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* forum du site Marikavel : Academia Celtica   dernière mise à jour 20/11/2024 10:31:54

Famille de Labbaye : seigneurs de Maisonneuve, de la Rive, de Penanguer; ressort de Carhaix. "d'argent à trois abeilles de sable" / "en arc'hant e deir gwenanenn en sabel". 1696. (PPC)

Famille Labat : originaire de l'Agenois. seigneurs de Riben, de Plaineville. "d'azur au lion d'or" / "en glazur e leon en aour". 1666, 1680, 1696. (PPC)

Famille Labbé : seigneurs de la Gommeriere, en Ploubalay; Meurtel en Saint-Potan; la Villeneuve et la Villemorin en Plorec; la Trochardais, Lannoual, la Villegle, la Villegueriff. "d'azur au lion d'or" / "en glazur e leon en aour". 1666, 1680, 1696. (PPC)

Famille Labbé : seigneurs du Clos, en Pleurtuit. "d'argent à la fasce de gueules, accompagnée de trois macles d'azur" / "en arc'hant e dreustell en gwad, heuliet gant teir mailhenn en glazur". (PPC)

Famille Labbé : seigneurs de la Rochefordière, en Ligné; de Saint-André, en Saint-Jean-de-Béré; de la Verdière en Couffé; du Hino et de Briord en Port-Saint-Père. "de gueules au chevron d'argent chargé de cinq tourteaux de sable, chacun chargé de trois mouchetures de contre-hermine, et accompagné de trois billettes d'or" / "en gwad e gebrenn en arc'hant karget gant pemp dorzhell en sabel, pep hini karget gant teir brizhenn ginerminig, hag heuliet gant teir kanochenn en aour". de 1425 à 1478; 1677. (PPC)

Famille Labbé : seigneurs de la Rivière, en Quédillac. "porte trois crosses, 2, 1" / "dougen a ra teir gammell, 2, 1". (sceau / siell 1454). (PPC)

Famille Labbé : seigneurs de l'Estang, près de Moncontour. "d'azur au pal d'or, chargé d'une crosse de gueules, et accosté de six pommes de pin d'argent" / "en glazur, e feul en aour, karget gant ur gammell en gwad, hag hebiaet gant c'hwec'h aval-pin en arc'hant". Armorial 1696. (PPC)

 

  Labienus (Titus Labienus) : chevalier romain, tribun du peuple en 63 avant J.C, pendant le consulat de Cicéron; servit avec distinction sous César dans les Gaules, mais abandonna ce général comme ennemi de la République dès qu'il eut passé le Rubicon, et se rangea du parti de Pompée, il combattit à Dyrrachium et à Pharsale, suivit Caton en Afrique, puis passa en Espagne auprès des fils de Pompée, et périt à la bataille de Munda, 45 avant J.C. (réf : DUHG)

Guillaume-Marie-Joseph Labouré : évêque du Mans le 3 décembre 1884: archevêque de Rennes le 13 juin 1893; cardinal le 19 avril 1897; décédé le 21 avril 1906. 

                 

 

  Lachès, archonte d'Athènes en -400

  Ladmirault (Paul) : nationaliste breton; barde, membre du Gorsedd de Bretagne;

Famille Laënnec :

- René : né à Quimper en 1781; décédé à ***, en 1826.

Médecin. A découvert l'auscultation, à partir du stéthoscope. Médecin-chef de l'hôpital Necker, Paris, en 1816. Professeur au Collège de France.

Auteur de : 

- Traité de l'auscultation médicale., ou Traité du diagnostic des maladies des poumons et du cœur. Paris, 1819.

La Fayette (Gilbert du Motier, marquis de)

* voir article de Régis de Saint-Jouan intégré dans la page consacrée à la commune de Saint-Adrien, canton de Bourbriac.

Famille Le Lagadec : seigneurs de Mezedern, en Plougonven; du Gollot, en Plounévez-Moëdec; de Kerroué et du Scozou, en Loguivy-Plougras; de Pradigou, en Lanmeur. "d'argent à trois trèfles d'azur" / "en arc'hant, e deir melionenn en glazur". références et montres de 1441 à 1543. (PPC)

Famille Le Lagadec : seigneurs de Kernabat, de Kervéguen, en Pleumeur-Gautier; de la Salle, en Lanmérin; de Kericuff, en Ploëzal. "d'hermines à la quintefeuille de gueules" / "en erminoù, e fempdiliaouenn en gwad". devise / ger-ardamez : "Plutôt mourir que pâlir". références de 1513 à 1543. (PPC)

Laigin : nom donné par l' historien O'Rahilly  à une vague celtique d'Irlande. Il y englobe les Domnainn et les Galioin.

Famille Laigle : seigneur de Coëtcessiou; de Rusnescop, de Kerlavarec, ressort de Lesneven. "d'argent à l'aigle éployée de sable" / "en arc'hant, e erez dispak en sabel". armorial 1696. débouté, référence 1669, ressort de Lesneven. Hervé, bailli et lieutenant général de la cour de Lesneven en 1669; un receveur des fouages de l'évêché de Léon en 1696. (PPC)

Famille Lair : seigneur de Lessongère et de la Botardière, en Saint-Herblain.

"d'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux étoiles d'argent et en pointe d'un croissant de même" / "en glazur e gebrenn en aour, heuliet ouzh kab gant div steredenn en arc'hant hag ouzh beg gant ur greskenn ivez en arc'hant". Débouté, réforme de 1669, ressort de Nantes. (PPC)

  Famille Lair de la Haye : "d'azur, à la croix danchée, cantonnée en chef de deux étoiles et en pointe de deux roses, le tout d'or / e glazur, e groaz dentek, heuliet gant (e)ur steredenn en aour e pep konk ouzh kab, ha gant (e)ur rozenn ivez en aour e pep konk ouzh beg"

Famille Lair : seigneur de Lanrivain; de Tromillio, ressort de Quimper. "de sable au chevrn d'argent accompagné de trois coquilles de même" / "en sabel e gebrenn en arc'hant heuliet gant teir kregilhenn ivez en arc'hant". (Armorial de l'Ars.)

Rolland, conseiller au présidial de Quimper en 1670. (PPC)

alias : "de sable au chevron d'argent accompagné de trois pommes de pin de même; au chef d'argent chargé de trois coquilles de sable" / "en sabel e gebrenn en arc'hant heuliet gant teir aval-pin ivez en arc'hant; e gab en arc'hant karget gant teir kregilhenn en sabel" (Armorial 1670) (PPC)

Famille Laisné / Lesné, L'Aisné : seigneur de Keranguiriec, près Landerneau. "d'azur à trois cœurs d'or" / "en glazur e dri c'halon en aour". (GlB) (PPC)

Famille Laisné : Seigneur de Kerhamon, en Ploëzal; de Kergarric. "d'azur à trois demi-vols d'or" / "en glazur, e deir askell en aour". Références et montres de 1481 à 1543. 

(alias) : "d'azur à trois demi-vols d'or; au chef de gueules chargé de trois croissants d'or" / "en glazur, e deir askell en aour; e gab en gwad karget gant tri greskenn en aour"

- Pierre, conseiller au châtelet, échevin de Paris en 1579. (GdG) (PPC)

Famille Laisné : seigneur de Kerjacob et de Coëthuon, en Pleubihan; de l'Isle; de Coëtcanton; de Lesquernec, en Plounez; de Keryvon; de Roscadou; de Beauregard; de Kergadiou; de Penfantan. "d'azur à trois molettes d'argent" / "en glazur e deir rodig-kentr en arc'hant". Références et montres de 1463 à 1481. (PPC)

Famille Laisné : seigneur de Ligadec, en Boquého; de Pencrec'h; de Kergoff; de Belle-Fontaine. "d'argent au croissant de gueules, accompagné en chef de trois mouchetures de sable et en pointe d'une molette de gueules" / "en arc'hant e greskenn en gwad, heuliet ouzh kab gant teir brizhenn en sabel hag ouzh beg gant ur rodig-kentr en gwad". références et montres de 1427 à 1535. (PPC)

Famille de Laistre : originaire de Paris. Seigneur de la Haute-Forest; de la Melinière. "parti; au 1 : d'argent à l'orle de huit merlettes de sable; au 2 : d'or à la bande endenchée de gueules" / "rannet, ouzh 1 : en arc'hant e eizh moualc'henn en sabel ouzh c'hourem; ouzh 2 : en aour e sourin dentek en gwad". Débouté à l'intendance de 1701, ressort de Nantes. (PPC)

?

Famille Lallouette : "d'argent à la fasce de gueules, chargée de trois étoiles d'or et accompagnée de trois alouettes de sable" / "en arc'hant e dreustell en gwad, karget gant teir steredenn en aour hag heuliet gant teir alc'hweder en sabel". (sceau 1320). (PPC)

Lanfranc : archevêque de Canterbury. A couronné le roi d'Angleterre Guillaume II le Roux le 26 septembre 1087

Lamarche (Jacques-Théodore) : 7è évêque concordataire de Quimper et Léon (= Finistère), en Petite Bretagne, de 1887 à 1892. Il a succédé à Anselme Nouvel de la Flèche, et a eu pour successeur Henri-Victor Valleau.

Originaire de Paris. "d'azur à la croix d'or; au chef d'hermines" / "en glazur e groaz en aour, e gab en erminoù"

devise / ger ardamez : Doué hag ar vro / (Dieu et le pays) et aussi : Ama et confide. (PPC)

Famille de Lamballe : "d'hermine, à la bordure de gueules / en erminig, e vevenn en gwad"

    Lambert de Spolète : Fils de Guy III de Spolète et Ageltrude de Bénévent. Roi d'Italie de 892 à 898; empereur d'Occident de 894 à 898.

adapté de Wikipedia

    Lambert : Comte de Nantes. Longtemps homme de confiance de Louis le Pieux, il participe ensuite à la révolte des fils de Louis contre leur père. Décédé en 837.

    Lambert : Comte de Nantes. Fils du précédent décédé en 837. Un temps partisan de Lothaire, il se rapproche de Nominoë. Tué en 852.

Famille Lambert : seigneur de la Ferrière; de la Provostais, en Bains (sur Oust); de Lanruault; du Plessix-Rivault, en Allaire; du Boisrappé; de la Fonchais. "de gueules au griffon volant d'argent" / "en gwad e leonerez nijant en arc'hant". références et montres de 1481 à 1536. (PPC)

  Famille Lambert de Boisjan  : "d'argent au chevron de gueules / en arc'hant, e gebrenn en gwad"

  Famille Lambert de Costang  : "échiqueté d'argent et d'azur, le premier échiquier chargé d'une molette de sable / Gwezboellek etre arc'hant ha glazur, ar wezboell gentañ karget gant (e)ur steredenn e sabel"

  Lamennais (Félicité-Robert de) : né à Saint-Malo le 19 juin 1782; décédé à Paris le 27 février 1854; fils d'un armateur malouin. Ordonné prêtre à Vannes le 23 mars 1816, à l'âge de 34 ans.  Ultra-royaliste jusqu'en 1830. Rallié à la cause démocratique. En novembre 1817, il publie le premier tome de "l'Essai sur l'indifférence". En avril 1834 sort "Paroles d'un croyant", en faveur de la démocratie, qui est condamné par le Vatican le 7 juillet

.

    Lamoricière (Christophe-Louis Juchaut de) : né à Nantes, en 1806; élève de l'École Polytechnique. Se distingue en Algérie dès 1830 : siège de Constantine, où il est grièvement blessé, en 1837; Mouzaïa en 1840; Promut général en 1843. Isly, en 1844; vainqueur d'Abd-elKader en 1847. Député de la Sarthe en 1846; Représentant du peuple en 1848. Exilé le 2 décembre. Commandant des troupes pontificales. Mort en 1865.

Lancelot

Surnom de Galaad *; Son nom est une variante de Ancelot, mot Vieux français signifiant ' Serviteur' précédé de l'article L agglutiné. ( cf. Dauzat; Noms de Familles)

Famille Lambilly :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

LAMBILLY (de), s‘ dudit lieu, de Créménan, de la Ville-Denache, de la Rivière-Bréhaut et de Morgan, par. de Taupont; de la Motte, par. de Loutehel; de la Soraye, par. de Campel; de la Grande-Touche, par. de Néant, du Plessix par. de  Trémorel; du Quengo-Briend, par. de Bréhand-Loudéac; baron de Kergrois, par. de Remungol; vicomte du Broutay, par. de Guillac; marquis de Kerveno, par. de  Pluméliau; sr de Keraron, par. de Plumelin; du Ménéguen, par. de Melrand; du Quélennec, par. de Lanouée, du Bois-Hélio, par. de Ploërmel.

Anc. ext. chev., réf. 1669, dix gén.; réf. et montres de 1426 à 1513, par. de Taupont, Loutehel, Néant, Trémorel et Merdrignac, év. de Saint-Malo, et Saint-Launeuc, év. de Dol.

D’azur à six quintefeuilles d ’argent, 3. 2 et 1

En glazur e c'hwec'h fempdiliaouenn en arc'hant, 3, 2, 1

Devise / Sturienn : Point gesné, point gesnant.

- Un seigneur de cette maison, croisé en 12’8, (cab. Courtois), 

- Guillaume, épouse en 1360 Marguerite de la Motte, dame dudit lieu, dont 

- Jean, grand-chambellan et premier écuyer de la chambre et maison du duc Jean V en 1415, marié a Olive, dame de la Soraye; 

- Robert, capitaine des francs-archers, élus et arbalétriers de l'évêché de Vannes en 1487, épouse Hélène de Quélen; 

- Jacques, hommes d’armes de la garde de François II, tué au siége de Brest en 1489 et inhumé au Folgoët;

- Guillaume, président de la noblesse par élection aux États de l687; 

- Pierre-Joseph, conseiller au parlement en 1707, gentilhomme de la chambre du roi d'Espagne en 1720; 

- trois pages du Roi de 1695 à1721; 

- deux frères officiers aux gardes françaises, tués l’un a Dettingen en 1743; l’autre a Fontenoy en 1745; 

- deux membres admis aux honneurs de la cour en 1780 et 1786; 

- un lieutenant colonel d’état-major, tué a l’ennemi au combat de Ponthieu, en 1871.

  Landais (Pierre) : natif de Vitré. Trésorier, conseiller du duc de Bretagne François II

Famille de la Lande : seigneurs dudit lieu, — de la Sauldraye, — de Saint-Bihy et de Launay-Balin, par. de Plélo, — de Kerlohou, — de Créc'heren, par. de Plouvara.

D’argent au chef endenché de gueules

En arc'hant e gab dentek en gwad

- Geoffroi, amiral de Bretagne sous les ducs Arthur II et Jean III, épouse en 1320 Bonne d'Avaugour, dame d'Ambrières, de la maison du Parc, au Maine; 

- Olivier, fils des précédents, marié à Aliénor de la Jaille, fille du baron de Pordic, dont : 

-- Geoffroi, chambellan de Charles de Blois, employé dans des montres de 1351 à  1369, marié à Isabelle le Nepvou, pére et mère de Margilie de la Lande, fille unique héritière de la branche aînée, épouse, en 1404, de Guillaume de Quélen, capitaine de Quimperlé et chambellan du duc.

(texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne de J.-C. Even)

 

de la Lande :  (texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne de J.-C. Even)

LANDE (de la), sr dudit lieu et de la Grézillonnaye, par. de Guichen; de la Rouaudiére, par. de Domalain; châtelain de Guignen, par. de ce nom; sr du Plessix, de la Driennaye, par. de Saint-Malo-de-Phily; du Pontrouault, par. de Mernel; de Séréac, par. de Bourg-Paule; d’Arzal; du Grand-Cleuz, de la Riviére et du Pont-de-Gesvres par. de Treillières; de Lourmoie, par. de Nivillac.

Réf. et montres de 1427 à 1536, par. de Guichen et Saint-Malo-de-Phily, év. de Saint-Malo, Bourg-Paule, év. de Vannes, Treilliéres et Nivillac, év. de Nantes.

De gueules; alias: d’azur à trois écussons d’argent, à la cotice brochante

En gwad; neuz all : en glazur e zri skoedig en arc'hant, e c'housourin balirant

(Sceau / Siell 1365)

- Guillaume, regardé comme l'un des champions du combat des Trente en 1350, épouse Jeanne, dame de Guignen, dont : 

-- Tristan, gouverneur des villes et châteaux de Saint-Malo et Nantes, puis grand-maître de Bretagne, décédé en 1431, marié : 1. à Marguerite de Bruc, dame de la Bouteveillaye; 2° à Jeanne de Téhillac. Les enfants issus de ce second mariage prirent les nom et armes de Téhillac.

La branche aînée fondue dans d'Acigné; la branche de Guignen fondue dans Delbiest, puis SAINT-AMADOUR.

 

de la Landelle :  (texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne de J.-C. Even)

LANDELLE (de la), seigneurs dudit lieu, par. de Guer; de la Graé, par. de Peillac; de la Villeslouet; de Roscanvec et de Talhouët, par. de Saint-Nolf; de Couësnongle, par. de Saint-Jacut; des Maretz; des Tertrées, par. de Lanouée; de Lohan, par. de Plaudren; du Pin, de la Roberdière et du Temple, par. de Saint-Mesme; de Lantillac, par. de ce nom; de Tréal; de la Chesnaye-Aribart, par. de Gaël.

Anc. ext. chev., réf.1669, onze gén; réf. et montres de 1426 à 1536, par. de Guer, év. de Saint-Malo, Peillac et Plaudren, év. de Vannes.

D’argent d trois merlettes de sable

En arc'hant e deir moualc'henn en sabel

- Guillaume, chevalier de Saint-Jean-de-Jérusalem, fait un accord avec Ies moines de Saint-Aubin-des-Bois en 1187

- Robert, croisé en 1248 (cab. Courtois), épouse Perrone d'Anast, dont : 

- Guillaume, marié à Margot de Porcaro, père et mère de 

- Jean, marié en 1398 à Marie de Châteaudérech. De ce mariage:

-- 1° Jean, secrétaire du duc et premier huissier de sa chambre en 1432, qui a continué la filiation; 

-- 2° Martin, chevalier du Porc-Épic, en 1440

-- 3° Vincent, écuyer du duc, capitaine de Suscinio, 

-- 4° Guillaume, auditeur des comptes et abbé de Priéres en 1439.

- Deux filles admises à Saint-Cyr et deux dames de Saint-Cyr de 1737 à 1787

- un page du Roi en 1776, puis lieutenant au régiment du Roi (dragons), frère aîné d'un sous-lieutenant au régiment d'Anjou, qui fit ses preuves pour les honneurs de la cour en 1789; prisonnier à Quiberon en 1795, et fusi1lé sur la garenne de Vannes en méme temps que Sombreuil et l'évêque de Dol. (Famille éteinte de nos jours.)

  Landram : Évêque de Nantes au IXè siècle. Mort en 852

Langeron; né à Saint-Julien; décédé à ... ? . lieutenant général des troupes défendant l'île d'Aix contre les Anglais. Nommé gouverneur de Guyenne en 1757.

Langres (Andomatunum; Lingones)

Évêques de Langres

Sénateur, C. 300; Juste, c. 320; Didier, c. 346; Martin, c. 408; Honorat, c. 419; Urbain c. 430; Paulin Ier, c. 450; Fraterne Ier, c. 457; Fraterne II, c. 463; Aproncule, attest. 479; Armentaire, c. 491; Venance, c. 493; Paulin II, c. 496; Patient, c. 498; Albison, c. 500; Grégoire, 506/507 / 539 ou 543; Tétric, 539 ou 540 / 572 ou 571; Papoul, 572 ou 573 / 579 ou 581; Mummole, ? 581 / 584; Miget, ? 608_614; Modoalde, ? - 627; Berthoalde, ? 637 _ 650; Sigoalde, c. 650; Wulfrand, c. 670; Godin, c. 675; Adoin, c. 680; Garibalde, c. 686; Héron, c. 690; Astoric ( ou Eustorge), ? 737; Rémi (administrateur de l'évêché), c. 745; Chédroalde, c. 747; Vandier, c. 755; Hérulfe, ? 764 - 772; Ariolfe, ? - 775; Valdric, ? 776 - 784; Betton, ? 791 - 817; Albéric, ? 821 - 838; Thinauld Ier, ? 841 - 856; Isaac, 857 - 880; Geilon, 881 - 888; Thibauld II, ? 890 - 894; Argrim, 894 - 910; Garnier Ier, 910 - 922; Gotzelin, ? 923 - 927; Léthéric, (?) - 931; Héric, ? 934 - 941; Achard, ? 950 - 967; Vidric, ? 973 - 980; Brunon de Roucy, 981 - 1016; Lambert de Vignory, 1016 - 1030; Richard, (?) 1030 - 1031; Hugues Ier de Breteuil, 1031 - 1049; Harduin de Tonnerre, 1050 - 1065; Raynard de Bar-sur-Seine, 1065 - 1084; Robert Ier de Bourgogne, 1085 - 1111; Jocerand de Brancion, 1112 ou 1113 - 1125; Guillen d'Aigremont, 1125 - 1136; Guillaume Ier de Sabran, 1138 - 1138; Godefroi de la Roche, 1138 - 1163; Gautier de Bourgogne, 1163 - 1179; Manassès de Bar-sur-Seine, 1179 - 1193; Garnier II de Rochefort, 1193 - 1199; Hilduin de Vendeuvre, 1200 - 1203; Robert II de Châtillon, 1203 - 1209; Guillaume de Joinville, 1209 - 1219; (manque la suite) ********

famille de Languéouëz : Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

LANGUEOUEZ (de), Seigneurs dudit lieu, par. de Tréouergat; de Kerbiriou, par. de Crozon; de Prantanroz, par. de Penhars; de Lescoulouarn, par. de Plonéour; de  Kergaradec, par. de Fouesnant; de Quinipily, par. de Baud; de Kerivallan, par. de Brec'h;  d'Espinefort, par. de Languidic; de Lezarscoët, par. de Plounévez-Porzay; de la Forest, par. de Plomodiern; de Kerham, par. de Plouzévédé.

Réf. et montres de 1426 à 1536, par. de Plouguin et Plouzévédé, év. de Léon, Plonéour et Plomodiern, év. de Cornouaille et Baud, év. de Vannes.

Fascé ondé d'or et d'azur; au chef de gueules

Treustellet ha kommek etre aour ha glazur; e gab en gwad

Devise / Sturienn : Vim patitur qui vincere discit.

- Maurice, tué à la bataille d'Auray en 1364

- Hamon, de la paroisse de Tréouergat, entendu dans l'enquête pour la canonisation de Charles de Blois en 1371;

- Tristan, chevalier de Rhodes, commandeur du Saint-Esprit d'Auray en 1510.

La branche aînée fondue vers 1520 dans TALHOUËT; la branche de Quinipily fondue au XVè siècle dans LANNION; une autre branche fondue au XVIè siècle dans MALESTROIT puis ARRADON.

  famille de Lansullien : d'argent à trois fusées rangées et accolées de sable / "en arc'hant, e deir gwerzhidenn peuliet kenstag

  famille de Lantivy : de gueules à une épée d'argent en pal, la pointe en bas / en gwad, e c'hleze en arc'hant peuliet, beg ouzh beg

  famille de Lanuzouarn : d'argent, à six annelets de gueules en orle; un écusson d'azur en abîme / en arc'hant, e c'hwec'h ruilhenn en gwad gouremet; ur skoedig en glazur ouzh kondon

Laouenan Roger : journaliste et écrivain breton. Il était né à Ploulec'h le 28 août 1932, et est décédé à Lannion le mercredi 30 mars 2021, à l'âge de 89 ans.

Des Demoiselles au feu : L'épopée des fusiliers marins, Coop Breizh, 2004

Ce soir d'août, Le Télégramme éditions, (roman) 2004

Les Poilus : Dans les tranchées de la Grande Guerre, Le Télégramme éditions, 2003

Le Moral de l'arrière, Le Trégor dans la Grande Guerre, Coop Breizh, 2002

Le Pays de Lannion dans la grande guerre, Coop Breizh, 2002

Les Semailles de guerre, Coop Breizh, 2000

Les Coquelicots de la Marne, Coop Breizh, 1994

Nous les poilus, Coop Breizh, 1998

Les Fiancés de la Toussaint, Coop Breizh,(roman) 1996

La Moisson rouge, Coop Breizh, 1994

Le Tocsin de la moisson, Coop Breizh, 1994, Grand Prix des Ecrivains Bretons

Anjela Duval, Éditions Nature et Bretagne, 1982.

Le Dernier Breton, le Cercle d'or, 1978,(roman) prix régional des Ecrivains de l'Ouest

La Nuit du pendu, 1959, (roman) prix littéraire de la Côte de Granit Rose

Le pain bleu, éditions De Borée (roman), 2009

Le repaire du papillon, éditions De Borée roman),2011

Il s'était passionné pour la guerre de 1914-1918.

  famille Larcher : de gueules, à trois flèches tombantes d'argent / en gwad, e deir saezh en arc'hant ouzh beg

et a eu pour successeur Pierre Cornulier

Largillière (René) : né le 09 septembre 1891 à Beauvais, département de l'Oise; décédé le 30 septembre 1926. Il a laissé : Les saints et l'organisation chrétienne primitive dans l'Armorique bretonne. publiée en 1925; Reprise en 1995 par les Éditions Armeline, Crozon, avec préface de Bernard Tanguy. 

Latimier (André) : article en préparation.

André Latimier est né à Paris, XVème arrondissement, le *** 1923. Son père était originaire de Loudéac.

Fondateur, avec Pierre Le Bihan et Ronan Huon, de la revue littéraire en langue bretonne : Al Liamm, en 1946. 

Président du cercle celtique Nezadur, de Paris.

André Latimier est décédé à Perros-Guirec, le ***, à l'age de 75 ans.

Ses obsèques ont été célébrées en la chapelle Notre Dame de la Clarté, en Perros-Guirec, par l'abbé Le Breton,  le 01 août 1998. Il a été inhumé au cimetière de la Clarté.

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Une page spéciale lui a été consacrée, signée de Pierre Le Bihan, dans la numéro 310 de la revue Al Liamm (Septembre - Octobre 1998)

Andrev Latimier : war ar stern

Andrev Latimier a zo bet ganet e Ker-Baris, XVt arrondisamant, d'an *** 1923. E zad a oa diouzh Loudieg.

Krouer, asemblez gant Per Ar Bian ha Ronan huon, ar gazetenn lennegezh e brezhoneg : Al Liamm, e 1946.

Rener ar c'helc'h keltiek Nezadur, e Paris.

André Latimer a zo aet d'an anaon e Perroz, d'an ***, oajet a 75 bloaz.

E obidoù a zo bet roet er chapel Itron-Varia ar Sklaerder, e Perros-Gireg, gant Abbad Le Breton, an deiz kentañ a viz eost 1998. Lakaet eo bet en douar er bered ar Sklaerder.

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Ur bajenn ispisial a zo bet savet evitan, skrivet gant Per Ar Bihan, en niverenn 310 kelc'hgelaouenn Al Liamm (Gwengol- Here 1998)

  Famille Laurens de Keranglas : "de sable, au poignard d'argent posé en pal, la pointe en bas; accompagné de trois étoiles de même; au chef d'argent / e sabel, e c'hougleze en arc'hant peuliet, beg ouzh beg, heuliet gant teir steredenn ivez en arc'hant; e gab en arc'hant"
  Famille Laurens de Launay : "d'or, au laurier arraché de sinople; au chef d'azur chargé de trois étoiles d'or / en aour, e loreen diframmet ha geotet; e c'hab e glazur karget gant teir steredenn en aour"
Famille de Laval (Gilles de Rais): "d'or, à la croix d'or, chargée de cinq coquilles d'argent, et cantonnée de seize alérions d'azur / en aour, e groaz en gwad, karget gant pemp c'hregilhenn en arc'hant, hag gant pevar ererig e glazur ouzh pep konk"

Famille de Laval : Originaire du Maine. Baron dudit lieu, de Vitré, de Châtillon-en-Vendelais, de Châteaubriant, de Montfort, de Gaël, de Lohéac, de la Roche-Bernard; de Kergorlay en Motreff; de Beaumanoir, en Evran; de Montafilant, en Corseul; vicomte de la Bellière, en Pleudihen; seigneurs de Guicaznou, en Plougasnou; de Bodister, en Plourin; de Runfao, en Ploubezere; de la Roche-Suart, en Trémuzon; de Becherel; de Tinténiac; de Romillé; de Derval; barons de Retz; seigneurs de Machecoul; de la Benaste; de Bourgneuf; d'Ingrande; de Tiffauge et de Lezay en Poitou; de Chantocé; marquis du Boisdauphin et de Sablé en Anjou; seigneurs de Huguetières, en Pont-Saint-Martin; de Comper, en Concoret.

*  armes antiques / ardamezioù koz  : "de gueules au léopard d'or" / "en gwad e leonparzh en aour". Sceau / Siell 1281)

* armes 'modernes' / ardamezioù 'a-vremañ' :  :   "d'or, à la croix d'or, chargée de cinq coquilles d'argent, et cantonnée de seize alérions d'azur" / "en aour, e groaz en gwad, karget gant pemp c'hregilhenn en arc'hant, hag gant pevar ererig en glazur ouzh pep konk"

* Guy, baron de Laval, et Avoise de Craon, sa compagne, n'eurent qu'une fille, Emme, mariée en 1221 à Mathieu de Montmorency, connétable de France, veuf de Gertrude de Soissons. Du premier lit issut : Bouchard, qui a continué la filiation des Montmorency; du deuxième lit : Guy, qui succéda à sa mère dans le seigneurie de Laval, dont il prit le nom ainsi que ses descendants et se croisa en 1247. Il épousa Philippe, dame de Vitré", dont issut : Guy, croisé en 1270; Thibaud, tué à la bataille de la Roche-Derrien en 1347, marié à Béatrix de Bretagne, dont autre Guy, marié 1 en 1348 à Louise de Châteaubriant, 2 à Jeanne de Laval, dame de Châtillon en Vendelais. Du second mariage, issut : Anne, fille unique héritière, mariée en 1404 à Jean de Montfort, seigneur der Kergorlay, à condition que les enfants à naître de ce mariage porteraient les noms et armes de Laval. Ces enfants  furent : 1° Guy, comte de Laval en 1429, marié à Isabelle  de Bretagne, 2° en 1450, à Françoise de Dinan, dame de Châteaubriant, veuve de Gilles de Bretagne; 2° André, maréchal et amiral de France (décédé en 1486); 3°, Louis, grand-maitre des eaux et forêts de France (décédé en 1489), oncle de Guy, grand-maître de France (décédé en 1500); 4° Jeanne, mariée en 1424 à Louis de Bourbon, comte de Vendôme, d'où sont descendus les rois de France de la maison de Bourbon.

Cette maison illustre a donné à l'Église : 

- Guy, évêque de Cornouaille en 1324, puis évêque du Mans (décédé en 1337); 

- Pierre, évêque de Rennes (décédé en 1357);

- Pierre, abbé de Saint-Méen, évêque de Saint-Brieuc et de Saint-Malo, et archevêque de Reims (décédé en 1493); 

- François, bâtard de Laval, abbé de Paimpont et du Trochet, et évêque de Dol (décédé en 1556);

- Henri, évêque de Léon en 1651, puis de la Rochelle (décédé en 1693)

* La branche aînée a transmis, par alliance, en 1518, le comté de Laval à la maison de Rieux, d'où il est passé aux Coligny et en 1605, aux La Trémoille.

* La branche de Châteaubriant a fini à Jean, gouverneur de Bretagne en 1531, qui, étant veuf sans enfants de Françoise de Foix, fit don en 1543 à Anne de Montmorency, connétable de France, des baronnies de Châteaubriant et de Derval, tombées, par alliance, dans la maison de Bourbon-Condé en 1632. 

* La branche de Retz avait pour auteur Foulques, époux de Jeanne Chabot, frère puiné de Guy, tué à la Roche-Derrien en 1347. Cette branche a produit Gilles, maréchal de France en 1429, dit le maréchal de Retz, connu sous le nom de Barbe-Bleue, et célèbre par ses crimes qui le firent condamner à être brûlé vif en 1440. Il avait épousé Catherine de Thouars, et ses sceaux portent les armes de Thouars, chargés d'un écu de Retz en abyme.

* La branche du Boisdauphin a produit : Urbain, maréchal de France en 1595, et s'est éteinte en 1672.

* La branche de Lezay, à laquelle appartenait un maréchal de France en 1783, créé duc de Laval en 1758, s'est éteinte en 1837.

 

Guy de Laval : évêque de Cornouaille en 1324, puis évêque du Mans (décédé en 1337); 

Pierre de Laval : évêque de Rennes en  ***** (décédé en 1357); 

Henri de Laval de Boisdauphin : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1651 à 1662. Il a succédé à René de Rieux, et a eu pour successeur François de Visdelou.

La Villemarqué : auteur breton. en attente.

Layamon : auteur littéraire britannique.

Guy Le Barbu : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1385 à 1410. Il a succédé à Guillaume Ouvrin, et a eu pour successeur Alain de Kerazred.
Henri Le Barbu : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 1383 à 1404. Il a succédé à Simon de Langres, et a eu pour successeur Hugues Le Stoquer. Transféré à Nantes. Il est décédé en 1419.

Le Baud (Pierre) : XVè siècle.

- Chronique et ystoires des Bretons, avec les chroniques des maisons de Vitré et de Laval. 1480 (imprimée 1638). Rédigé à la demande de Jean de Châteaugiron.

  Le Borgne (Guy) : auteur d'un armorial breton.

 

Le Braz (Anatole) :                                     

  Joseph (= Jo / Job) Lec'hien : Beleg breizhour; bet ganet e Pleraneg e 1919; aet da Anaon e Sant-Brieg, an 02 Gouere 2015, oajet a 96 bloaz; bet douaret e Pleraneg ar Gwener 03 Gouere 2015. Bet e oa bet rener skol Plijidi, person Kergrist-Moeloù ha Tremargad, ha dean ti ar rev goz.

Guy Le Clerc : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1514 à 1521. Il a succédé à Jean de Kermavan, et a eu pour successeur Christophe de Chavigné.
Ronajn Le Coadic : sociologue breton.

www.sociologie-bretagne.net

Guillaume Le Ferron : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1440 à 1472. Il a succédé à Jean Prigent, et a eu pour successeur Vincent de Kerleau.

  Le Gall : "d'argent, au lion de gueules armé et lampassé d'or; deux fasces d'or brochant sur le tout / en arc'hant, e leon en gwad krabanet ha teodet en aour; div dreustell en aour balirant"

Alain Le Gall, de Riec : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1335 à 1352; Il a succédé à Alain Gontier, et a eu pour successeur Geoffroy de Coëtmoisan.

Yves Le Gall : cf. Camille le Mercier d'Erm : "L'abbé Yves-Marie Le Gall est né à Saint-Servais, près Callac, dans la Haute-Cornouaille, en 1860. Plusieurs paroisses ont eu l'honneur de l'avoir comme recteur, entre autres celle de Trédrez (Trégor) jadis illustrée par saint Yves, et celle de Lescouët-Gouarec, près de Rostrenen. 

On lui doit un certain nombre de gwerziou et de cantiques, comme Hun ar Barz, Itron Varia Vulat, etc. Ces pièces, qui n'ont pas été réunies en volume, ont paru pour la plupart dans ar Vro (1904-1906) et dans Kroaz ar Vretoned. Les poésies de l'abbé Yves Le Gall sont très appréciées et à juste titre".

  Le Gallo (Yves) : professeur au lycée Kerichen; professeur à l'université de Brest; fidèle de la revue Al Liamm - Tir-na-n'Og. Yves Le Gallo est décédé le 07 mars 2002 à Brest, à l'âge de 82 ans.

  Le Gléau (René), alias Ronan Ar Glev : Linguiste breton. Dictionnaire classique français-breton; en 10 volumes; Syntaxe du breton moderne, 1770-1972; Études Syntaxiques Bretonnes, (4 volumes). René Le Gléau est décédé à Brest le 7 octobre 2008, à l'âge de 86 ans.

Légions romaines

Legio I Adjutrix (Première Légion auxiliaire) : légion créée par Néron; stationnée en Pannonie supérieure, dans le cadre de l'armée du Danube.

Legio I Augusta (Première Légion impériale) : légion julio-claudienne, qui a participé à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C. Elle disposait d'une colonie de vétérans à Guadix (Acci).

Legio I Flavia Pacis (Première Légion Flavienne, originaire de Pax Julia / Beja, Lusitanie) : Détachements installés sur le Rhin, cf. E. Demougeot, Formation de l'Europe, p 118, n 151.

Legio I Germanica (Première Légion germanique) : légion stationnée à Novaesium / Neuss vers 14 après. J.C, puis à Bonna / Bonn vers 70. L'archéologie de Neuss nous donne le nom de l'une de ses composantes : Ala Parthorum Veterana (Aile de cavalerie de vétérans Parthes ?)

Legio I Italica (Première légion originaire d'Italica, en Espagne) : légion créée par Néron.

Legio I Martia (Première Légion de Mars) : légion créée au IVè siècle. Stationnée dans la région de Strasbourg, afin de protéger les lieux de passage du Rhin contre les invasions barbares. Selon E. Demougeot (Formation de l'Europe, p 118, n 151), cette légion est basée à Augusta / Augst. Elle est mentionnée à Strasbourg, Vieux-Brisach, Biesheim, Horbourg, Trois-Châteaux, Wyhlen-Kaiseraugst.

Un détachement semble présent à Alet / Saint-Malo, sous le nom Martenses (L.Langouët, Curiosolites, p 236).

Legio I Minervia Domitiana Pia Fidelis (Première Légion Minerve Domitienne Pieuse et Fidèle) : légion créée par Domitien, en remplacement de la Legio V Alauda; stationnée à Bonna / Bonn dans le cadre de l'armée du Rhin. En 197, Septime Sévère installe un détachement de cette légion à Lyon. (Minerve est le nom de la déesse de la Guerre, identique à Athéna)

Legio I Parthica (Première Légion Parthe ?) : légion créée par Septime Sévère.

Legio II Adjutrix Pia Fidelis (Deuxième Légion auxiliaire Pieuse et Fidèle) : légion créée par Vespasien en Pannonie; placée sous les ordres de Petilius Cerialis, elle est d'abord placée en réserve à Lindum / Lincoln; elle est installée ensuite de 78 à 86 à Deva / Chester (R. Delmaire, Morinie, p 309), puis stationnée en Pannonie inférieure dans le cadre de l'Armée du Danube.

Legio II Augusta (Deuxième Légion impériale) : légion julio-claudienne, qui a participé à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C. Elle disposait d'une colonie de vétérans à Guadix (Acci). Réorganisée par Auguste entre 30 avant J-C et 06 après J-C, elle est transférée à Argentoratum / Strasbourg à partir de 10-15 après J-C. (Armée romaine en Gaule, p 177).

En 15-16 après J-C, elle participe à la victoire sur les Germains (Tacite, Annales, I,70).

Entre 21 et 26 Auguste lui attribue apparemment aussi la colonie de vétérans d'Arausio / Orange, déjà colonie de la Legio II Gallica.

En 43, elle participe activement à la conquête de l'île de Bretagne, sous les ordres du général d'armée Aulus Plautius et du général de légion Vespasien (le futur empereur).

Vers 47, des éléments sont installés à Abonae / Sea Mills (près de Bristol). En 49-50 elle soumet la tribu des Dobunni et s'empare de la capitale Corinium / Cirencester. En 56-57 elle est déplacée à Isca Dumnoniorum / Exeter. Humilié lors de la guerre de Boudicca et des Icéniens en 60-61, son préfet se suicide. En 66-67, la Légion est à nouveau installée à Glevum / Gloucester dans une nouvelle forteresse. En 78, elle est déplacée plus au nord, à Isca Silurum / Caerleon. Elle sera installée ensuite à Rutupiae / Richborough, sans discontinuer, de 122 à 418.

A partir du IIIè siècle, son commandant général porte le titre de comte de la côte saxonne. Il a sous ses ordres les forteresses de Branodunum / Brancaster; Gariannonum / Burg Castle; Othona / Bradwell; Regulbium / Reculver; Dubris / Douvres; Lemanis / Lympne; Anderita / Pevensey; Portus Adurni / Portchester.

Legio II Flavia (Deuxième Légion Flavienne) : légion stationnée en Mésie supérieure, dans le cadre de l'armée du Danube.

Legio II Gallica (Deuxième Légion Gauloise) : En 35-40 avant J-C, Octave (futur empereur Auguste), lui attribue la colonie pour vétérans d'Arausio / Orange (Firma Julia Secundanorum). Son symbole est le Capricorne.

Legio II Italica (Deuxième Légion Italica) : légion créée par Marc-Aurèle; stationnée en Norique, dans le cadre de l'armée du Danube. Le nom est tiré de celui de la ville d'Italica, en Espagne.

Legio II Parthica (Deuxième Légion Parthe) : légion créée par Septime Sévère.

Legio II Trajana Fortis (Deuxième Légion Trajane courageuse) : légion créée par Trajan.

Une référence m'a été adressée en octobre 1985, par Albert Deman : Réf : D. Hoffmann,

Das Spätrömische Bewengangsheer und die Notitia Dignitatum, I. Düsseldorf. 1969, p 233-234.

Une unité de cette légion est connue par ND à Othona / Bradwell-on-the-Sea, sous le nom de Numerus Fortensium.

Legio III Augusta (Troisième Légion Impériale) : légion augustéenne installée en Afrique du Nord. Son quartier général est d'abord situé, vers 6 ap. J-C, à Colonia Flauia Emerita Ammaedara / Haïdra, à 300 km sud-ouest de Carthage, avant d'être transféré, en 55, à Tebessa / Théveste (Hécatompylos des Grecs), à 40 km à l'ouest de la précédente, puis à Lambèse, en Numidie, à partir de Trajan. Elle est visitée par Hadrien en 128. La Legio III Augusta est dissoute en 238 sur ordre de Gordien III (Marcus Antonius Gordianus) (07.238 / 02.244), pour qui elle était "coupable d'avoir pris le parti de Maximin", le rival de sa famille ! Elle est reconstituée 15 ans plus tard, en 253, sur ordre de Valérien (Publius Licinus Valerianus) (22.10.253 / 260 ?). Elle disparaît apparemment au moment de la chute de l'Afrique romaine face aux Vandales.

(Armée romaine en Gaule, p 160; Militaires romains en Gaule civile, N° 11, p 25; Afrique du Nord dans l'Antiquité, p 171, 329, 331, 332; Voyager dans l'Antiquité, p 189; Histoire de l'Algérie, p 35-36).

Legio III Italica (Troisième Légion Italica) : légion créée par Marc Aurèle; stationnée en Rhétie, dans le cadre de l'armée du Danube. Le nom est tiré de celui de la ville d'Italica, en Espagne.

Legio III Gallica (Troisième légion Gauloise ou Gallate ?) : légion syrienne. Identification et cursus à compléter.

Legio III Parthica (Troisième Légion Parthe) : légion créée par Septime Sévère.

Legio IV Flavia (Quatrième Légion Flavienne) : légion créée par Vespasien.

Legio IV Scythica (Quatrième Légion Scythique) : ??? (Armée romaine en Gaule, p 162).

Legio IV Macedonica (Quatrième Légion Macédonienne) : légion julio-claudienne, qui a participé à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C. Elle disposait d'une colonie pour ses vétérans à Caesar Augusta / Saragosse. Elle est transférée sur le Rhin à partir de Claude; stationnée à Mogontiacum / Mayence, on en trouve aussi mention à Argentoratum / Strasbourg et à Biesheim; elle est dissoute par Vespasien. (Armée romaine en Gaule, p 159)

Legio IV Martia (Quatrième Légion du dieu Mars) : légion créée à l'époque de la Tétrarchie (284-305), et reconnue à Biesheim-Kunheim, près de Neuf-Brisach, en Alsace.

Legio V Alaudae (Cinquième Légion Alouette) : légion gauloise. Elle dispose d'une colonie de Vétérans à Vienne sur le Rhône (Colonia Julia Vienna), d'où elle est chassée lors d'une révolte des Gaulois de Narbonnaise en 44-43 avant J-C. La colonie est alors installée à Lyon (Lugdunum ad Rhodanum).

Elle participe à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C, où elle dispose d'une colonie pour vétérans à Emerita Augusta / Merida.

Elle est évacuée en 18 avant J-C, et transférée en Germanie (cf. Garcia y Bellido).

Vers 14 ap. J-C, la légion est stationnée à Novaesium / Neuss. Elle est perdue sous Néron, et remplacée en cette forteresse par la Legio I Minervia.

Selon M.F. Pétry, p 4690 : La légion est stationnée à Vetera / Xanten, avant d'être supprimée par Domitien.

JCE : selon un document touristique local, une pierre tombale dédiée à un certain Poblicus, officier de la Vè Légion, vers 50 ap. J-C, aurait été découvert à Cologne.

Legio VI Ferrata (Sixième Légion Bardée de fer) : Légion syrienne. Identification et cursus à compléter.

Legio VI Victrix (Sixième Légion Victorieuse) : 

Emblème : deux taureaux accroupis.

La date et la raison de la création de la VIè légion est discutée. L.A Constant, Arles Antique, p 53, n 3 : " Grobe a prétendu que cette légion VI était la légion I de Pompée, dont nous savons qu'elle fut prêtée à César en 53, et rendue à Pompée sur l'ordre du Sénat en 50; César, pour la remplacer, aurait donné le numéro VI à une légion nouvelle recrutée au début de la guerre civile. Rien n'est moins sûr : comment expliquer que cette légion de recrues soit qualifiée moins de 3 ans plus tard de légion de vétérans ?".

- début août 47 avant J-C, la VIè légion participe victorieusement, du côté de Jules César, à la bataille de Zela, dans le royaume du Pont, en Asie Mineure. Ses vétérans reçoivent des terres en Arles.

- automne 46 avant J-C : fondation de la colonie d'Arelate / Arles, par Tiberius Claudius Nero, pour les Sextani, vétérans de la VIè Légion.

- la VIè Légion participe à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C. Elle dispose d'une colonie pour vétérans à Caesar Augusta / Saragosse.

- fondation par Octave Auguste de la colonie d'Aix-en-Provence Colonia Iulia (Augusta) Aquae (Sextiae).

- La légion demeure stationnée en Espagne jusqu'en 68, date à laquelle elle prend le parti de Galba, qui lui adjoint une nouvelle légion : la VIIè.

- stationnée à Novaesium / Neuss, sur le Rhin, de 70 à 105;

- stationnée à Vetera / Xanten de 105 / 120.&127

- déplacée en 120 en (G)Bretagne, sur ordre d'Hadrien, avec mission de construire et de défendre le Mur. Quartier général : Eburacum / York. Au Bas-Empire, son commandant assume la fonction et le titre de Dux Britanniarum.

- retirée de Bretagne en 402 sur ordre du consul Stilichon pour aller défendre Rome attaquée par Alaric.

Legio VII Claudia (Septième Légion Claudienne) : légion créée par Claude; stationnée en Mésie supérieure, dans le cadre de l'armée du Danube.

Legio VII Gemina (Septième Légion reconstituée) : légion reconstituée vers 36 av. J-C par Octave à partir des éléments de la VIIè légion de Jukes César. C'est pour les vétérans de cette légion qu'a été créée la colonie de Béziers. La suite de son histoire est obscure. Elle ne semble pas pouvoir être confondue avec la suivante.

Legio VII Gemina (Septième Légion reconstituée) : légion créée par Galba, gouverneur d'Espagne, le 10 juin 68 après J-C, à Clunia, près de Coruna del Conde (province de Burgos), dans le but de renforcer la Legio VI Victrix, dans le cadre de la Guerre Civile. Elle fait une entrée triomphale à Rome à la mi-octobre 68. Transférée en Pannonie à la fin 69 pour relever la Legio X Gemina; Transférée sur le Rhin vers 73 / 74, où elle est gratifiée de l'épithète Felix. Replacée en Espagne en 79 ? Elle est déplacée à nouveau en 88 en Germanie supérieure (Mogontiacum / Mayence), pour combattre la révolte de Saturnius (cf. M. Durry, traducteur de Pline le Jeune, p 189).

Un détachement de 1000 hommes est transféré en Ile de Bretagne en 119, pour recompléter la Legio IX Hispania.

Son titre a évolué dans l'histoire :

- Legio VII Claudia, Juin 68;

- Legio VII Gemina, 70;

- Legio VII Gemina Felix, après 73-74;

- Legio VII Gemina Pia Felix, vers 200 (sous Septime Severe);

- Legio VII Gemina Antonianna Pia Felix;

- Legio VII G.P.F Severiana Alexandrina;

- Legio VII G. Maximiana P.F;

- Legio VII G. Gordiana P.F;

- Legio VII G. Philippiana P.F;

- Legio VII G.P.F Deciana Traiana;

..

La Legio VII Gemina a donné son nom à la ville de Léon, en Espagne, où elle avait eu sa forteresse originelle.

Legio VIII Augusta (Huitième Légion impériale) : cantonnée d'abord à Novae / Sistova, sur le Danube, en Bulgarie, cette légion arrive en Gaule en 70 après J-C sur ordre de Vespasien.

Elle est stationnée en partie à Mirebeau, chez les Lingons (en Bourgogne), jusqu'en 90 environ, date à laquelle elle est transférée à Argentoratum / Strasbourg, où elle reste stationnée jusqu'en 408. En 197, Septime Sévère en installe un détachement à Lyon. (Militaires romains en Gaule civile, N° 11, p 48-49)

Legio IX Hispania (Neuvième Légion espagnole) : cette légion participe à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C. Elle en est évacuée en 18, pour être transférée en Illyricum. De 20 à 23 ap. J-C, elle participe en Afrique du Nord comme renfort à la guerre en contre Tacfarinas.

En 43, elle est l'une des quatre légions désignées pour participer à l'armée de conquête de l'Ile de Bretagne sous les ordres d'Aulus Plautius, elle-même se trouvant sous les ordres d'Hosidius Geta.

En 48-49, elle est d'abord installée à Lindum / Lincoln, chez les Coritani, puis à Eburacum / York, chez les Brigantes, en 71 par le général-gouverneur Quintus Petilius Cerialis. Elle y reste jusqu'en 122, ou après un désastre contre les tribus bretonnes du nord de l'ïle, elle sera retirée et remplacée par la Legio VI Victrix. On ignore ce qu'elle est devenue par la suite. Probablement a-t-elle été démembrée.

Legio X : légion de Jules César, qui a participé à la guerre des Gaules, aux deux expéditions de (G)Bretagne, à la Guerre Civile, et à la Guerre d'Espagne. 500 à 800 d'entre ses vétérans avaient été installés comme colons à Narbo Martius / Narbonne.

Legio X Fretensis (Dixième Légion du détroit -de Sicile - ? ) : a servi en Judée en 67-68.

Legio X Gemina (Dixième Légion recomposée) : légion julio-claudienne; participe à la pacification de l'Espagne, de 29 à 19 avant J-C, où elle dispose d'une colonie pour vétérans à Emerita Augusta / Merida et une autre à Caesar Augusta / Saragosse. En 63 après J-C, elle est transférée à Carnuntum / Petronell, sur le Danube.

Legio XI Claudia (Onzième Légion Claudienne) : légion créée à l'évidence à l'époque de Claude. Elle tenait garnison à Burnum sur la côte de Croatie (ruines à l'ouest de Knin, qui est sur le Titius / Krka). Elle a été attestée à Vindonissa / Windisch, en Suisse, à partir de Vespasien, puis à Biesheim-Kunheim, en Alsace.

(H.Zehnacker, Pline l'Ancien, Histoire Naturelle, Livre III, note p 269)

Legio XII Fulminata (Douzième Legion Fulminante) : stationnée à Mitylene / Métilène.

Legio XII Victrix (Douzième Légion Victorieuse) : présence énigmatique et non résolue dans le secteur d'Argentorate / Strasbourg à la fin du IVè siècle.

JCE : ne s'agirait-il pas d'une mauvaise lecture de Leg.VI.V, (Legio VI Victrix) légion bretonne sous les ordres de Maxime ? On pourrait penser alors seulement à un détachement de celle-ci, car cette légion n'a été définitivement retirée de Bretagne qu'en 402, sur ordre du consul Stilichon.

Legio XIII Gemina (Treizième Légion recomposée) : légion stationnée en Pannonie, où elle est attestée en 79.

Legio XIV Gemina (Victrix) (Quatorzième Légion recomposée Victorieuse) : légion levée en 6 après J-C. Stationnée momentanément à Mogontiacum / Mayence lors de la conquête de la Gaule. En 43, elle participe à l'armée de conquête de l'Ile de Bretagne, sous les ordres d'Aulus Plautius.

Installée à Deva / Chester en 60-61, elle participe au massacre des druides de l'ïle Mona / Anglesey. 

Elle participe également à la guerre civile qui a sévi en Italie entre 69 et 70 (Bédriac). La Legio XIV Gemina est définitivement retirée de Bretagne en 71 et est réinstallée à Mayence. Elle participe à la conquête des Champs Décumates en 74. A partir de 92, elle est mutée à Carnuntum / Petronell.

Legio XV Apollinaris (Quinzième Légion -du dieu- Apollon) : Stationnée à Carnuntum / Petronell, sur le Danube, à partir de 71 jusqu'à 92.

Legio XV Primigenia (Quinzième Légion, de la déesse Fortuna) : première des légions créées par Néron; stationnée à *** ? .

Legio XVI Flavia Firma (Seizième Légion Flavienne de renfort) : Cette légion a pris la suite de la Legio XX Valeria à Novaesium / Neuss en 43, où elle stationnera jusqu'en 70 ap. J.C.

L'archéologie nous donne le nom de l'une de ses composantes : Ala Gallorum Picentiana (unité de cavalerie gauloise originaire du Picenum).

Legio XVII (Dix-septième Légion ?) : présence indiquée à Ehl, près de Strasbourg. Il a été supposé qu'il s'agit de l'une des légions disparues corps et biens lors de l'expédition de Varus en Germanie, en 9 avant J-C.

Legio XX Dejotariana (Vingtième Légion Déjotarienne ? ) : Si l'on tient compte de son cognomen, il se peut qu'il s'agisse d'une légion issue de Galatie. Elle a été perdue par Hadrien.

Legio XX Valeria Victrix (Vingtième Légion Valeria Victorieuse) : 

La date de sa création est discutée, soit de l'époque tibérienne, soit de l'époque augustéenne, plus précisément du Triumvirat, vers 31 avant J-C.

La première référence précise à Legio XX (sans cognomen) remonte à la révolte pannonienne de 6 ap. J-C. Elle était probablement stationnée à Aquilée. 

En 14 ap. J-C, elle est stationnée sur le Rhin, sur le territoire des Ubii, à l'emplacement de Cologne, dans le cadre de l'armée d'occupation des Gaules. 

Elle est ensuite transférée à Novaesium / Neuss entre 14 et 43 ap. J.C, où l'archéologie nous donne le nom de l'une de ses cohortes : Cohors III Lusitanorum (Lusitanie = Portugal).

La légion participe à l'armée de conquête de l'ïle de Bretagne, en 43, sous les ordres du général Aulus Plautius.

Installée d'abord en réserve à Camulodunum / Colchester. Déplacée en 57 à Glevum / Gloucester. Installée provisoirement en 60-61 à Deva / Chester, avec la Legio XIV Gemina, puis à Viroconium / Wroxeter de 67 à 86. A cette date, elle est déplacée définitivement à Deva / Chester, qui sera son quartier général jusqu'à Maxime (383-388).

La mission dévolue à la Legio XX Valeria Victrix est d'assurer la sécurité dans la partie sud-ouest de la mer d'Irlande et dans la Manche ouest.

Elle dispose pour cela de plusieurs forteresses le long des côtes allant de Chester jusqu'à l'ïle de Wight : Seguntium / Caernarvon; Moridunum / Caermarthen; Nidum / Neath; Isca Silurum / Caerleon; Venta / Caerwent; Abonae / Sea Mils (près Bristol);

Elle sert de fer de lance à Magnus Clemens Maximus ( = Maxime / Maxen Wledig) en 383 lors de sa conquête du pouvoir contre Gratien. Une partie d'entre elle est affectée à la défense des côtes armoricaines jusqu'à l'embouchure du Rhin (tractus armoricani et narvicani). 

La XXème légion disparaît des rôles de l'armée après la défaite de Maxime, et son exécution à Aquilée, en 388. Ce qu'il en reste est réparti dans d'autres légions, certains d'entre eux reviennent en G.Bretagne, d'autres resteront installés sur les côtes armoricaines. Certains d'entre eux sont ainsi à l'origine d'une entité britto-romaine dans ce qui deviendra plus tard le berceau de la Bretagne armoricaine.

Il a été proposé que le qualificatif Valéria attribué à la Légion venait du nom de son pays d'origine : la Valeria, district de Pannonie. Or, M.A. Marié, dans ses notes concernant la traduction d'Ammien Marcellin, nous dit que ce qualificatif date de l'empereur Galère, qui a donné à cette contrée le nom de sa femme. Or Galère est postérieur de 260 ans environ à l'apparition de la XXè légion, ce qui rend l'identification ethnonymique impossible.

Legio XXI Rapax (Vingt-et-Unième Légion Rapace) : stationnée à Novaesium / Neuss vers 14 ap. J.C. On en trouve aussi des unités à partir de 43 à Vindonissa / Windisch, Strasbourg; Seltz, Biesheim, Kembs. Elle participe à la bataille de Crémone (octobre 69) pour le compte de Vitellius. Attestée à Bonna / Bonn vers 70, et en Germanie supérieure (?) en 83.

En automne 96, hostile à la proclamation de Nerva, elle brûle Argentoratum / Strasbourg,

La Légion est perdue par Trajan.

Legio XXII Primigenia Pia Fidelis (Vingt-Deuxième Légion de la déesse Fortuna, Pieuse et Fidèle). Légion créée par Claude; stationnée à Mogontiacum / Mayence de 43à 70, en remplacement de la Legio XIV Gemina déplacée en Bretagne. Mutée à Vetera / Xanten jusqu'en 93, puis réinstallée à Mayence.

En 197, cette légion réussit à dégager Trèves assiégée par Clodius Albinus, prétendant à l'Empire, proclamé en Bretagne. Cette même année, Septime Sévère en installe un détachement à Lyon, en remplacement de la XIIIè cohorte urbaine, qui avait pris parti pour Albinus.

Legio XXX Ulpia Victrix (Trentième Légion Ulpia Victorieuse). légion créée par Trajan; stationnée à Vetera / Xanten de 119 jusqu'à la fin de l'Empire (A.Grenier, Manuel d'archéologie, p 260; Archéologie du sol, p 653).

En 197, Septime Sévère installe un détachement de la légion à Lyon.

Le qualificatif Ulpia est tiré du nom de l'empereur Trajan (Marcus Ulpius Traianus), issu de la famille Ulpii. C'est aussi le nom latin qui a été attribué à la capitale de Dacie Sarmizegetusa (auj. Varhely, ou Gradiska), après sa prise en 106.

Charles Le Goffic

Le Gonidec (---) : auteur breton. en attente.

Robert Le Grand : né à Plouay le 8 octobre 1919; décédé à Guéméné-Penfao, le samedi 13 décembre 2008. 

- fondateur du cercle celtique Ar Vro Wenn, de Guérande, en 1946;

- secrétaire administratif de la confédération Kendalc'h, de 1955 à 1973;

- directeur de Coop Breizh, de 1962 à 1982;

- décoré de l'Ordre de l'Hermine en 1991.

Famille Le Jambu : seigneur de la Lande, en Châtillon-sur-Seiche; de Brays, en Cesson; de Lézardière, en Saint-Père-en-Retz; de Pontpierre; des Renaudières. "écartelé : aux 1 et 4, d'argent à la houssette de gueules, éperonnée d'or; aux 2 et 3, d'argent au lion de sable couronné d'or" / "palefarzhet : ouzh 1 ha 4, en arc'hant e gargen en gwad, kentraouet en aour; ouzh 2 ha 3, en arc'hant e leon en sabel kurunet en aour". Références et montres de 1427 à 1513. (PPC)

alias : "une croix pattée, cantonnée de quatre lionceaux" (sceau / siel 1421)

Famille Le Limonier; originaire de Normandie; seigneur de la Marche, en Javené; de la Lande, du Cahier, des Gastais, de Verdun, de la Houssaye, de la Rouelle, en Landéan; du Collédo, en Guéhenno; des Harys, en Dompierre-du-Chemin; des Courtailles, en la Selle-en-Juigné

Llew : forme galloise du nom de Lug, dieu suprême celtique

Alain Le Maout : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1482 à 1484, où il a succédé à Thomas James, et a eu pour successeur Antoine de Longueil, puis évêque de Cornouaille, de 1484 à 1493, où il a succédé à Guy du Bouchet, et a eu pour successeur Raoul Le Moël
Le Marhec (Geoffroy) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1357 à 1383; Il a succédé à Geoffroy de Coëtmoisan, et a eu pour successeur Thébaud de Malestroit..
  Le Moal (Yves)

Le Moël (Raoul) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1493 à 1501; Il a succédé à Alain Le Maout, et a eu pour successeur Claude de Rohan.
Jean-Julien Lemordant : né à Saint-Malo le 26 juin 1878.  Artiste peintre. Gravement blessé à la tête le 4 octobre 1914 près d'Arras, il perd son eil droiu. Il décède à Paris le 17 juin 1968, à l'âge de 89 ans.

Wikipedia

  Lemovices : pour étude étymologique, voir Rivet & Smith, The Place-Names of Roman Britain, sous LEMANA, p 385.

Les Lemovices ont été confondus avec les Lexovii dans la liste des peuples armoricains présents à Alésia (confusion entre les lettres M et X)

Lenaios, archonte d'Athènes en -118

Lenfant (abbé) : assassiné le 2 septembre 1792 en la prison de l'Abbaye, à Paris.
* Lenus : surnom donné au dieu Mars dans la région de Trèves.

  Famille le Ny : "d'argent, à l'écusson d'azur en abîme, accompagné de six annelets de gueules / en arc'hant, ur skoed en glazur ouzh kondon, heuliet gant c'hwec'h ruilhenn en gwad"

Leochares, archonte d'Athènes en -228

Léodagan : Personnage important des Romans arthuriens.; 

Roi de Carohaise en Carmélide; attaqué par une armée commandée par Claudas de la Terre Déserte, Pontius Antonius, et Frolle, Leodagan fait appel à ses voisins et amis Ban de Benoïc et Bohor de Gannes, ainsi qu'aux aux Bretons. Cette guerre fait l'objet du chapitre intitulé : La Bataille de Carohaise.

Leodagan est aussi le père de Guenièvre. Après sa victoire contre ses ennemis ci-dessus désignés, et grâce à ses alliés, Leodagan devient ainsi le beau-père du jeune roi Arthur.

Dans les traditions anglaises, il est nommé Leodegrance, king of Cameliard. (cf. Ronan Coghlan, Illustrated Encyclopaedia of Arthurians Legends.

Pour plus amples précisions, voir pages ou articles consacrés à  : Carhaix-Plouguer, en Petite Bretagne; Vivianne; Merlin; Brocéliande,

Léon : pays-évêché de Petite Bretagne.

Évêques de Léon : (les noms précédés d'un * ne sont pas historiquement attestés).

Paul-Aurélien, VIè siècle; Jaoua et Tigernomaglus (du vivant de Paul-Aurélien); Paul-Aurélien (secundo); Cetomerinus; Goulven; Thénénan; Houardon; Goueznou; *Gilbert; * Guyomark; *Leonorius; Liberalis (déposé de 850 à 866) / 867; Dotwoïon, 850 - 866; Hinvoret, 884; *Isaias; Octreo (appelé aussi Hesdren); Jacob, 950; Cona, vers 962; Mabbo; Paulinien; *Eudon, 995-1033; Salomon, 1039; Omnès, 1040-1055; *Jacques; Pierre de Gualon, 1106-1128; Guy, 1142-1145; Salomon, 1149-1160; Hamon de Léon, 1161-1172; Guy, 1180; Yves touill, 1180-1186; Jean, 1187-1227; Derrien, 1227-1238; Guy, 1238-1262; Yves, 1262-1292; Guillaume de Kersauzon, 1292-1327; Pierre Benoît (ou Bernard), 1328-1349; Guillaume Ouvroin (du Mans), 1349-1385; Guy Le Barbu, 1385-1410; Alain de Kerazred (ou de la Rue), 1411-1419; Philippe de Coëtquis, 1419-1427; Jean de Saint-Léon Validire, 1427-1432; Ollivier du Tillay, 1432-1436; Jean Prigent, 1436-1440; Guillaume Le Ferron, 1440-1472; Vincent de Kerleau, 1472-1476; Michel Guibé, 1477-1478; Thomas James, 1478-1482; Alain Le Maout, 1482-1484; Antoine de Longueil, 1484-1500; Jean d'Epinay, 1500-1503; Jean de Kermavan, 1503-1514; Guy Le Clerc, 1514-1521; Christophe de Chavigné, 1521-1554; Rolande de Chavigné, 1554-1562; Roland de Neufville, 1562-1613; René de Rieux (dépossédé de 1639 à 1646), 1613-1651; Robert Cupif, 1639-1646; Henti de Laval de Boisddauphin, 1651-1662; François de Visdelou, 1665-1668; Jean de Montignuy, 1671; Pierre Le Neboux de La Brousse, 1671-1701; Jean-Louis de la Bourdonnaye, 1701-1745; Jean-Louis Gouyon de Vaudurand, 1745-1763; Jean-François d'Andigné de la Chasse, 1763-1772; Jean-François de la Marche, 1772-1802 (décédé 1806).

Source : Diocèse de Quimper et de Léon; année 1983.

  Léon Ier (Flavius Valerius Leo): Issu de la tribu isaurienne connue sous le nom de Besses (Thrace). Né vers 411. Les noms de son père et de sa mère nous sont inconnus. Proclamé empereur d'Orient à Constantinople, le jeudi 7 février 457, par Aspar, chef de la milice, lui-même barbare alain d'origine. Son épouse, Aelia Verina, lui donne deux filles, Aelia Ariadnè et Leontia. Léon Ier est mort à Constantinople le vendredi 18 janvier 474.
  Léon II : Petit-fils de Léon Ier, par sa fille Ariadnè et son gendre Zénon. Né probablement à Constantinople, vers 467; proclamé césar par son grand-père Léon Ier le mercredi 31 octobre 473, puis auguste le samedi 17 novembre 473. Désigné consul pour 474; Le samedi 09 février suivant la mort de son grand-père, Léon II 'proclame' empereur son père Zénon (Flavius Tarasicodissa Zeno). Léon II décède de maladie, âgé de 7 ans, le dimanche 10 novembre 474.

Hervé de Léon

* Ogée (vers 1780), sous article consacré à la paroisse de Plouezoch, en Trégor : "L'an 1320, Hervé de Léon, seigneur de cette paroisse, y possédait la ville de Plouezoch, avec les moulins de Hinbez, de Blecrez, de Foulerez, et l'étang au Rochie, avec son moulin. Les ancêtres de Hervé de Léon y avaient établi un marché".

Léon (Saint) : pape du dimanche 29 septembre 440 au vendredi 10 novembre 461

  Léonce de Payerne : Personnage des romans arthuriens. Régent du royaume de Bénoïc en l'absence du roi Ban.

Leoninus :

a) selon Encyclopédie des dates et des évènements : c. 1175, Léonin compose le Magnus Liber organi de Graduali.

b) selon DUHG : poète latin du XIIè siècle, était, à ce qu'on en croit, chanoine de Saint-Benoit à Paris. Il a mis en vers rimés l'Histoire de l'ancien et du nouveau Testament. On le regarde à tort comme l'inventeur des vers rimés connus sous le nom de léonins; ces vers étaient en vogue dès le VIIIè siècle.

JC Even : il s'agit d'une période très troublée pour la papauté, car nous trouvons d'un côté les partisans de l'empereur Frédéric Barberousse, et de l'autre les rois d'Angleterre et de France.

Pape élu à la majorité 

Anti-papes, protégés de l'empereur :

Alexandre III Victor IV (Orlando Bandinelli) (Ottaviano de Montecello) 07 septembre 1159 07 septembre 1159

Pascal III 22 avril 1164 (canonise Charlemagne en 1165)

Calixte III 20 novembre 1168 se soumet et reconnaît Alexandre en 1176 décès d'Alexandre le 30 août 1181

* Leonorius : evêque présumé de Léon, en Petite Bretagne. Il aurait succédé à Guyomark, et aurait eu lui même pour successeur Liberalis.

Leontia : fille de Léon Ier et Aelia Verina. Sœur d'Aelia Ariadnè.

Elle épouse successivement : 

1: Patrice, fils d'Aspar;

2: Marcianus, fils de l'empereur Anthemius. Pas de descendance connue.

Léon de Treveret : "d'or, à la fasce vivrée de gueules / en aour, e dreustell kranet en gwad "

 

Leostratos, archontes d'Athènes : en -484; en -303

Le Pensec (Louis) : Député-maire de Mellac; président du Pays des Portes de Cornouailles.

Le Picard André : né à Tréguier le 02 avril 1911, dans une famille d'ébénistes remontant à 1878. 

Le Picard Yves-Goneri : fils d'André Le Picard et de ***; né à Tréguier le 04 mai 1953.

    Lépide ( *** Lepidus) :

  Leroy (Nolwenn) : Chanteuse bretonne. Née à ***, le; 

Le Scanf (Emile), alias Glenmor. Né à Maël-Carhaix le 25 juin 1931; décédé à Quimperlé, le 18 juin 1996; inhumé à Maël-Carhaix. 

Famille Lescoët : (texte de Pol Potierr de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J./-C. Even)

LESCOET (de), st dudit lieu, de la Moquelays, de Sainte-Belienne et de Soulleville par. de Maroué, du Rosay, par. de Landehen, de la Ville-Marie, par. d’Andel;  vicomte du Boschet en 1608 et sr de la Chalouzais, par. de Bourg-des-Comptes;  sr de la Guérande par. d’Hénan-Bihen; de la Ville-Geslin; de Villepie, par. d'Izé; châtelain de Galmellière en 1627; sr de  Ménémeur, du Pontgirouard, du Poirier, et de la Gabillaudière, par. de Sainte-Luce; du Bois-Nouveau, par. de Saint-]ulien- de-Concelles; de Launay-Dionis, par. de Chantenay.

Anc. ext. chev., réf. 1669, onze gén.; réf. et montres de 1423 à 1535, par. de Maroué, Landehen, Andel et Hénan-Bihen, év. de Saint-Brieuc et de év. de Rennes.

"De sable à l’épervier d’argent, armé, longé et grilleté d’or, accompagné de trois coquilles d’argent"

"En sabel e sparfell en arc'hant, krabanet, stagellet ha grizilhonet en aour, heuliet gant teir c'hregilhenn en arc'hant"

- Jouhan, épouse vers 1 375, Françoise Madeuc, dont Denis, époux de Marie le Vayer, père de Jean, marié en ‘I430, à  Jeanne, dame de la Ville-Marie, dont Jean, maître de l|'artillerie de Bretagne et constable de Rennes en 1487.

- Bertrand, chef d’une autre branche, marié vers 1420 à Guillemette Lépervier, dame du Poirier, bisaïeul d'Olivier, écuyer, sommelier et panetier de la reine Anne en 1510.

- Gilles, chevalier de Malte en 1539;

- Auffray, conseiller au parlement en 1586, premier président aux comptes en 1596, marié en 1585 à Suzanne Challot, dame du Boschet; 

- un général des finances en 1617;

- une abbesse de Bonlieu, au diocèse de Lyon en 1640.

La branche aînée fondue au XVè siècle dans LE NEPVOU; la branche de la Moquelays fondue dans BURGES, en Lor-
raine, puis CAMBOUT; la branche du Boschet fondue en 1751 dans KERNEZNE; la dernière branche éteinte en 1791 .

On trouve Alain, croisé en 1248 (cab. Courtois); mais nous ne savons à quelle famille de Lescoët ou du Liscouët il appartenait.

Famille Lescorce / L'Ecorce : (texte de Pol Potierr de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J./-C. Even)

LESCORSE ou ECORCE (de L'), seigneurs dudit lieu et de la Pillotière, paroisse de Vieillevigne; de Plusquepoix, paroisse de Sainte-Croix de Machecoul; de la Bourdinière et de la Sévestière, en Poitou; du Rocher et de la Hirtais, par. de Cambon.

Anc. ext., réf. 1669, cinq gén.; réf. de 1443 à 1455, par. de Sainte-Croix de Machecoul et Saint-Mesme, év. de Nantes.

Pour armes antiques: 

un pairle / ur c'hembar

 (Sceau / Siell 1381) Couleurs inconnus / Livioù disanvet

moderne : 

"d'azur à l'épée d’argent en fasce, la pointe tournée à dextre, accompagnée de trois fleurs de lys de méme"

- Jean, écuyer, vivant en1313;

- Jamet, ratifie le traité de Guérande en 1381; 

- Jean fils Vincent, vivant en 1550, épouse Jeanne Guiay.

La branche ainée fondue vers 1390 dans LE MAIGNAN.

Le Scouëzec / Gwenc'hlan ar Skouezeg

fils du peintre Maurice Le Scouëzec. Il est né à          , le        1930, et est décédé à          , le 6 février 2008, à l'âge de 78 ans. Il a été inhumé à          . 

En 1980, il succéda à Pierre Loisel en qualité de grand-druide du gorsedd de Bretagne.

Fondateur de l'association Skoazell Vreizh en faveur des prisonniers politiques bretons.

Auteur de Le Guide de la Bretagne mystérieuse.  Fondateur de la maison d'édition Beltan, en 1985.

  de Lesenet : "de sable, à trois croisilles d'argent / en sabel, e deir kroazig en arc'hant"

Lesmenez (Richard de) : évêque de Dol, de 1391 à 1405. Il a succédé à Guillaume de Brie, et a eu pour successeur Etienne Cœuret.

cf. Patrick AMIOT (1999) : "Ambassadeur en Angleterre du duc Jean IV, il fut nommé à l'évêché de dol le 17 février 1391 et fit sa soumission à la Chambre apostolique le 18 avril. aux États de Bretagne de 1398, il réclama la première place comme privilège des évêques de Dol. En 1401, il commença la fondation du couvent des Carmes. Meurt le 25 mai 1405"

Lespervez : famille bretonne, qui a donné deux évêques à la Cornouaille : Alain (1444-1451), Jean (1451-1472)

Le Stoquer (Hugues), évêque de Tréguier, de 1403 à ***; il y succède à **********, et a pour successeur **********; transféré à Vannes, de 1404 à 1408, où il succède à Henri Le Barbu, et où il a comme successeur Amaury de la Motte.
    * Leucetius : l'un des surnom du dieu Mars. Il est honoré en même temps que Nemetona à Bath par un gaulois originaire de la région mosellane. (cf. I.A Richmond; Roman Britain, p 195)

* Leuci : peuple de la Gaule belgique, qui avait sa capitale à Tullum Leucorum, aujourd'hui Toul, département de Meurthe-et-Moselle, en France.

Le Vert (Jean-Marie) : évêque auxiliaire de Meaux; évêque de Quimper et Léon, en Petite Bretagne, à partir du 3 février 2008. Il a succédé à --- Guillon. 
  * Leucotios : divinité celtique des éclairs, comparé à Mars dans une inscription de Bath : Loucetio Marti (RIB 140); cf Rivet & Smith, p 388. 

JCE : c'est aussi la racine du mot breton : lu'ched = éclairs; au singulatif : luc'hedenn = éclair.

* Lexovii : peuple de Gaule Lyonnaise, sur la Manche; attribué à la Lyonnaise IIè; chef lieu ***, aujourd'hui Lisieux (***)

Pline: Lexovios (IV,18); Ptol: Lixouvioi (II,8,5);

C'est ce peuple armoricain qui était présent à Alésia, mais dont le nom a été confondu avec celui des Lemovices (confusion entre X et M), ce qui a entraîné une incompréhension importante et ancrée du sens du nom Armorique.

Liberalis : évêque de Léon, en Petite Bretagne. Il aurait succédé à Leonorius, et aurait été déposé de 850 à 866; décédé en 867.Il a eu pour successeur Dotwoion.

Licinia Eudoxia. fille de l'empereur Théodose II. Epouse de Valentinien III.

Licouët (Charles du) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1582 à 1614; Il a succédé à François de la Tour, et a eu pour successeur Guillaume le Prestre de Lézonnet.
Famille de Lignières : Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

LIGNIERÈS (des), seigneurs dudit lieu, par. de Saint-Hilaire-des-Landes; du Chemin, par. de Montreuil-sous-Pérouse; de Launay-Morel, par. de Roz-sur-Couaisnon; du Tertre-Robert.

Réf. de 1448 à 1513, dites par, év. de Rennes.

De sable fretté d'or / En sable plezhek en aour

 (Manuscrit du fond Gaignières, B.N).

- Laurent, chevalier du Porc-Épic en 1448

- Guillaume, abbé de Saint-Aubin-des-Bois. conseiller aux Grands-Jours en 1538, puis au parlement en 1554, décédé en 1557.

Ligue gaélique : parti politique irlandais, fondé en 1893 par Douglas Hyde et Eoin Mac Meil.

Lingons / Lingones : peuple de la Gaule belgique. Capitale : Andomatunum / Langres. 

Une unité lingone est référencée à Segedunum / Wallsend, à l'est du Mur d'Hadrien, par la Notitia Dignitatum, fin IVè siècle.

Lionel : Personnage des Romans arthuriens; deuxième fils de fils du roi Bauhort de Gaunes. Il est le frère cadet de Bohort, et cousin de Lancelot, Hector, Blanor et Blioberis

Son nom signifie ' Semblable au Lion ';

Livia Drusilla : troisième épouse et grand amour d'Octavius Thurinus (le futur empereur Auguste).  Celui-ci l'enlève alors qu'elle est déjà l'épouse de Tiberius Claudius Néro, et mère d'un enfant, Tiberius, et enceinte d'un autre, qui naît seulement trois jours avant leur union : Drusus. Livia a été l'épouse aimée d'Auguste durant cinquante deux ans. Les dernières paroles d'Auguste, avant de mourir, ont été pour elle.

  Llancarvan

Moines et abbés de Llancarvan : Cadoc; Gildas; ***

Llew : forme galloise du nom de Lug, dieu suprême celtique

  Llongad Grwrm Fardog Eidyn : a tué Addaon, fils de Taliesin; (Ronan Coghlan; The Illustrated Encyclopaedia of Arturian Legends).

Llywarch Hen :

Llywellyn ap Seisyll : d'ascendance inconnue. il s'empare du trône de Gwynedd en tuant le roi en place Aeddan ap Begywryd. Il sera roi de Gwynedd de 1017 à 1023. Il avait épousé Angharad, fille de Maredudd ab Owain.

Llywellyn

Llywellyn le Grand

Llywellyn ap Griffith

Famille Loaisel :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptation mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

LOISEL, LOAISEL ou LOUAISEL, sr de la Couldre et de la Morinière, par. d'Essé;  marquis de Brie en 1660, par. de Brie; sr de Chambière, de la Rivière et vicomte de la Motte en 1642, par. de Saint-Armel des Boschaux; sr de la Touraudais; du Plessix, par. de Theil; du Bois-Jouan; de la Villedeneuf par. de Corseul; de la Rusardière, par. de Saint-Domineuc; de Saint-Benoit; d’Espinefort et de la Vigne, par. de Languidic.

Anc. ext. chev., réf. 1668 huit gén., réf. et montres de 1434 à 1513, par. d'Essé, Brie Saint-Armel et le Theil, év. de Rennes.

D'argent à trois merlettes de sable

En arc'hant e deir moualc'henn en sabel

Cette maison, alliée à celles de MALESTROIT, MAURE, MONTAUBAN, et CHATEAUBRIANT, remonte à Robin, époux d'Etesse de la Lande, l'un des signataires de la noblesse de Rennes pour empêcher l'invasion étrangère en 1378, trisaïeul de 

- Jean, président et juge universel de Bretagne en 1457, ambassadeur vers le Roi pour traiter de la paix à Chinon en 1465, marié à Jeanne Sevestre, fille du trésorier de Bretagne, dont : 

- Guillaume, marié en 1496 à Mathurine de Guémadeuc, père 

-- 1° de Jacques, auteur des marquis de Brie, éteints au éteints au XVIIè siècle, et qui ont produit un chevalier de l'ordre et deux présidents à mortier en 1596 et 1635;

-- 2° d'Artur, auteur des sr de la Villedeneuf.

- Pierre, sr de la Grabottière, avocat en parlement, débouté en 1668, fils de Jean, sr des Perrières, échevin de Rennes en 1638, est l'auteur des sr de Saint-Trimoel, paroisse de Maroué, et de Soeuvre, paroisse de Chantepie, allié depuis 1668 aux GAUTHIER DU PLESSIX-RAFFLAY, CHATON DES VAUX, DOUART et LAUNAY DE PONTCORNOU

Loegaire : roi irlandais païen de Tara, capitale de l'Irlande; lui-même fils de Niall. 

Famille des Loges :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptation mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

Seigneurs dudit lieu, en la Mézière; du Closdorière, en Vern; de la Dauphinais; de Kerriou; 

Ext. réf. 1668, sept générations; réf. 1513, par. de Vern, évêché de Rennes.

d'azur au lion d'or / en glazur e leon en aour

- Pierre, vivant en 1471, père de Mathurin, vivant en 1513 et ce dernier, père d' Olivier marié à Mathurine Mellet;

- Jean, conseiller aux Grands-Jours en 1538.

La branche de Closdorière fondue au XVIIè siècle dans ROGER.

Famille de Lohéac :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptation mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

Seigneurs dudit lieu, paroisse de ce nom, évêché de Saint-Malo. 

"de vair plein" / "Brizhet leun".

- Judicaël accompagna Guillaume le Bâtard à la conquête de l'Angleterre en 1066.

- Riou, croisé en 1096.

- Pierre, maréchal de Bretagne en 1273

Famille la Loherie  :  Texte de Pol Potier de Courcy; adaptation mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

LOHERIE (de La), sr dudit1ieu, par. de Petitmars; du Boisrouaud, de Bougon, de Gaignart, de Limur et de Tharon, par. de Saint-Père-en-Retz; de la Hémeraie, par. de Soudan; de Richelieu, par. de Lalleu

Réf. de 1436 à 1445, par. de Petitmars, év. de Nantes, et Lalleu, év. de Rennes. 

Gironné d'argent et de gueules de huit pièces

Barlennet etre arc'hant ha gwad a eizh pezh

( G. le B. ), voyez LAMOUREUX.

- Guillaume, président de Bretagne en 1440 ;

- Alain, époux en 1455 de Guillemette Mesleart, père d'Anne, mariée : 1°, à Jean de Trévécar; 2° à Regnaud de Brignac; 3° à Pierre de Plouër.

Lollius (Quintus Lollius Urbicus) : gouverne de la (G)Bretagne romaine, de 138-39 à 144 environ; il a succédé à P. Mummius Sisenna, et a été remplacé par Gn. Papitrius Aelianus.

Lombard (Georges) : Paris, 14 mars 1925 / Brest, 13 septembre 2010. Avocat au Barreau de Brest dès 1949. Député du Finistère. Maire de Brest de 1959 à 1973. Conseiller général du canton Brest-Saint-Marc jusqu'en 1992. Sénateur, de 1971 à 1984. Conseiller régional. Président du CELIB (Comité d'Étude et de liaison des intérêts bretons). Premier président de l'Institut Culturel de Bretagne, de 1981 à 1986. Officier de la Légion d'Honneur. Chevalier des Palmes Académiques. Chevalier de l'Ordre de Léopold. Il a contribué à ré-instituer l'Ordre de l'Hermine, en 1972, ordre dont il a lui-même été décoré en 1991.

  * Longostaletes : nom de peuple près de Béziers, France, Hérault. (cf Rivet & Smith, sous Longovicium, p 398)

Antoine de Longueil : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1484 à 1500. Il a succédé à Alain Le Maout, et a eu pour successeur Jean d'Epinay.
Famille Longuejoue : originaire de Paris. seigneurs d'Yverny.

"de gueules à trois grappes de raisin d'or" / "en gwad e zri vlokad greunwin en aour"

- Mathieu, évêque de Soissons en 1533, garde des sceaux de France en 1538,

- Thibault, conseiller aux Grands-Jours de Bretagne en 1535, marié  à Madeleine Briçonnet.

Longus (? -anus Longus (ou Longinus) : gouverneur de (G)Bretagne, de 158-59 à 161 après J-C; il a succédé à Gnaeus Julius Verus, et a été remplacé par Marcus Statius Pricus.

* Losa / Loxa : nom de divinité trouvé sur quatre autels en Espagne. cf Rivet & Smith, p 400.

* Losagni : nom de personne; CIIC 236, Iveragh, Co. Kerry. Rivet & Smith, p 400.

* Loscius : nom de personne; DAG 706; Rivet & Smith, p 400.

* Loscus : nom de personne; CIL III.3059; Rivet & Smith, p 400.

Lot

Personnage des romans arthuriens. 

* Ruth Minary & Charles Moorman, p 123 : "Lot. roi de Loonois (Leonois) et d'Orcanie, époux de Morgane, le demi-sœur d'Arthur, et la mère de Gauvain, Gaheris, Agravain, et Mordred. Roi rebelle d'abord, il se soumet à Arthur. Dans la Morte d'Arthur, cependant, il se brouille avec Arthur lorsqu'il apprend que Mordred est son fils. Il est tué par Pellinore, ce qui instaure une guerre de sang parmi leurs descendants et provoquera le conflit final entre Gauvain et Lancelot. Voir Llew Ap Kynvarc".

Lothaire Ier (795-855) : Petit-fils de Charlemagne; fils de Louis le Pieux; empereur d'Occident en 840.

 

Lothaire II  (835-869) : Fils de Lothaire Ier. Roi de Lotharingie.

 

Lothaire III  (941-986) : Fils de Louis IV, avant-dernier roi de la famille carolingienne

Lothaire III le Saxon : Fils Gebhard de Suppinbourg. né le 9 juin 1075 à Unterluss, en Saxe. Duc de Saxe de 1106 à 1137. Empereur des Romains du 4 juin 1133 au 4 décembre 1137. 

Extrait de Wikipedia

Lothroch / Lochru : conseiller favoris du roi Loegaire; rival de St Patrick.

* Loucetio Marti : inscription de Bath (RIB 140); voir Leucetios, ci-dessus.

René Louët : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1640 à 1668; Il a succédé à Guillaume le Prestre de Lézonnet, et a eu pour successeur François de Coëtlogon.
* Louis : nom de plusieurs rois de France

- Louis Ier le Pieux, ou le Débonnaire 778-840) : Fils de Charlemagne; Empereur d'Occident en 814. Père de Lothaire Ier, de Louis le Germanique, et de Charles le Chauve.

- Louis II le Bègue (846-879) : Fils de Charles le Chauve; roi de France de 877 à 879.

- Louis III (863-882) : Fils de Louis le Bègue. Roi de France de 879 à 882.

- Louis IV d'Outremer (921-954) : Descendant de Charlemagne. Il vit en exil chez le roi d'Angleterre Aethelstan (avec Alain Barbetorte), jusqu'à son retour . Roi de France de 936 à 954.

- Louis V le Fainéant (967-987) : Fils de Lothaire, dernier Carolingien roi de France. Couronné à Reims.

- Louis VI le Gros (1080-1137) : Capétien; roi de France de 1108 à 1137. Fils du roi Philippe Ier et de Berthe de Hollande.

- Louis VII le Jeune (1120-1180) : 2ème fils de Louis VI le Gros et ***. Né à ***, le *** 1120. Roi de France à partir du *** 1137.

Il épouse successivement :

- Aliénor d'Aquitaine, qui lui donne Marie (de Champagne), et Alix;

- Constance de Castille, qui lui donne Alix, et Marguerite;

- Adèle de Champagne, qui lui donne Philippe II Auguste.

Louis VII le Jeune est mort à ***, le ***.

- Louis VIII le Lion : (1187-1226). Fils de Philippe-Auguste et de ***; père de (Saint) Louis IX. Fut vainqueur de Jean Sans-Terre, roi d'Angleterre.

- Louis IX le Saint (1214-1270) : Fils de Louis VIII et de Blanche de Castille. Chrétien fervent, il participe aux Croisades. Il fut canonisé en 1297

- Louis X le Hutin (1289-1316) : Fils de Philippe le Bel et de Jeanne de Navarre. Roi de France de 1314  1316; 

- Louis XI (1423-1483) : Fils de Charles VII et de Marie d'Anjou; roi de France de 1461 à 1483. Père de Charles VIII, premier mari d'Anne de Bretagne.

- Louis XII (1462-1515) : Fils de Charles d'Orléans et de ***. Roi de France à la mort de Charles VIII, son cousin, en 1488. Second mari d'Anne de Bretagne.

- Louis XIII

- Louis XIV

- Louis XVI

- Louis XVII

- Louis XVIII

Bertrand Loyer : Senven-Léhart, 1882 / ***1948; Curé de Bourbriac, de 1920 à 1927. Auteur de plusieurs petites nouvelles en langue bretonne, dans le bulletin Le clocher de Saint-Briag.

Photographie issue du Trégor-Loisir du samedi 30 décembre 2010

* Loxa / Losa : nom de divinité trouvé sur quatre autels en Espagne. cf Rivet & Smith, p 400.

Lucas (Julien) : "né à Avaugour en Saint-Péver le 23 novembre 1743; baptisé à Saint-Fiacre le lendemain; fut chanoine de la cathédrale de Tréguier; recteur du Minihy-Tréguier (1785); député du Clergé (évêché de Tréguier) (21 avril 1789 - 30 septembre 1791) aux États Généraux puis à l'Assemblée nationale; maire du Minihy (1790). après avoir refusé le serment constitutionnel, il quitta l'Assemblée en 1790 et revint à Saint-Fiacre où il mourut le 3 avril 1792". 

Notice biographique : Régis de Saint-Jouan. Dictionnaire des communes du département des Côtes d'Armor. 1990. 

Lucetmael : conseiller favori du roi Loegaire; rival de St Patrick. (il est connu aussi sous le nom de Ronal).

Lucilianus (Egnatius Lucilianus) : gouverneur romain de la province insulaire Britannia Inferior, vers 238-244 après J-C.

Lucius III (Ubaldo Allucingoli) : Né à Lucques. Moine cistercien, cardinal-évêque d'Ostie, succède à Alexandre III sur le trône pontifical. Élu pape, à Velletri, le mardi Ier septembre 1181 (consacré le dimanche suivant !). Il réside à Vérone. Il y a décidé, avec l'empereur Barberousse, le principe d'une troisième croisade. Il est décédé à Vérone le lundi 25 novembre 1185.

Lucullus (Sallustius Lucullus) : gouverneur de (G)Bretagne, de 84 à 96; il a succédé à Gnaeus Julius Agricola, et a été remplacé par Publius Metilius Nepos.

Luetharn / Luckenart : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, au VIIIè siècle. Il aurait succédé à Golgon / Calgon, et aurait eu pour successeur Agus (Jagu ?)
Lug : nom du dieu suprême celtique, couvrant l'ensemble des fonctions (polytechnicien / samildanach); il est identifié au latin Mercure; son nom correspond au latin Lux = Lumière céleste, le Dieu lumineux; dans les langues celtiques, il apparaît sous les formes Lu (us) en gaulois, Lug en irlandais, Llew en gallois; en langue bretonne, un dérivé sert à désigner les éclairs : luc'hed (traits de Jupiter), ce dernier symbole le confondant alors avec Jupiter, le Dis Pater; Lug est également qualifié de Dieu aux longs bras : Lamfada, peut-être ceci étant une allégorie des éclairs.

Lug est l'éponyme de plusieurs villes : Lugdunum Batavorum (Leyde), Lugdunum ad Rhodanum (Lyon sur le Rhône); Lugdunum Clavatum (Laon), Lugdunum Convenarum (St Bertrand de Comminges); Luguvallium (Carlisle); Nemet-Lugos (Lugosch, en Hongrie); 

Lugi : Peuple celte de l' Ile de Bretagne; rive nord de l'embouchure du Loc'h Ness; l'étymologie de leur nom est discutée chez Rivet & Smith. Pour ma part, j'ai fait remarquer que les Lugi sont voisins des Smertae et des Decantae, qui semblent se référer à des épithètes du dieu de la Lumière : LUG.

  * Lugoni : nom de peuple du nord-ouest de la péninsule ibérique, cité par Ptolémée, II,6,32 : Lougonoi ( = Lougonoi) 

* Luguadici : apparemment nom de peuple ou de personnes, sur un inscription découverte près de Segovia, en Espagne. -ouest de la péninsule  CIL II,2732.

  Lunaris (Aurelius Lunaris) : breton, marchand de vin installé à Lindum / Lincoln et à Eburacum / York, qui a élevé un autel à Bordeaux en remerciement d'une traversée de la mer sans dommages. (cf. I.A Richmond; Roman Britain; p 172)

Lupus (Virius Lupus) : gouverneur romain de (G)Bretagne de 197 à 200 ou 202 après J-C; il a succédé à Albinus, et a été remplacé par M. Antius Crescens Calpurnianus.

François-Marie Luzel : écrivain breton du Trégor; fin XIXè siècle.

Lykeas (?), archonte d'Athènes en -257

Lykiskos, archontes d'Athènes : en -344; en -129

Famille Lyrot : Texte de Pol Potier de Courcy; Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even

LYROT ou LIROT (originaire d'Anjou), seigneurs de la Piltais et du Boisjoulain, en Anjou; du Chastellier, de la Rivière, de la Patouillière et de la Gibrais, par. de Saint-Sébastien; de Montigné, de la Jarrie, du Peele, par. de Brains.

Maint. par arrêts du conseil de l696 et du parl. de 1777; ext., dix gén.; montre de 1543, par. de Saint-Sébastien, év. de Nantes.

D'azur au lion d'argent / En glazur e leon en arc'hant

- Hervé, archer dans une montre reçue à Honfleur en 1416, prisonnier à la prise de cette ville, père de Jean, dont la maison sise au bourg d'Auverne fut anoblie et franchie en 1449

- Hervé, alloué de Nantes, conseiller aux Grands-jours en 1530, marié à Catherine Vivien;

- un procureur syndic de Nantes en 1623

- Guillaume-Jacques-François, conseiller au parlement en 1780

- un chef de division de la grande armée vendéenne, tué à la bataille de Savenay en 1793.

Lysades, archonte d'Athènes : en -241

Lysanias, archontes d'Athènes : en -466; en -443; en -235;

Lysiades, archonte d'Athènes en -152

Lysikrates, archonte d'Athènes en -453

Lysimachides, archontes d'Athènes : en -445; en -339

Lysimachos, archonte d'Athènes en -436

Lysitheides, archonte d'Athènes en -272

Lysistratos, archontes d'Athènes : en -467, en -369

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