pertinax 185-?187 Decimus Clodius Albinus 191/192-? (Caesar 193; mort 197) Virius Lupus 197- ?200/2 Marcus Antius Crescens Calpurnianus, agissant comme gouverneur ?202 Gaius Valerius Pudens 202/203-205 ou plus tard Lucius Alfenus Senecio 205/207-? Britannia Superior Gaius Junius Faustinus Postumianus ? Titus Julius Pollienus Auspex (vers 223-226) Rufinus ? Marcus Martiannius Pulcher ? Titus Desticius Juba ( vers 253-255) Britannia Inferior Gaius Julius Marcus, vers 213 ? Marcus Antonius Gordianus, ? vers 216 Modius Julius, vers 219 Tiberius Claudius Paulinus, 220 Marius Valerianus 221-222/23 Claudius Xenophon 223 Maximus, vers 225 Claudius Apellinus, vers 222-235 Calvisius Rufus, vers 222-235 Valerius Crescens Fulvianus, vers 222-235 (T)iccianius, vers 237 Maecilius Fuscus, vers 238-244 Egnatius Lucilianus, vers 238-244 Nonius Philippus, vers 242 Octavius Sabinus, vers 260-269 Diocèse de Bretagne Vicaires Pacatianus, vers 319 Flavius Martinus ? 353 Alypius (peu de temps après Martinus) Civilis 368 Victorinus, vers 395-406 Chrysanthus vers 395-406 Gouverneurs Aurelius Arpagius (? Britannia Secunda), vers 296-305 Flavius Sanctus, milieu du IVè siècle Lucius Septimius (Britannia Prima) ? |
Bretagne
(Petite
Bretagne) : liste des rois, princes régnants, et ducs de
Bretagne armoricaine : Nonimoë, 824; Erispoe, 851; Salomon, 857; Pasquiten et Gurvan, 874; Alain Ier et Judicaël, 877; Gurmhaillon, 907; Juhel Berenger, 930; Alain II Barbetorte, 937; Drogon, 952; Hoel Ier, 953; Guerech, 980; Conan Ier, 987; Geoffroy Ier, 992; Alain III, 1008; Conan II, 1040; Hoel II, 1066; Alain-Fergent, 1084; Conan III, 1112; Eudes et Hoel III, 1148; Conan IV, 1156; Geoffroy II, 1171; Constance et Arthur Ier, 1186; Pierre Mauclerc et Alix, 1213; Jean Ier, 1237; Jean II, 1286; Arthur II, 1305; Jean III, 1312; Charles de Blois, 1341; Jean IV de Montfort, 1364; Jean V, 1399; François Ier, 1442; Pierre II, 1450; Arthur III, 1457; François II, 1453; Anne, 1488. |
Bretons; Britons (Britanni) : celtes des Iles britanniques (Grande Bretagne). |
Briac (saint) : * Marteville et Varin (1853); traitant de la commune de Bourbriac : "Saint Briac est invoquée pour la folie par de nombreux pèlerins". |
Brian Boru : Elevé à l'abbaye de Inishfallen, dans une île de Lough Leane. Vainqueur des Vikings à Clontarf en 1014, bataille au cours de laquelle il fut cependant lui-même tué. |
Bricriu : |
Brieuc (Saint) : |
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Brigantes : Peuple celte de l'Ile de Bretagne; aujourd'hui en Angleterre, comtés de Yorkshire et Durham. |
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Brigantes : Peuple celte d' Hibernie, cité par Ptolémée, II,2,6. |
* Briganti (Deo Briganti) : version masculine de Brignantia, sur RIB 623 (Slack, yorkshire) |
*
Brigantia = la Suprême : l'un des nom gaulois
de la Grande déesse celtique; Autels dédicacés à Brigantia : - RIB 630, Adel, Yorkshire, ... Autels dédicacés à Victoria Brigantia : - RIB 628, Castleford, Yokshire ... ******* Le nom de la déesse a survécu comme éponyme de : a) noms de villes : - Bragança (Portugal) - Bregenz (Autriche) - ... b) noms de montagnes et lieux élevés : - Brent, en Devon et Somerset, c) noms de rivières : - rivière Braint, en Anglesey, - rivière Brent en Middlesex, ... |
Brigid, Brighid : l'une des appellations irlandaises de la Grande Déesse celtique. |
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Brillet (Guillaume) : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de 1427 à 1447; il a succédé à Anselme (de Chantemerle), et a eu pour successeur Robert (de la Rivière). |
Brigitte (Sainte) : sur de Saint Patrick. née vers 452-456; abbesse de Kildare. décédée vers 523-524; honorée le Ier février. |
* Britannica : selon I.A Richmond, Roman Britain, p 58, l'épithète Britannica a été attribué à la Legio VI Victrix. |
* Britanni : nom
générique des Celtes de l'île de Bretagne (aujourd'hui
Grande-Bretagne : Angleterre, + Galles + Cornwall +
Écosse) * Rivet & Smith : The Place-names of Roman Britain. p. 280 et suiv. BRITANNI SOURCES. As with Britannia, there is no point in listing all occurrences of this name and related forms. An outline is given in Chapter II, pp. 39-40. Good guides in following the origin and development of the name are Jackson in PP 158-60, with other détails in Scottish Historical Review, XXXIII (1954), 16, and the extensive survey of O'Rahilly in EIHM 444-52. The original Celtic name was *Pritani, *Priteni; the former, Jackson thinks, current in southern Britain, the latter in northern parts. The name would be that which the first speakers of P-Celtic in these islands gave themselves (but see below) and passed to Pytheas during his exploration, *Pritani being represented in Greek as Prettanoi. The antiquity of the spelling with P- is the subject of a comment by Eustathius, who, like Stephanus of Byzantium, draws attention to the -tt-. Diodorus and Strabo (in part) préserve the P, presumably following Pytheas, but eventually in Greek (doubtless influenced by the standard Latin form) the spelling with B- became common. In Latin usage from the first records Britanni was standard, with -tt- spelling also in the later Impérial period. The name is first found in Latin in Catullus and then Caesar; it can hardly have been learned by the Romans from Greek sources (since it would then have been *Prettani from the start in Latin, presumably), but seems to have been picked up from the Celtic of Gaul. It may have been, however, that the equivalences of Greek P and Latin B- had been noted; attention has been drawn, for example, to Purros = Burrus, Puxos = buxus 'box'. Another explanation is suggested by O'Rahilly EIHM 451-52 : that within Gaulish the name heard as *Pritani was assimilated to Gaulish words in *brit-, of which there were a number, and that in this form the name passed to Latin speakers. In the Celtic speech of these islands, beside official Britanni introduced by Latin speakers at the conquest of A.D. 43, older *Pritani naturally survived, and from it came eventually Welsh Prydain ' Britain ' : the ethnic name became a name for the island. Moreover, the inhabitants of Roman Britain went on using the name *Priteni as a désignation for the unromanised peoples north of the Antonine Wall, since from this derived Welsh Prydyn with the sense 'Picts, Pictland'. This *Priteni was the form known to the Irish, because of their close contacts with northern Britain; adapted to Q-Celtic phonetics, *Quriteni *Quritenii produced Old Irish Cruithin, Cruithni 'Picts'. The Latin adjectival form was Britannicus, with a learned variant used for metrical reasons in verse, Britannus. The latter seems to have retained its learned quality, its more popular noun-form for the individual of the people being Britto, first recorded in Martial XI, XXI, 9, and well known in inscriptions ; this was used as a personal name in the Continental provinces as Britto, Brittus, Britta, or perhaps coincided there with an older personal name of the same form. Ethnic Brittones, first recorded in Juvenal XV, 124, is thus a full alternative to Britanni and was in fact adopted officially : auxiliary units - alae, cohortes and numeri of Brittones are well attested in diplomata and in inscriptions on the Continent from the late first century onwards and in ND we have Britones seniores and iuniores (Or. IX22, Occ. VII,127), secundani Britones (Occ. VII,84) and the ala IV Britonum (Or. XXXI,45), as well as the cohors III Britt(an)orum (Occ. XXXV,25). This Britto, Brittenes might be of Celtic origin, but it could also be a hypercoristic form of Britannus (O'Rahilly, citing Morris Jones, notes that in shortened forms of names a consonant was often doubled). Brittones was at any rate taken into, or survived in Celtic usage, > Welsh Brython. It survived long also (Britanni being forgotten after the collapse of Roman rule) in learned usage, for Bede regularly uses Bretto, Brettones when referring to the Celtic inhabitants of the island in his day. It cannot be regarded as wholly certain that original *Pritani was the name which the P-Celts of the island gave themselves at a very early stage, although it is clear that at a later period this name became standard among them. To suppose such self-naming as Jackson does perhaps implies a higher degree of national consciousness and unity than is warranted by what we know of tribal divisions, successive migrations and (for example in the decades which immediately preceded the Roman Conquest) endémic warfare. In many cases a people does not need to name itself; a name is often given by outsiders, foreigners, and only taken to itself by a people at a later stage. An alternative hypothesis is, then, that the inhabitants of these islands were named *Pritani by the Gauls, this name being passed to the Greeks of Massilia, to those interested in the tin trade, etc., at first in pure form with P and, much later, to the Romans with B- (after the assimilation mentioned above had occurred). There may be a further argument in the fact that the name is descriptive (see below), that is, the sort of name given by one people to others; it is not heroic or divine or specially dignified. DERIVATION. The accepted view is that the *Pretani are 'figured folk, tattooed folk', from an Indo-European root *qrt- 'to eut' (Latin curtus, Gaelic cruth 'form, shape'), with the *pr- of P-Celtic. They are probably not the only people so named. In RC, LI (1934), 339, there is a summary of work of Hubschmid on the name Prätigau (Switzerland), in Rheto-Romance Val Parténs, Purténs or Portenz, in older times Portennis or Pertennis, these probably deriving from ethnic *Pretani or *Pretanni; other names in the area, Partnun and Partennen, may derive from ethnic *Prettennones. These would then be a people named in the same way as those of Britain. Pokorny in VR, X (1949), 232, sought a different root for both names, nothing less than Illyrian with a sense 'Kàmpfer' ('warriors'), concluding that 'Die Pritenni in Graubünden sind dann auf ihrer Wanderung nach den Britischen Inseln dort sitzen gebleibene keltisierte Urnenfelderleute'. However, there seems no need to revise the traditionally accepted explanation of the name. IDENTIFICATION. The inhabitants of Britain. |
* Britannicus : épithète élogieux attribué à l'empereur Claude, après sa victoire de 43 sur les Bretons (G.B); cet épithète a été transféré pour servir de nom au fils de Claude et de Messaline : Britannicus. |
Britannicus : fils de Claude et de Messaline. Né en
41. Héritier légitime du Trône, il en est évincé par
Agrippine au profit de Néron, le fils de celle-ci, qu'elle
avait fait adopter par Claude. Britannicus est mort
empoisonné par Néron à ***, le ***. Son nom lui vient du cognomen de Claude après que celui-ci avait réussi à établir la première province romaine de (G)Bretagne. |
Britto-romains; Brito-romains : Bretons citoyens romains. |
Britto-saxons; Brito-saxons : Bretons intégrés aux Saxons et se battant pour ceux-ci, ou Bretons vassaux et soumis aux Saxons. |
Oeuvre : - Marie, roman en vers; 1831; - Kanaouennou, 1837; - Paotred Plômeur, 1839; - Aux prêtres de Bretagne, 1840; - La Divine Comédie (traduction), 1841; - Voyage en Italie, 1841; (en collaboration avec Auguste Barbier). - Les Ternaires, titre remplacé par : Les Fleurs d'or; 1841; - Telen Arvor : 1844; - Furnez Breiz, 1844; - Les Bretons, 1845; - Primel et Nola, 1852; - Histoires poétiques, 1855; - L'Elégie de la Bretagne, 1857; - Oeuvres complètes, ???; - Morceaux choisis, 1909; - Oeuvres complètes, 1911.
|
* Broccus : nom de personne |
* Brochus : nom de personne |
* Broccius : nom de personne |
* Brocina : nom de personne |
Brocmail : roi breton rescapé du massacre collectif perpétré à Chester par le roi Aethelfrith de Northumbria en 605. |
* Brocomaglos : nom de personne |
Brons : époux d'Enygeus, et père d'Alan, dans le roman Didot Perceval. Brons y apparaît comme le grand-père de Perceval. |
Brouster (Abbé Pierre Le ... ) ,
mort à 54 ans, le 17 mai 1847, est né à Pleumeur-Gautier.
Il laisse 22 ouvrages en un vol. in-12 ou in-18 chacun,
excepté les soirées, qui en forment 2. Ce sont : Histoire
de la Petite-Bretagne; Aventures extraordinaires;
Soirées du petit pensionnat; Petit concours; Grande
grammaire française; Petite grammaire française;
Devoirs français; Corrigé des devoirs français;
Géographie ancienne ; Géographie moderne; Petite
géographie moderne; Cacologie, Cacologie pour les
élèves plus avancés; Corrigé de cacologie; Modèles d'analyse
logique ; Id. avec des notes pour les maîtres ; Guide d'analyses
simples ; Guide d'analyses raisonnées; Grand
questionnaire; Petit questionnaire; Traité des figures
de grammaire; Tableau synoptique de la France. L'abbé Brousler était élève du séminaire dé Tréguier, où il professa ensuite avec beaucoup de distinction la septième, la sixième et la cinquième. |
Bructères : |
* Brutus : personnage
légendaire, cité par Nennius comme fondateur et
éponyme de l'Île de Bretagne. Selon cet auteur, HB
7, ce Brutus aurait été un consul romain. Observation JC Even : cette hypothèse repose sur la recherche de l'étymologie de la racine *brit-. Geoffroy de Monmouth cite un personnage Brutus, qui aurait eu un fils Albanact. |
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Brutus : fils adoptif de Jules César; il participe à l'assassinat du dictateur le 15 mars 44 avant J.C. |
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Budic : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 1037 à 1060; il a succédé à Judicaël, et a eu pour successeur Maengi de Pohoët. |
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Budoc (Saint) : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, 6/7è siècle; il aurait succédé à st Ignoroc, et aurait eu pour successeur st Hinguéthen. |
Bugnini (Annibale) : né à Civitta des Lago (Todie, en Ombrie), le 14 juin 1912; ordonné prêtre le 12 juillet 1936; secrétaire du Concilium le 29.02.1964; Nonce en Iran, le 05.01.1976; décédé à Rome le 03.07.1982. |
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Comte de Bullion d'Attilly : colonel, commandant en second le régiment d'Hervilly, lors du débarquement raté royaliste de Quiberon de 1795. Tué lors des combats du 16. |
Burgondes (Burgundi)
: peuple d'origine teutonique.
Établis en Sapaudia / Savoie dans le cadre d'un
fdus à partir de 443 ; rois des Burgondes : Gondicaire (Gundahar, Gunther) 411-436; Gundioc, 463; Gondemar Ier (Gundemar), 476; Chilpéric, 491; Godégilie, 500; Gondebaub (Gundebald), 516; Sigismond, 524; Gondemar II, 534; |
Buddwal : nom d'homme, basé sur les racines *bud- = victoire + * val- = fort, puissant, courageux, valeureux. |
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Butler : nom d'une famille de grands comtes Anglo-normands, installés à Ormonde, en Irlande, et acquise aux traditions irlandaises. |
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Butt (Isaac) : homme politique irlandais, fondateur du Home Rule en 1870. |