Encyclopédie Marikavel-Jean-Claude-EVEN/Encyclopaedia/Enciclopedia/Enzyklopädie/egkuklopaideia
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pajenn bet digoret e 2002 | page ouverte en 2002 | Lien non actif |
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* forum du site Marikavel : Academia Celtica | dernière mise à jour 08/10/2024 11:46:47 |
Yves Cabellic
: évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, 1267,
à 1280; il a succédé à Guy de Plounévez, et a eu
pour successeur Even de la Forest.
|
Famille Cabon : Seigneurs de
Kerandraon, Gorréquer, Châteaurun, Kergunic, en Kernoues;
Kervéguen, Kerarret, Keralias, en Kersaint-Plabennec;
Mesormel; Lesmaïdic. "d'argent
à trois têtes de chapon (= coq) arrachées de gueules"
/ "en arc'hant e dri fenn kilhog (pe kabon) diframmet en gwad
(= en gul). 1696. (PPC)
- Des syndics, procureurs et notaires à Lesneven. - Un capitaine au régiment de Berry, fusillé à Quiberon en 1795 |
Famille Cabournais : Seigneurs dudit lieu en Cléden-Poher,
Bourgerel en Treffrin,
Quillien, en
Pleyben. "de
gueules, à trois mains d'argent en pal" / "en
gwad, e dri dorn en arc'hant peuliet". sceau /
siell 1395. références et montres de 1426 à 1536. (PPC)
- Pierre, sénéchal de Cornouailles, ratifie le traité de Guérande en 1381. |
Cabriabanus : apparemment un maçon ou un fabricant de tuiles, dont le nom est archéologiquement attesté à la villa de Plaxtol, dans le Kent. (cf . I.A Richmond, Roman Britain, p 168) |
Famille Cacault : "coupé; au 1 d'argent à la bande d'azur chargée de trois étoiles d'argent; au 2 d'azur au léopard d'argent, surmonté d'une croix endenchée d'or" / "trochet; ouzh 1 en arc'hant e sourin en glazur karget gant teir steredenn en arc'hant; ouzh 2 en glazur e leonparzh en arc'hant leinet gant ur groaz dentek en aour". Un secrétaire d'ambassade à Naples en 1785, depuis ambassadeur, sénateur en 1804. (PPC) |
Famille de Cacé : Seigneurs dudit lieu, en l'Hermitage : "de sable à trois fasces d'argent accompagnées de trois coquilles de même" / "en sabel e deir dreustell en arc'hant heuliet gant teir kregilhenn ivez en arc'hant". (PPC) |
Famille de Cacé : Seigneurs dudit lieu et de Marigné, en l'Hermitage : "d'argent à une merlette de gueules; au chef d'or chargé de trois croisettes de sable / "en arc'hant e voualc'henn en gwad (=gul), e gab en aour karget gant teir kroazigan en sabel" (PPC) |
Famille de Cadaran : Seigneurs dudit lieu et des Yonnières, en Saint-Mars-du-Désert, du Plessis-Tison en Saint-Donatien, da la Ferrière en Moisdon, de l'Epinay en Carqufou. "d'azur à trois cylindres d'or" / "en glazur e dri ruilhenn en aour" |
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Cadda : nom du grand-père du roi
du West-Saxons (Wessex, Hampshire, etc) Ceadwalla et de
son frère Mul. Référence : John Morris : The Age of Arthur; vol. 2 : The successor states, p313. JCE : Il est probable que Cadda soit l'éponyme de Cadbury < Cadda's Burgh = camp / forteresse de Cadda |
Famille Cadé : seigneur de Saint-Drénou. références et montres de 1427 à 1481, en Quemper-Guézennec. "d'argent à la croix anillée de sable" / "en arc'hant e groas branellek en sabel". (PPC) |
Famille Cadelac : seigneur dudit lieu; de la Jouberdière; de Chaufour; de la Motte-Bonnelaye; de la Hévrie; du Désert. "d'azur à la bande d'or, chargée de trois roses de gueules" / "en glazur e sourin en aour, karget gant teir rozenn en gwad". références et montres de 1423 à 1513, en Cadelac et Trébry, évêché de Saint-Brieuc. (PPC) |
Famille Cadet : seigneur de la Dieuzays et du Boisrolland, en Corseul; de Bellevue; du Bois-Tual. "d'or au pin de sinople, sommé d'un épervier de sable" / "en aour, e binenn geotet, leinet gant ur sparfell en sabel". débouté en 1669; ressort de Dinan. (PPC) |
Famille Cadier : seigneur de Kerinan, en Languedias. "de gueules à la fasce nouée d'argent chargée d'une merlette de gueules" / "en gwad, e dreustell skoulmet en arc'hant karget gant ur voualc'henn en gwad". références et montres de 1423 à 1535. (PPC) |
Famille Cadier : seigneur de Coatdoun en Plouguiel; de Penanguer; de Kerderien. "d'azur au massacre ou rencontre de cerf d'or" / "en glazur e bann-karv pe arbenn-karv en aour" . 1671. (GlB) (PPC) |
Famille Cadio : seigneur du Parc, de Limellec, en Brec'h; de la Ville-Jennay et de Languiniec, en Pluvigner; de Kerloguen et Kergoan, en Ploërmel. |
Cadioc : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 1231 à 1254. Il a succédé à Robert, et a eu pour successeur Guillaume de Quélen (non ordonné). |
Famille Cadiou : référencée en Ploumoguer et Plougar, de 1426 à 1441 |
Famille Cadiou : Seigneurs de la
Folletière, du Gage et du Buat, en Saint-Hélen. "porte
une fleur de lys florecée" / "dougen a ra ur
vlourdilizenn e giz Florentia" Couleurs non précisées; livioù disanvet |
Cado (saint) : |
Famille Cado ou Cadoc, Seigneurs de Caoterallen en Carnac; de Kerloyo en Saint-Goustan, en Auray; de Bothloré en Saint-Avé |
Famille Cadoré : seigneur du Hautfougeray et de la Fauvelière, en Bais; de Cérizay, en Domaigné; de Pérouse, en Rannée; de la Barre; de Belletouche. "d'azur à un ours bridé d'argent" "en glazur e arzh minellek en arc'hant" références et montres de 1427 à 1513 (PPC) |
Famille Cadoret : seigneur dudit lieu en Guégon; de l'Epineguen, en Ploufragan. "d'or à deux fasces de gueules à l'orle de merlettes de même" / "en aour e ziv dreustell en gwad, e c'hourem gant mouilc'hi ivez en gwad". références et montres de 1423 à 1513. (PPC) |
Famille Cadoret : seigneur de la Gobinière, en Orvault; du Mottay, en Saint-Père-en-Retz; de Préaudoré; de la Blotière. "de gueules à deux croissants d'argent en chef et une étoile d'or en pointe" / "en gwad e ziv greskenn en arc'hant ouzh kab, hag ur steredenn en aour ouzh beg". 1669. (PPC) |
Famille de Cadoudal : seigneur dudit lieu et de Kervéno, en Plumelec; des Salles, de Kermarker, en Guern. "d'argent à la croix engreslée de sable" / "en arc'hant e groas goñchek en sabel". références et montres de 1427 à 1536. (PPC) |
Famille Cadoudal / Cadudal : de Brec'h, évêché de Vannes, anobli en 1816. "d'azur au dextrochère armé d'or, tenant une épée d'argent montée d'or, et chargé d'un bouclier d'hermines, surchargé d'une fleur de lys d'or" / "en glazur, e vrec'h ouzh dehou en aour, o zerc'hel ur c'hleze en arc'hant dornellek en aour, ha karget gant ur skoed en erminoù dreist-karget gant ur vlourdilizenn en gwad". (PPC) |
Georges Cadoudal, lieutenant général nommé par Louis XVIII en 1800; exécuté en 1804; un maréchal de camp en 1825, décédé en 1852. |
Famille le Cadre : seigneur de Trémelgon, en Ambon; de Noué, en Arzal; de Lobo, en Caro. "de gueules à trois billettes d'or" / "en gwad e deir ganochenn en aour". (PPC) (GlB) |
Cadwaladr : nom de personne, basé sur les racines *cad- = combat, + * val- = fort, puissant, courageux, valeureux. |
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Cadwallon ap Einion Lawhur (aux bras longs) : fils d'Einion Gyrth. Il aurait régné sur le Gwynedd au début du VIè siècle, après son père, et aurait eu pour successeur Maelgwn ap Cadwallon. |
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Cadwallon ap Ieuaf : fils de Ieuaf ab Idwal. Roi de Gwynedd de 985 à 986. |
Cadwallon : chef breton, apposé à Edwin de Northumbria. Il triomphe de celui-ci à la bataille de Meigen, le Ier janvier 630. Edwin et ses deux fils sont tués dans la bataille. Cadwallon est tué lui-même, l'année suivante, lors de la bataille de Cantscaul (Denisburna, près d'Hexham). |
Famille Cady : originaire du Poitou. seigneur de Pradouais, en Mesquer. déboutés en 1668, ressort de Guérande. "d'azur à 2 lions affontés d'or; au chef d'argent, chargé de 2 merlettes de sable" / "en glazur e zaou leon penn-ouzh-penn en aour; e gab en arc'hant, karget gant div moualc'henn en sabel'. Armorial 1696. (PPC) |
Caelestis (Virgo Caelestis) : divinité d'origine syrienne, honorée à Carvoran. Elle porte aussi le nom de Dea Syria. Une poème métrique lui était attribué par le commandant de la forteresse. cf I.A Richmond; Roman Britain; p 205. |
Ronan Caerleon : pseudonyme de Ronan Caouissin |
Caesonia : épouse de l'empereur Caligula; elle est assassinée en même temps que lui et leur fille dans une galerie des arènes de Rome, alors qu'ils assistaient à un spectacle. |
Famille Caffarelli
: originaire du Languedoc. seigneur du Falga. "parti;
au 1 : d'argent au lion de sable; au 2 : coupé, le
premier taillé d'argent et de gueules, le second
tranché d'argent et de gueules; au chef cousu d'or sur
les deux partis" / "rannet; ouzh 1 en arc'hant
e leon en sabel; ouzh 2, troc'het, ar c'hentañ benet
etre arc'hant ha gwad, an eil skejet etre arc'hant ha
gwad; e gab gwriet en aour war an div lodenn". (PPC)
- Caffarelli : évêque de Saint-Brieuc en 1802 |
Famille Cahideuc : "de gueules, à trois têtes de léopards d'or / en gwad e dri penn leonparzh en aour" |
Chairephon, archonte d'Athènes en -219 |
Famille de Caignart : "de gueules, au lion d'argent / en gwad e leon en arc'hant" |
* Caledones / Calidonii : Peuple 'celte' ou 'celtisé' de l'Ile de Bretagne, dans les parages du Loc'h Ness / Canal Calédonien. |
Caletes
: Peuple celte de Gaule
belgique, au nord de la Seine, sur la Manche. Ont pour
voisins les Catuslogi, les Bellovaques, les Velliocasses.
César, BG, VII.75.1 : Caletes Pline, H, IV.18 : Galetos Ptolémée, II.8.5 : Kaletai Étymologie : du celtique *Kalet- = fort, solide, résistant, ... Capitale romaine : Juliobonna / Lillebonne. Ports principaux : Villes intérieures : Ouvrage de référence : Robert SOULIGNAC : Les Calètes dans la région de Fécamp. Éditions E.N.TM. Fécamp. 1980. voir aussi : Ancalites; Caledones / Caledonii; |
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Caligula (Caius Iulius
Caesar, empereur Caius Caesar Augustus
Germanicus) : fils
de Germanicus et d'Agrippina; né à Antium le 31
août 0012 avant J-C. Son surnom de Caligula lui vient du diminutif de caliga, soulier militaire. Caligula est proclamé auguste le 16 mars 0037, à l'âge de 25 ans. En 0040, pour répondre à l'appel du prince breton Adminios qui vient d'être déshérité par son père Cunobelinos; il groupe une armée à Portus Itius / Boulogne sur Mer afin de préparer une traversée et un assaut, mais se ravise, fait tirer quelques jets de catapulte dans la mer, et récupère quelques coquillages en prétendant avoir "conquis l'Océan" ! Caligula est assassiné par ses propres gardes, en même temps que sa femme Caesonia et leur fille, dans une galerie des arènes de Rome, le 24 janvier 0041. |
* Callirius : épithète attribué au dieu Sylvanus (cf I.A Richmond, Roman Britain, p 194) |
Jean-Pierre Calloc'h : barde breton, au pseudonyme Bleimor : Loup de mer |
Famille Calloët : Texte de Pol Potier de Courcy;
adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even
CALLOËT; seigneurs de Lanidy ar de Plouigneau; de Kerahel, par. de Botsorhel; de Kerbrat, par. de Servel; de Kerven; de Portzcadiou; de Trégomar, par. de ce nom; de Toulbrunoët, par. de Merléac; de Kerangouarec; de Lostanvern; de Kerastang; de Trofor; de Keriavily, par. de Plouaret; du Faouët; de Kermaria, par. de Plouha; du Lou, par. de Dolo; de Lizandré, par. de Plouha, de Talarun, par. de Guimaëc. Anc. ext. réf. 1660, huit gén., réf. et montres de 1427 à 1543, par. de Plouigneau, Guimaéc et Plésidy, év. de Tréguier. D’or à la fasce d’azur, surmontée d’une merlette de méme En aour e dreustell en glazur, leinet gant ur voualc'henn ivez en glazur
- Yves, épouse vers 1420 Marguerite de Kerlosquet; - Pierre, conseiller du duc Jean V, puis secrétaire du roi Charles VII en 1450; - Jean, évêque de Tréguier en 1502, conseiller aux Grands-Jours de Bretagne en 1495; décédé en 1504; - Trois avocats généraux aux comptes depuis 1621, dont l'un conseiller d'État en 1617; - un président de la noblesse de Tréguier qu'il commandait lors de la défaite des Anglais à Camaret en 1694. Famille éteinte. |
Jean Calloëet : évêque de Tréguier, de 1502 à 1504; conseiller aux Grands-Jours de Bretagne en 1495; |
Famille Calon : Seigneurs de la Villejames, de la
Porte, de Luzidic, du Buy-Bourichet et de Kerhillier, en Guérande;
de Meslay, de la Plesse
Référencé en 1513, par. de Saint-Guénolé-de-Batz, év. de Nantes "d'argent à une moucheture d'hermine, accompagnée de trois cailloux de gueules" "en arc'hant e vrizhenn erminig, heuliet gant tri maen en gwad" - Guillaume, vice-amiral de Bretagne en 1488; - François, conseiller aux Grands-Jours de Bretagne en 1540, président à mortier en 1556 |
Calpurnius (Marcus Antius Crescens Calpurnius) : agissant comme gouverneur romain de (G)Bretagne, vers 202 après J-C. |
Calpurnius / Calpornius : père de St Patrick; il tenait en sa ville une fonction de doyen (deacon).; son père s'appelait Potitus. |
Cambise : roi des Perses de -530 à 522 (après Cyrus, avant Dariusà |
Famille
du Cambout
:
CAMBOUT (DU), sr. dudit lieu et de Chef-du-Rost, par. de Plumieux; baron de Pontchâteau et de la Roche-Bernard; marquis puis duc de Coislin, par. de Cambon et pair de France en 1663; vicomte de Carheil en 1685, par. de Plessé; sr de Beçay, en Poitou; de la Vieux-Ville; de la Houssaye; de Vauriou; de Mérionnec, par. d'Escoublac; de Crécy; de Valleron; du Plessix, par. de Saint-Dolay; de Brignan par. de Pontchâteau; de la Bretesche, par. de Missillac, de la Sauvagère, par. de Nivillac; de Beaumanoir, par. de Vieux-bourg; de la Moquelays, par. de Maroué. Anc. ext. chev., arrêt du parl. de 1770, quinze gén., réf. et montres de 1469 a 1535, par. de Plumieux, év. de Saint-Brieuc. "de gueules, à trois fasces échiquetées d'argent et d'azur de deux traits' "de gueules, e deir dreustell gwezboellek en arc'hant hag e glazur, a ziv derenn" Devise / Sturienn : Jamais en vain. - Alain, sire du Cambout, fils Gilles, épouse en 1271 Jeanne Bedou dont : -- Gilbert, marié avant 1347 à Marguerite de Goyon-Matignon, père --- 1° de Jean, tué à la bataille d'Auray en 1364; --- 2° d'Alain, marié à Jeanne Tournemine qui ont continué la filiation. - René, grand veneur et grand maître des Eaux et Forêts de Bretagne en 1556; décédé en 1577. - François, grand veneur de Bretagne en 1577; décédé en 1625. Cette maison a produit des chevaliers bannerets, des échansons, grands veneurs et grands maîtres des eaux et forêts de Bretagne; des capitaines de cinquante et cent hommes d'armes des ordonnances du Roi; plusieurs chevaliers de Malte depuis 1584; des chevaliers des ordres du Roi; trois abbés de Saint-Gildas-des-Bois depuis 1608, dont le dernier, évêque d'Orléans, puis cardinal et grand aumônier de France, décédé en 1706; un évêque de Tarbes, décédé en 1729; un abbé de Geneston, de la Vieuville et de la Villeneuve, décédé en 1690; deux lieutenants-généraux des armées du Roi en 1641 et 1668; une abbesse de Nidoiseau au diocèse d'Angers en 1695; un évêque de Metz, dernier duc de Coislin, décédé en 1732, en qui s'est éteinte la branche aînée. La terre du Cambout passa au dernier siècle aux princes de Lambesq de la maison de Lorraine qui la revendirent en 1744 à une branche cadette du Cambout, dont deux membres admis aux honneurs de la Cour en 1751, deux maréchaux de camp en 1770 et 1816, et un pair de France en 1823, décédé en 1837. Cette dernière branche s'est éteinte en 1873. |
* Campesium (Mars Medocius Campesium) : semble être une appellation du dieu Mars importée à Colchester par un Calédonien. cf. I.A Richmond, Roman Britain, p 194. |
* Campestres : divinités féminines protectrices de la cavalerie; honorées à Condercum / Benwell. |
Famille Campion de Porzlazou : "de sinople, au sautoir d'argent, accompagné de trois alérions d'or / geotet, e lammell en arc'hant, heuliet gant tri erezan en aour" |
Camulos : nom celtique du
dieu de la Guerre, entrant en combinaisons de noms de
personnes : - Andecamulos (Gaule); - Camala (Espagne); - Camalus (Espagne); - Camulogenus (Gaule); - Deo Marti Camulo : inscription sur un autel provenant de Bar Hill (Dunbarton) |
Camus (Jean) : fondateur de l'un des premiers bagadoù de Brest. Décédé de mort subite en cette ville le 27 août 1968. (cf Al Liamm, n° 129/1968, p 285) |
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Caninus (Aurelius Caninus) : "roi" d'un pays de l'Ile de Bretagne romaine. Il fait l'objet d'une sérieuse admonestation de la part de Saint Gildas, qui l'accuse de parricides, fornications, d'adultères. Compte tenu du fait que les admonestations de St Gildas s'adressent à plusieurs rois, dont Maelgwn, roi de Gwynedd, il s'avère que ce texte est antérieur, ou concomitant de 547, date de la mort de Maelgwn. Le personnage Aurelius Caninus semble être à identifier à Condidanus, l'un des trois rois bretons tués et anéantis à Deorham, en 577. Son "royaume'" semble correspondre à la basse vallée de la rivière Sabrina / Sévern (Glevum / Cair Gloui / Gloucester, Corinium / Cair Ceri / Cirencester, Aquae Sulis / Bath). |
Cantabres (Cantabri) : peuple du nord de l'Espagne, entre les Astures et les Allotrigues. Ils ont donné leur nom à la région cantabrique. |
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Cantiaci (Cantii) : peuple celtique de l'extrémité sud-est de l'Ile de Bretagne; il a donné son nom à l'actuel comté de Kent. |
Caouissin Herri : né à Pleyber-Christ
au mois de Mai 1913; Journaliste à Paris pour le compte des publications catholiques Curs Vaillants, Pierrot, Lisette, l'Intrépide. Dès 1932 il est secrétaire pour le compte de Jean-Marie Perrot, fondateur du Bleun-Brug. En 1934, il lance la production d'une bande dessinée Feiz ha Breiz evit ar Bugale. Secrétaire général du Bleun-Brug de 1934 à 1948. Fondateur en 1939, avec son frère Ronan, de la revue Olole. Créateur, en 1952, d'une production cinématographique (éphémère) : Brittia Films. Herri Caoussin est décédé à ***, le 12 Février 2003. Il a été inhumé à *** |
Ronan Caouissin : né à ***;
décédé à **** sous le pseudonyme Ronan Caerleon. |
Capitolinus (Iupiter Capitolinus) : surnom de Jupiter, honoré à Rome, au Capitole. |
Caracalla : voir Empereurs |
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Louis-René de Caradeuc de la Chalotais : né à Rennes le 6 mars 1701; décédé à
Rennes en 1785. Magistrat; Procureur général du roi de France au Parlement de Bretagne. Il se fait remarquer par son hostilité aux jésuites. Hostile au duc d'Aiguillon, il est arrêté en novembre 1765, et enfermé au château du Taureau, près de Morlaix, puis à Saint-Malo, puis exilé à Saintes en 1765. Libéré par louis XVI en 1774, avec rétablissement de sa charge. Il a laissé plusieurs ouvrages : - Constitutions des Jésuites. - Essai d'éducation nationale. 1763. - Mémoires. 1767. |
Caratac- os/us; en breton : Karadeg.
: nom porté par plusieurs personnages historiques de
Bretagne. Étymologie : Caratac- signifie : Le Bien Aimé. |
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Caradoc / Coroticus / Coriticus / Ceredic. Fils de Cunobelinos; frère d'Adminios et de Togodumnos Prince des Catuvellauni et Trinobantes. Chef de la résistance bretonne à l'empire romain, à l'époque de l'empereur Claude. |
Caradoc : moine de Llancarvan, au Pays de Galles; milieu 12è siècle; auteur d'une Vie de St Gildas. |
Famille de Caradreux : "d'argent, à trois léopards d'azur / en arc'hant, e zri leonparh e glazur" |
Famille Carantez : "de gueules, à trois éperviers d'argent / en gwad, e zri sparfell en arc'hant" |
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Carausius : voir Empereurs.>>> |
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Carausius II : usurpateur éphémère en Ile de Bretagne. cf I.A Richmond; Roman Britain; p 183. |
Carchedon : nom grec de Carthage |
Famille de Cargouët : "d'argent, à trois fleurs de lys de gueules / en arc'hant, e deir flourdilizenn en gwad" |
Famille de Carion : "de gueules, à la main dextre d'argent, soutenue de six ondes de sinople en pointe / en gwad, e zorn dehou en arc'hant, harpet gant c'hwec'h gwagenn geotet" |
Famille de Cariou : "d'azur à trois molettes d'or / e glazur, e deir rodig-kentr en aour" |
Famille
de Carné
: Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et
traductions bretonnes par J.-C. Even
CARNE (DE), sr dudit lieu, par. de Noyal-Muziliac, — de la Touche et de la Salle, par. de Sérent, — de Marzen, par. d'Assérac, — de Kerdaniel, par. de Lauzach, — vicomte de Trouzilit, par. de Plouguin, sr de Keriar, par. de Plourin, — vicomte de Coétquénan, par. de Plouguerneau, — sr de Crémeur et de Liniac, par. de Saint-Aubin de Guérande, — de Bléhéban et de Trévy, par. de Caden, — de Cohignac, par. de Berric — de Blaison, — de Trécesson, par. de Campénéac, — de Rosampoul et du Garspern, par. de Plougonven, — de Coëtcanton, par. de Melguen, — vicomte de Trévalot, par. de Scaër — sr de Castellan, par. de Saint-Martin-sur-Oust, — de Pratanros, par. de Penhars, — de Kerliver, par d'Hanvec, — de Kerdineau, — du Plessix-Mareil, par. de Saint-Viaud; — vicomte de Marcein, par. de Saint-Nazaire, — sr de la Jonchais, par. de Donges, — de la Haultiére, par. de Chantenay, — de la Rigaudiére, par. d'Ancenis, — de la Roche, par. de Mésanger, — de Carnavalet. Anc. ext. chev., réf. 1669, quatorze gén., réf et montres de 1427 à 1536, par. de Noyal, Sérent et Caden, év. de Vannes, Saint-Aubin de Guérande et Assérac, év. de Nantes.
Devise / Sturienn : Plutôt rompre que plier / Kentoc'h terriñ eget plegañ. Cette maison alliée a celles de Penhoët, Goulaine, Rohan, Rieux, etc., remonte à Alain, qui fit une fondation à la chapelle Sainte-Philippe de Vannes en 1203; - Olivier, fils du président (précédent ?), croisé en 1248 (cab. Courtois); - Guillaume, vivant en 1350, épouse Marie, dame de Bléhéban; - Péan, petit-fils du précédent, vivant en 1412 laissa de son mariage avec Raoulette de Mello : -- 1° Rolland qui a continue la foliation; -- 2° Eon, époux de Jeanne, dame de Trécesson, dont les descendants ont pris les noms et armes de Trécesson en 1494. - Jean, maître des comptes en 1402; - Sylvestre, chevalier du Porc-Épic en 1448 et de l'Hermine en 1454; - Jean, abbé de Villeneuve, décédé en 1456; - Tristan, maître d'hôtel héréditaire de la reine Anne, décédé en 1535; - Marc son fils, lieutenant de Roi en Basse-Bretagne, capitaine de Brest et
Guérande, chambellan et gentilhomme ordinaire du roi François Ier, nommé par Henri
II grand veneur, grand maître et réformateur général des eaux - neuf chevaliers de l'ordre depuis 1568; - Guillaume, prévôt de Vertou en 1532; - Catherine, abbesse de le Joie en 1580; - Jérôme, vice-amiral de Bretagne, décédé en 1580; - des gouverneurs de Brest, Morlaix et Quimper, de 1566 à 1632; - un membre de l'académie française, décédé en 1870. |
Famille du Cellier : Texte de Pol Potier de
Courcy; adaptations mineures et
traductions bretonnes par J.-C. Even
CELLIER (DU), sr dudit lieu et de la Ferrière, par. du Cellier, de Beauchesne et du Pastiz, ar. de Noyal-sur-Vilaine; du Crévy, par. de Pontchâteau; de la Roche, par. de Guenroc; de Beau-Jardin, de la Souchais, par. de Saint-Aubin-des-Châteaux; de la Cosnelais; de la Roberdais; de la Hunaudais, par. de Mauves. Anc. ext. réf. 1668, 0 (?) gén., réf. et montres de 1427 à 1544, par. du Cellier et Oudon, év. Nantes, Noyal, év. de Rennes et Guenroc, év. de Saint-Malo. De gueules à la fasce de vair, accompagnée de trois quintefeuilles d’argent En gwad e dreustell brizhet, heuliet gant teir fempdiliaouenn en arc'hant - André, envoyé, par le duc contre Josselin de Rohan, évêque de Saint-Malo en 1382; - Jean, chancelier de Bretagne en 1457, président aux comptes de Bretagne et sénéchal de Rennes en 1458. Famille éteinte. |
Charias, archonte d'Athènes en -415 |
Charinos, archonte d'Athènes en -291 |
Charisandros, archonte d'Athènes, en -376 |
Caritani : nom de peuple gaulois cité par Ptolémée, Karitanoi, et localisé dans les Agri Decumates / Champs décumates. Une proposition a été faite par Rivet & Smith, Place-Names of Roman Britain, envisageant que ce peuple pourrait être la racine mère des Coritani de Grande-Bretagne. |
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Carloman : frère de Charlemagne, mort en 771, |
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Carloman : un fils de Louis II le Bègue, roi des Francs de 879 à 884 |
Famille Carluer de Villeneuve : "écartelé de gueules et d'or / palefarzhet etre gwad hag aour" |
Carmenta : déesse romaine des sources, puis de la prédiction |
Carnutes
: tribu gauloise, située entre la
Loire et la Seine.; capitale Chartres. Étymologie : - Caesar : - Pline; Histoire; IV-18 : Carnuteni. |
Famille Carpont : "d'argent, à la fasce d'azur, chargée d'un cerf passant d'or / en arc'hant, e dreustell e glazur, karget gant (e)ur c'harv en aour" |
Carthage (lat : Carthago;
grec : Carchedon) : ville d'origine
phénicienne en Afrique du nord. Ancienne capitale punique ( = phénicienne), rivale traditionnelle de la Rome républicaine. Anéantie en 146 avant J-C. Réorganisée dans le cadre de l'empire romain, elle tient le rôle de capitale de la province d'Afrique. |
Carthagena : Carthagène, en Espagne. |
Francois LE CAT : surnommé la Volonté; chef chouan agissant dans le secteur de Langonnet, en Bretagne. |
Catherine de Luxembourg : fille de Pierre Ier de Luxembourg et e Marguerite des Baux; troisième épouse d'Arthur de Richemont, duc de Bretagne en 1456 |
Cartimandua : reine des Brigantes. Alliée objective des Romains, ou simplement prudente afin d'éviter des guerres, elle leur livre en 51 le roi breton Caratacos qui, défait militairement, lui avait demandé refuge. Son inconstance matrimoniale, aux détriments de son époux Venutius au profit de son amant Vellocatus, provoque des conflits entre Romaine et Brigantes, qui conduisent à la prise de possession par les romains de la cité, en 76, et à la création de la forteresse d'Eburacum / York. |
Carvetii : peuple celte de l'Ile de Bretagne; semble être un démembrement des Brigantes; capitale Luguvalium / Carlisle. |
*Cass- : racine celtique, que l'on retrouve sous les formes *cassi- en britonnique, *casses en gaulois; elle est elle-même issue d'un ancien celtique *cad-ti, signifiant : " excellent, fin, gracieux, etc." Elle entre en composition dans des noms de tribus celtiques comme : Cassi, Bodiocasses, Viducasses, etc. (cf Rivet & Smith, Place-names of Roman Britain, p 302). |
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Cassi : nom de tribu bretonne du sud-est de l'Île
de Bretagne, citée uniquement par Jules César, BG,
V,21,1. * Rivet & Smith, p. 302 : - SOURCE : Caesar BG V, 21, I : Cassi. DERIVATION. The name is older Celtic *cad-ti 'excelling, surpassing; fine, hand-some' (Irish cais 'clean, smart', etc.); hence as a tribal name 'excellent ones, fine ones'. The root is found in many personal names such as Cassius, Cassinus, and compounded in Cassivellaunus ('surpassing good' or 'handsomely good'); also in ethnic names Bodiocasses, Cassignates, Tricasses, for which see RC, XL (1923), 172. There were also dii Casses, with a cuit in the Rhineland. For the contrast in declension between British Cassi and Gaulish -casses, see Atrebates. IDENTIFICATION. A British tribe mentioned only by Caesar; presumably they were located in south-eastern Britain and were later absorbed by a larger confédération. Attempts to relate them to the hundred of Cashio, Hertfordshire, are misguided (Ekwall, EPN, s.v. Cassiobury). >>> R & M pensent qu'il n'y a pas lieu de chercher à rattacher ce nom à celui du hundred (cent foyers) de Cashio (Cassiobury ?), en Hertfordhire. |
Cassius : l'un des assassins de Jules César. |
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Cassivellaunos
: roi breton des Catuvellauni à l'époque de Jules césar. Il avait
soumis une grande partie des peuples du sud-est de l'Ile,
en particulier les Trinobantes. C'est lui qui s'est
opposé aux débarquements de Jules César, en 55 et 54
avant J.C. Battu en 54, après avoir fait preuve d'une
réelle compétence stratégique face à un ennemi plus
nombreux et mieux équipé, et après la prise de Camulodunum
/ Colchester, il accepte de se soumettre à son vainqueur.
Les historiens s'accordent sur le fait qu'il s'est agi d'une
soumission plus théorique que véritable puisque, dès
que César s'en est retourné en Gaules, les Catuvellauni ont rétabli aussitôt leur main mise
sur les Trinobantes. Son nom en breton moderne serait probablement proche de : *Kawalon, ou *Kawalen. |
Famille Castel de Landval : "coupé d'hermine et de gueules, au lion armé d'or de l'un dans l'autre / troc'het en erminig hag en gwad, e leon krabanet en aour, an eil e-barzh egile" |
Catherine : baronne de Vitré. Fille de Guy, vicomte de Thouars et de Constance, duchesse de Bretagne |
Catuslogi
: peuple celte de la Gaule
belgique, stationné de part et d'autre la rivière
Bresle (Phroudis). Capitale : Augusta ? (Oust-marais),
près d'Eu / Le Tréport. Ce peuple fait l'objet d'une page spécifique dans le cadre de l' étude : Genèse de la Bretagne armoricaine. |
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Catuvellauni
: peuple celte de la
vague belge en Ile de Bretagne. Sa capitale est *Verulamn-ium
= Saint Alban's, au nord ouest de Londres. Les Catuvellauni sont le peuple dominant du sud-est de l'Ile de Bretagne à la fin du premier millénaire avant J.C ( vers - 200). Ils ont sous leur domination plusieurs peuples du sud-est de l'Ile, en particulier les Trinobantes. C'est contre leur roi Cassivellaunos que Jules César a mené ses campagnes de 55 et 54 avant J-C. C'est leur désir de s'imposer aussi aux Atrebates britanniques qui a provoqué la guerre contre l'empire romain, en 43 après J-C, sous l'empereur Claude, et la destruction de l'empire catuvellaunien. (voir article supra consacré à Caratacus) La capitale, Verulamnium, a été détruite par le feu et le sang lors de la grande révolte menée par Boudicca, la reine des des Iceni. |
Cau : considéré comme roi (Ri) du Strathclyde, en Écosse (cf. Vie de St Gildas, par Caradoc de Llancarvan; Ch. Kerboul-Vilhon). |
Cauci : Peuple celte d' Hibernie, |
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Caunus : nom du père de St Gildas; il exerçait une fonction catholique de haut rang. On lui connaît quatre autres fils : Cuillus, Mailocus, Egreas, Alleccus, et une fille : Peteova. |
Famille de Caurel : "d'argent, à la bande de fusées de gueules / en arc'hant, e sourin gwerzhidennet en gwad" |
Cavares : peuple de la Gaule méridionale, riverain de la Méditerranée et du Rhône. Ce peuple possédait entre autres les villes d'Avenio / Avignon, Arausio / Orange, Arelate / Arles, Cabellio / Cavaillon. Ils furent englobés successivement dans les provinces Narbonnaise, puis Viennaise. |
Cavarinus : provisoire. *** B.G (voir Accon) |
Cazotte : assassiné le 2 septembre 1792 en la prison de l'Abbaye, à Paris |
*Ceasair : nom donné par le Livre des Conquêtes à une vague celtique en Irlande. |
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Ceawlin : fils du roi saxon du Wessex Cynric; en compagnie de son père, il écrase les Britto-romains à Beranburh en 556; il succède à son père au royaume de Wessex en 560; en 568, secondé par Cutha, il refoule le roi du Kent Aethelbert, et exécute deux princes (?) Oslaf / Oslac et Cnebba, à Wibbandun; en 577, cette fois-ci avec Cuthwine, il écrase les Bretons à Deorham; trois rois bretons trouvent la mort dans cet engagement : Coinmail, Condidanus, Farinmail avec; les deux chefs saxons victorieux s'emparent de Gloucester, Cirencester, et de Bath. en 584, avec Cutha, il bat les Bretons à Fethanleag; Cutha est tué dans la bataille; en 592, Ceawlin subit un grave revers contre ??? au lieu-dit Adam's Grave, sur le territoire d'Alton Priors, dans le Wessex; Ceawlin décède en 593. |
Ceinwen : réponse de Peter Williams, sur le forum Celticinfo.com : "Ceinwen means beautiful blessed. I don't know about past lives but the original Ceinwen was the daughter of Brychan Brycheiniog. She is a Welsh saint who founded a church in Anglesey in the 5th century. At that time, the Kingdom of Strathclyde, in Scotland, was British, that is Welsh speaking. (before the invasion of the Scotti, from Ireland, who brought their own saints and the Gaelic tongue to Scotland)." traduction française par JC Even : "Ceinwen signifie beauté sacrée. J'ignore à partir de quelle vie mais la Ceinwen d'origine était la fille de Brychan Brycheiniog. Il s'agit d'une saint galloise qui a fondé une église en Anglesey au Rè siècle. A cette époque, le royaume de Strathclyde, en Écosse, était breton, c'est à dire parlant gallois (avant l'invasion des Scotti, venant d'Irlande, qui importèrent leurs propres saints et la langue gaélique en Écosse". |
Ceiriog : |
Célestin Ier : pape du 10 septembre 422 au 27 juillet 432. Il nomma Palladius évêque d'Irlande en 431; mais celui-ci étant décédé dans l'année, il nomma à sa suite, en accord avec l'évêque Germain d'Auxerre, le Britto-romain Patricius / Patrick, en 432. |
Celtibères : Strabon. Géographie. Éditions Belles Lettres. III,4,13 : Les Celtibères sont divisés en quatre peuplades La plus puissante, celle des Arvaques, est installée surtout dans l'est et dans le sud. Elle touche aux Carpétans et aux sources du Tage. Sa ville la plus renommée est Numance, dont les habitants prouvèrent leur vaillance aux cours de la guerre de vingt ans qui opposa les Celtibères aux romains. Les Numantins parvinrent, en effet, à anéantir plusieurs armées avec leurs chefs. Mais finalement, assiégés dans leur ville, ils y résistèrent jusqu'à la dernière extrémité, n'exceptant de la mort que le petit nombre des leurs qui eurent à rendre la place à l'ennemi. A l'est aussi résident les Lusones, qui touchent également aux sources du tage. Les Arvaques ont encore les villes de Ségéda et Pallantia. Numance est à quelque 800 stades (148 km) de Caesaraugusta (Saragosse), dont nous avons dit qu'elle est bâtie au bord de l'Èbre. Appartiennent encore aux Celtibères les ville de Ségobriga et de Bilbilis, près desquelles se battirent Metellus et Sertorius. Polybe, énumérant les peuples et les localités des Vaccéaens et des Celtibères, ajoute aux villes déjà nommées Segesama et Intercatia. Posidonius, de son côté, rapporte que Marcus Marcellus perçut un tribut de 600 talents en Celtibérie, ce qui prouve que les Celtibères étaient nombreux et riches, bien qu'ils habitassent une contre plutôt misérable. Il s'amuse cependant de Polybe chiffrant à trois cent les villes détruites chez eux par Tiberius Gracchus et lui reproche d'avoir voulu flatter celui-ci en appelant villes de simples camps fortifiés, comme on le fait dans les défilés du triomphe. Sans doute a-t-il raison d'adopter cette attitude car les généraux et les historiens se laissent facilement aller à farder la vérité e,n embellissant les faits, et je suis d'autant plus porté à le croire que ceux qui prétendent compter plus de mille villes chez les Ibères me paraissent effectivement arriver à c chiffre en donnant le nom de villes à de grands villages. Et en effet, ni les ressources naturelles du pays, misérable, reculé et inhospitalier comme il l'est, ne permettent d'y multiplier les villes, ne le genre de vie et l'activité de ses habitants, mis à part ceux du littoral de notre mer, ne suggèrent quoi que ce soit de pareil. Ceux qui vivent dans les villages sont sauvages - or la majorité des Ibères est dans ce cas - et les villes mêmes ne peuvent que difficilement contribuer à l'adoucissement des moeurs quand la majeure partie de la population continue à résider dans les forêts au plus grand détriment du voisinage. III,4;14 : Après les Celtibères viennent au sud les Sédétans ... |
Celtes : Sources étymologiques : - Jules César, BG, *** : Celtae, arum : habitants de la Gaule centrale; équivalent pour Gaulois. |
Celtici : peuple d'origine celtique, comme son nom l'indique; on en trouve des démembrements dans le nord de la Galice, entre les Artabriens et les Asturiens, et dans le sud du Portugal (sud du Tage) |
Cenimagni
: nom de peuple breton (GB) cité
par Jules César, BG V,21,1 : CENIMAGNI. - Rivet & Smith, The Place-Names of Roman Britain, p 306, les identifient aux Iceni / Icéniens. (voir ces noms). |
Cenred : Roi de Northumbrie de 716 à 718. Il serait membre de la branche des Leodwaldings, issus d'Ida de Bernicie par son fils Ocg. Il a succédé à Osred Ier et a eu pour successeur Osric |
Censitores : officiers romains payant le census. |
Ceol / Ceolric : ??? (ASC, année 591) |
Ceolwulf : Frère de Cenred. Roi de Northumbrie de 729 à 737. Il a succédé à Osric et a eu pour successeur Eadberht. Abdiqué pour se faire moine, il décède en 764. Il a été canonisé. |
Ceolwulf : fils de Cutha, il devient roi
saxon du Wessex à partir de 597; il fait la guerre aussi
bien aux Angles, qu'aux Bretons, qu'aux Pictes, qu'aux
Scots; en 607, il attaque les South-Saxons; Généalogie de Ceolwulf, selon ASC/Parker, année 552: Woden > Baeldaeg > Brand > Frithugar > Freawine > Wig > Gewis > Esla > Elesa > Cerdic > Cynric > Cutha > Ceolwulf. |
Cerdic : fils du roi saxon Elesa, Cerdic débarque en Ile de Bretagne en compagnie de son fils Cynric et de leurs hommes en 495; le lieu de débarquement est situé à Cerdicesford; en 508, Cerdic tue un roi breton du nom de Nathanleod et cinq mille des hommes de celui-ci; le lieu de la bataille s'appelait à l'origine Natanleag; il est devenu par la suite Cerdicesford, en l'honneur du vainqueur; en 519, Cerdic s'empare d'un territoire qui correspond aujourd'hui au Wessex < West-saxons, c'est-à-dire sur le pays de Winchester; en 527, il écrase à nouveau les Britto-romains à Cerdicesleag; en 530, il s'empare de l'île de Wight (Vectis) en y faisant un grand massacre; Cerdic est décédé en 534, laissant le royaume saxon de Bretagne à son fils Cynric. |
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Ceredic, Caradoc.
Coriticus :
cinquième fils de Cunedda; il est l'éponyme du nom de
pays de Cardigan : Cardiganshire < Ceredigion. (Les fils de Cunedda : Tybion, Osmael, Rumanus, Dunawd, Ceredig, Aflog, Einion Girth, Dogfael, Edern) |
Cérès : déesse grecque des blés et des moissons (son nom est à l'origine de celui des céréales); fille de Saturne et de Cybèle. |
Ceretani : peuple d'Hispanie, en Tarraconaise, entre les Indigetes et les Jaccetani. Ils sont séparés des Sardones de Gaule par les Pyrénées. Ils ont donné leur nom à la Cerdagne. |
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Cerialis (Quintus
Petilius Cerialis)
: il commande la Legio IX
Hispania, dans l'armée d'Aulus Plautius, entre 57 et
61, contre le sanctuaire druidique d'Anglesey et lors de
la guerre de Boudicca, dite aussi guerre des Icéniens.
Dès le début de cette guerre, sa légion est en grande
partie détruite en voulant, à partir de sa base de
Lindum / Lincoln, porter secours à Londinium
/ Londres assiégée et attaquée. Cerialis oeuvre pour
que l'armée de Bretagne rejoigne le camp de Vespasien
après la victoire de celui-ci, à Crémone, sur
Vitellius. En 70, après sa victoire et son accession au
trône impérial, Vespasien confie alors à Petilius
Cerialis le commandement en chef de l'armée romaine de
Bretagne. Pour mettre fin à la sédition des armées de
Germanie, animée par Civilis et Classicus, Petilius
Cerialis s'empare alors de Trèves et de Mayence, les
deux villes insoumises. Il est nommé ensuite gouverneur
de Bretagne, en 71. Il mène alors la guerre de conquête
sur le territoires des Brigantes et contre leur chef
Venutius. Il est secondé par le général Agricola.
Cette guerre semble avoir été narrée dans l'Histoire
écrite par Tacite, mais dont les chapitres ont disparu.
En 74, Petilius Cerialis installe son armée à Eburacum
/ York. Vainqueur, il est remplacé cette même année 74
au gouvernement de la Bretagne par Sextius Julius
Frontinus. Petilius Cerialis était le gendre de Vespasien. Tacite en a brossé le portrait d'un homme compétent, mais vif et fougueux. |
Cerma : nom donné par Ravenna, 108-2, forme corrompue pour le nom de peuple CAERENI. |
Cermium : nom donné par Ravenna, 108-11 forme corrompue pour le nom de peuple CAERENI. |
Césair : nom donné de façon hypothétique à une vague de peuplement celte d'Irlande. Voir le Livre des conquêtes. |
Cursus : préteur en 61; gouverneur des Gaules pour cinq ans à partir de 58; conquérant des Gaules de 58 à 52 avant J.C; dictateur à partir de 49; dictateur perpétuel à partir de 45; Le militaire : Divus Iulius : sa Personne Sacrée était fêtée à Rome le 12 juillet; son prénom a été placé au calendrier officiel de l'Etat, au rang des dieux fondateurs; c'est ainsi que le Quintilis, cinquième mois de l'année originelle, a été remplacé par Julius > Juillet. Il a laissé : De Bello Gallico (Commentaires sur la Guerre des Gaules); De Bello Civili (la Guerre Civile); Jules César a été assassiné à Rome le jour des Ides de mars (15 mars) 44 avant J.C. |
césar : titre du vice-empereur romain. page annexe en construction |
Cetomerinus : évêque de Léon, en Petite Bretagne. Successeur au deuxième apostolat de saint Pol Aurélien. Son successeur sera St Goulven. |
Famille du Chaffault : "de sinople, au lion d'or armé, lampassé, et couronné d'or / geotet, e leon en aour, krabanet, teodet, ha kurunet en gwad" |
Chaillou : avocat au parlement de Bretagne; continuateur de Duparc-Poullain, et auteur d'un ouvrage intitulé : "Des Commissions extraordinaires en matière criminelle", publié lors du procès de La Chalotais, est mort à Saint-Jean-du-Doigt, en 1806". cf Marteville et Varin. 1843. |
Chairondas, archonte d'Athènes, en -338 |
Famille de Chalons (ramage des comtes de
Bourgogne) : princes d'Orange, en Provence; seigneurs de Touffou,
paroisse du Bignon,
év. de Nantes.
"de gueules à la bande d'or" / "en gwad e sourin en aour" - Jean, gouverneur de Bretagne en 1493; amiral en 1498; décédé en 1502. il était le fils de Guillaume et de Catherine de Bretagne, sœur du duc François II. |
Famille Champion : Seigneurs de Chartres,
par. de ce nom, ev. de Rennes; du Laz,
par. de Carnac.
Réf 1536, par. de Carnac, ev. de Vannes "d'azur à trois têtes de lévrier d'argent, accolées de gueules" "en glazur e zri fenn levran en arc'hant, gwakoliek en gwad" - Gilles, lieutenant-général des Eaux et Forêts de Bretagne en 1596; - Michel, procureur des bourgeois de Rennes en 1532 |
Famille Chantemerle : originaire de Picardie.
Seigneurs de Flavacourt, au Vexin normand.
- Anselme, évêque de Rennes, chancelier de Bretagne en 1404; décédé en 1427.
|
Chanzy : général en chef de l'Armée de Bretagne (Armée de la Loire), à Conlie, en 1871. |
Famille de la Chapelle : seigneur dudit lieu, en La Chapelle (sous
Ploërmel); de Molac; de Sérent; de
Pestivien; des
Brieux, paroisse de Plélan-le-Grand.
Références et montres de 1426 à 1513, paroisse de la-Chapelle-sous-Ploërmel et Plélan, paroisse de ce nom; des Brieux, paroisse de Plélan-le-Grand, évêché de Saint-Malo "de gueules à la fasce d'hermine" "en gwad e dreustell en erminoù" - Thomas, croisé en 1248; - Olivier, grand-maréchal de Bretagne en 1318 - Olivier, fils du précédent, épousa Marie de Derval, dont : -- Olivier, marié en 1412 à Alliette de Molac, qui a continué la branche aînée; -- Guillaume, auteur des seigneurs de la Roche-Giffart qui suivent. Cette maison a, en outre, produit un chambellan du duc François II et s'est fondue au XVè siècle dans celle de Rosmadec, en faveur de laquelle la Chapelle fut érigée en comté, en 1576. (PPC) Ajouter : Guy de la Chapelle, seigneur de Molac, grand fauconnier et grand veneur de Bretagne en 1452, |
Famille de Charette : "-------------" |
Famille de Charette de la Contrie : "-------------" |
Charikles, archonte d'Athènes en -196 |
Charuel : nom d'une Famille noble de Bretagne, dont l'un des membres Even (= Yves) Charuel, participa au combat des Trente. |
Famille Charbonneau : "d'azur, à trois écussons d'argent, accompagnés de dix fleurs de lis d'or, 4, 3, 2, 1 / e glazur, e dri skoed en arc'hant, heuliet gant dek flourdilizenn en aour, 4, 3, 2, 1" |
Chares, archonte d'Athènes, en -472 |
Charikleides, archonte d'Athènes en -363 |
Charinos, archonte d'Athènes en -308 |
Charlemagne : Fils de Pépin le Bref et de Berthe au grand Pied, roi des Francs de 768 à 814; |
Charles le Chauve : petit-fils de Charlemagne, fils de Louis le Pieux. Roi de France en 843, empereur d'Occident de 875 à 877. |
Charles le Gros : arrière-petit-fils de Charlemagne, fils de Louis le Germanique. et de ***. né à ***, le ***; roi de Germanie en 882; roi de France en 884; mort en 887 |
Charles III le Simple : Carolingien, petit-fils de Louis le Bègue; roi avec Eudes de 893 898, puis seul roi. Détrôné en 927. Mort en 929 |
Charles IV le Bel : Fils de Philippe le Bel et de ***; né à ***, le *** 1295; roi de France et de Navarre de 1322 à 1380 |
Charles V le Sage : fils de Jean le Bon (dynastie des Valois) et de ***; né à ***, le *** 1338. Roi de France de 1364 1380 |
Charles VI le Bon, ou le Bien-aimé; fils de Charles V et de ***; né à ***, le ***. roi de France de 1380 à 1422. Il fuit atteint de folie pendant une grande partie de son règne. |
Charles VIII : fils de Louis XI et de ***; né à ***, le ***; roi de France en 1483. Il épouse Anne de Bretagne en décembre 14091. Il est décédé à ***, le ***. |
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Charles de Blois : neveu du roi de France ***, né à ***, le ***. Marié à Jeanne de Penthièvre, nièce du duc Jean III; |
Charles de Valois : frère du roi Philippe IV le Bel, et père du roi Philippe VI 1328-***) |
Charles-Orland : fils de Charmes VIII et d'Anne de Bretagne, mort à l'âge de trois ans au château d'Amboise. |
Charost (Alexis-Armand) : évêque de Miletopolis et auxiliaire de Cambrai le 13 mai 1913; évêque de Lille le 15 novembre 1913; archevêque de Chersonèse et coadjuteur de S. E. le cardinal Dubourg le 18 juin 1920; archevêque de Rennes le 22 septembre 1921; cardinal le 11 décembre 1922; décédé le 7 novembre 1930. |
Famille du Chastel / Châtel : Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations
mineures et traduction bretonne par J.-C. Even
CHASTEL (DU), sr dudit lieu et de Lezirivy, par. de Plouarzel, de la Motte-Tanguy, par. de Quilbignon, baron de Trémazan, par. de Landunvez, sr de Kerlec'h, par. de Ploudalmézeau, de Kersimon, par. de Plouguin, de Coêtivy, par. de Plouvien, de Leslem, par. de Plounéventer, vicomte de la Belliére, par. de Pleudihen, sr du Bois-Raoul, par. de Renac, du Juch, par. de Ploaré, vicomte de Pommerit, par. de Pommerit-le-Vicomte, sr de Kersalliou, par. de Pommerit-Jaudi, baron de Marcé, en Anjou, sr de Lesnen, par. de Saint-Tual, de Tonquédec, par. de ce nom, de Mezle, par. de Plounevez-du-Faou, de Châteaugal, par. de Landeleau, de Gournois, par. de Guiscri, de Bruillac, par. de Plounérin, de Coëtangarz, par. de Plouzévédé, de Kerbasquiou, par. de Plouézal, de Keranroux, par. de Plufur, de Keraldanet, par. de Lannilis, de Keryvot, par. de Milizac, de Kermorin, par. de Saint-Thégonnec, de la Roche-Droniou, par. de Calanhel, de Coëtelez, de Pratcaric, par. de Plounévez-Moédec. Anc. ext. chev. réf. 1671, quatorze gén., réf. et montres de 1427 à 1534, par de Plouarzel, Landunvez et Plourin, év. de Léon, Landeleau, Guiscriff et Calanhel, év. de Cornouaille.
"Treustellet etre aour ha gwad a c'hwec'h pezh" (Sceau / Siell 1274). Devise / Sturienn : Da vad é teui. (Tu viendras à bien) et Vaillance du Chastel. Alias : Mar car Doué (S’il plait à Dieu). - Bernard, fils Tanguy, se croisa en 1248 (cab. Courtois), et épousa Constance de Léon, dont --1° Hervé, qui continua la filiation; --2° Bernard, dont les descendants prirent le nom de Kerlec'h, voyez KERLEC'H. - Tanguy, capitaine de Brest, décédé en 1352; - autre Tanguy, grand maître de la maison du Roi, décédé en 1449, commandait en Italie les Bretons à la solde de Louis, roi de Sicile, et prit Rome de vive force en 1410; - Guillaume, panetier du Roi, tué au siège de Pontoise en 1441; - Tanguy, grand maître de l'écurie du Roi, mort au siège de Bouchain, en 1477; - Guillaume, seigneur de Kersimon, capitaine de Brest, battit dix mille Anglais au Conquet en 1558; - Gabriel, évêque d'Uzès, décédé à Rome en 1463; - Jean, évêque de Carcassonne, décédé à Rome en 1472 et enterré à Sainte-Praxède; - Christophe, évêque de Tréguier, décédé en 1479; - Olivier, évêque de Saint-Brieuc, décédé en 1525; - Olivier, abbé de Daoulas, décédé en 1550; - Tanguy, sr de Châteaugal, tué au siège d'Ostende en 1602. La branche aînée fondue en 1575 dans la maison de Rieux, La branche de Bruillac, seul existante, issue de la branche de Coëtangarz, a fait enregistrer ses titres au conseil souverain de la Martinique en 1732 et a produit un aumônier du Roi en 1746, abbé de Samer-au-Bois, au diocèse de Boulogne et de Belval, au diocèse de Reims, décédé en 1778. Un de ses membres a été admis aux honneurs de la Cour en 1786 |
Famille du Chastel de Lanurien : "de gueules, au chevron d'argent, accosté à dextre d'une épée de même, garnie d'or, la pointe en haut / en gwad, e gebrenn en arc'hant, heuliet a-zehoù gant ur c'hleze ivez en arc'hant, krogennet en aour, ar beg ouzh kab" |
Famille du Chastellier : "d'argent, à l'aigle éployée de sable, membrée et becquée de gueules, couronnée d'or / en arc'hant, e erez dispaket en sabel, krabanet ha pigoset en gwad, kurunet en aour " |
Famille du Chastellier d'Ereac : "d'or, au chef de sable / en aour, e gab en sabel" |
Famille de Châteaugiron : baron dudit lieu et du
Jaulnay, en Châteaugiron;
barons de Derval;
seigneurs de Rougé; des
Vignes, en Domloup; de
la Touche-Fouquet, en Saint-Aubin (?); des Boulinières, en Moulins;
de Saint-Jean, en Laillé.
-1. "de vair à une bande de gueules" / "brizhet e sourin en gwad". sceau / Siell 1261 -2. "de vair à une bande de gueules chargée de trois coquilles d'argent" / "brizhet e sourin en gwad karget gant teir c'hregilhenn en arc'hant ". Sceau / Siell 1300. -3. "d'or au chef d'azur" / "en aour e gab en glazur". Sceau / Siell 1376 - Giron, fils d'Anquetil, sire de Châteaugiron, vivait en l'an 1000; - Alain, et Alain, neveu du précédent, évêques de Rennes en 1308 et 1328; - Patry, maréchal de Bretagne en 1407; - Armel, fils de Patry, maréchal de Bretagne en 1412; |
Alain de Châteaugiron : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de 1141 à 1157. Il a succédé à ***, et a eu pour successeur Stéphanus / Etienne. |
Christophe Chavigné : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1521 à 1154. Il a succédé à Guy Le Clerc, et a été suivi de Roland de Chavigné.. |
Famille Chauvin : Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations
mineures et traduction bretonne par J.-C. Even
CHAUVIN, sr de la Mulotaye, par. de Mordelles; de l’Espronnière, par. de Saint-Donatien; du Bois-de-la-Musse et de l'Isle-Neuve, par. de Chantenay; de l'Espinay, par. de Carquefou; de Limaraud, par. d'Abbaretz; de Montluc, par. de Saint-Etienne; de la Rochefordiére, par. de Ligné; de Vue, par. de ce nom. Réf. 1427, par. de Mordelles et Bain, év. de Rennes. D’argent à trois croissants de gueules, 2. 1, ce dernier les pointes en bas En arc'hant e zri c'hreskenn en gwad, 2, 1, an hini diwezhañ e veg ouzh beg - Jean, président aux comptes en 1413; - Guillaume, chancelier des ducs Pierre II et François II, premier président aux comptes en 1456, chevalier de I'Hermine, mort dans les prisons du château de Vannes en 1481; - Jean, son fils, en épousant l'héritière de la Musse, prit les
nom et armes de la Musse, voyez LA MUSSE. |
Rolland de Chavigné : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1554 à 1562. Il a succédé à Christophe de Chavigné, et a été suivi de Roland de Neufville. |
Famille Cheminée : Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations
mineures et traduction bretonne par J.-C. Even
Cheminée, seigneurs du Boisbenest, par. de Vallet; de la Mesnardière. Réf. et montres de 1430 à 1544, par. de Vallet, év. de Nantes. D’argent au léopard d’azur couronné d’or; au
chef de gueules chargé de trois En arc'hant e leonparzh en glazur kurunet en aour; e gab en gwad karget gant tri fenn leon en arc'hant kurunet en aour - Jean, homme d'armes de la garde de Clisson en 1464 ; - Simon, chevalier de Malte en 1570. Le seigneur du Salut, déb. réf. 1669 ressort de Nantes. |
Famille du Chesne : "d'argent, à trois curs de gueules couronnés d'or / en arc'hant, e dri kalon en gwad kurunet en aour" |
Famille de la Chevière : "d'argent, à trois rencontres de cerf de gueules / en arc'hant, e deir arbenn-karv en gwad" |
Famille le Chevoir : "de gueules, au croissant d'argent, surmonté de trois macles de même en chef / en gwad, e greskenn en arc'hant, leinet ouzh kab gant teir mailhenn ivez en arc'hant" |
Childebert Ier : né en 496, il est le troisième fils de Clovis et de Clotilde. A la mort de son père, il reçoit le royaume de Paris. Il s'allie à ses frères contre Sigismond de Bourgogne, puis fait assassiner les enfants de son frère Clodomir. Il s'empare de Pampelune. Il meurt sans descendance en 558. |
Childéric : roi des Francs; uni à Basine, il en reçoit trois enfants : un garçon, Clovis, et trois filles : Lanthilde, Alboflède, Aldoflède. Childéric est mort à Tournai en 481 et a été inhumé en cette ville. |
Chisholm : nom d'un clan écossais, installé dans les Highlands. |
Chion, archonte d'Athènes en -365 |
Chrestien de Troyes (Chrétien de Troyes) : |
Famille Chrétien :
Seigneurs de Tréveneuc et vicomtes de
Pommorio, en Tréveneuc;
seigneurs de la Villehélio, en Plourhan; du Trévou; du Mouster; du
Portail; de Kerohic; de Kerdaniou; de la Masse; de Pen-ar-Stang; de
Kerabel; de la Villemario, en Saint-Quay-Portrieux
"de sinople à la fasce d'or accompagnée de trois casques de profil de même" "en geot e dreustell en aour, heuliet gant tri helm ivez en aour" Devise / Siell : En bon chrétien - Hervé, croisé en 1248; - Raoulet, écuyer de la garde du château de Léhon en 1380; - Pierre, chambellan du duc François II en 12458, marié à Guillemette de la Motte-Rouge, père de : - François, sénéchal de Rennes et chancelier de Bretagne en 1485, époux d'Isabeau Hingant; - Un chevalier de Malte en 1664; - Une fille à Saint-Cyr en 1718; Le seigneur de la Vallée, paroisse de Carfantin, évêché de Dol, et le seigneur de Goasfounteun, déboutés aux réformations de 1668 et 1699. (PPC) |
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Chrysanthusvers : vicaire de l'Ile de Bretagne, vers 395-406 après J-C. |
Famille Cillart : Seigneurs
de la Villehelio en Plourhan; la Villeneuve, Coatarsant et Lezérec, en
Lanmodez; Kerilis et Kersaliou, en Plubihan; Keranstivel, en Plougrescant;
Goazven, Mezanroux, les Landes, Pratilly, Kergomar, Suville, en
Tréméloir; Kerguézennec, Kermainguy, en Pleumeur-Gautier; Kerhir et
Kertantrez, en Trédarzec; Clezmeur, Kerouazt?
"de gueules au greslier d'argent, enguiché de même en sautoir" "en gwad, e c'hrizilher en arc'hant, louanek-lammellet ivez en arc'hant" devise / sturienn Mon corps et mon sang * Henri, de la paroisse de Pleubihan et Jehanne, sa femme, ont une fondation à Beauport en 1312. * Eudon, écuyer de Charles de Blois et prisonnier avec lui à la bataille de La Roche-Derrien en 1356; * Jean, abbé de Beauport en 1376; * Jean, écuyer d'écurie de Louis d'Anjou;, roi de Sicile, reçut de ce prince promesse de 11.025 florins d'or, en payement de ses gages et de ceux de 30 lances de sa retenue, qu'il commandait au recouvrement du royaume de Sicile en 1384; * Pierre, fils de Jean, épouse vers 1423 Catherine de la Lande; * Geoffroy prête serment au duc entre les nobles de Goëllo en 1437; * Toussaint Cillart, et Jean-Bonaventure-Toussaint, Greffiers en chef garde-sacs au Parlement de Bretagne, respectivement en 1719 et 1760. * un brigadier d'infanterie en 1780 * Un chef d'escadre en 1786; * Trois membres fusillés à Quiberon en 1795 |
Cillyd : personnage des romans arthuriens, dans les Mabinogion. Il est le père de Culwch, et lui-même fils de Cyleddon Wledig. Il a pour épouse Goleuddyd, elle-même fille de Anlawdd Wledig. |
Cissa : 3ème fils d'Aelle, débarqué en G. Bretagne en 477 |
Civilis : chef batave, révolté contre Vespasien en 70; il est écrasé par le gendre de ce dernier, Petilius Cerialis. |
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Civilis : vicaire de l'Ile de Bretagne, vers 368. |
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* Classis
Britannica : marine (impériale romaine) de Bretagne. Ports et forts principaux dans l'Ile de Bretagne : Anderita / Pevensey; Dubris / Douvres; Portus Adurni / *** Ports dépendant de la Classis Britannica sur le continent : Gesoriacum, puis Bononia / Boulogne sur Mer; *** |
Claude (Empereur) : voir Empereurs. |
Il apparaît surtout dans le roman des Enfances de Merlin, et particulièrement dans la guerre qu'il mène contre Léodagan, roi de Carohaise en Carmélide, et Ban de Benoïc et Bohor de Gannes, et les enfants de ceux-ci. Selon Boulanger, I-1 : " il a rendu hommage à l'empereur de Rome, qui lui a envoyé des troupes". Par les recherches concernant la Bataille de Carohaise, il apparaît que Claudas est l'un des principaux chefs de l'armée mise en place par Euric, roi des Wisigoths d'Aquitaine, pourtant fédérés à l'Empire, afin de soumettre Carohaise / Carhaix. (bataille datée au mercredi Ier Mai 474). |
Fille du roi de France Louis XII et de la duchesse souveraine Anne de Bretagne; née à Romorantin le *** 1499; fiancée en 1506 au dauphin François de Valois (qui deviendra par la suite le roi de France François Ier); le mariage a été célébré à ***, le *** 1514. Elle apporta en dot le duché de Bretagne, ainsi que les comtés de Blois, de Coucy, de Montfort, d'Étampes, d'Ast, ainsi que ses droits sur le duché de Milan. Elle fut la mère de Henri II. La 'Bonne reine' Claude est décédée à ***, le *** 1524, et inhumée à ***. |
Claude de Rohan: évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, de 1501 à 1540; il a succédé à Raoul le Moël, et a eu pour successeur Guillaume Eder. |
Claudia : belle-fille d'Antoine; première épouse d'Octavius (futur empereur Auguste); mariage non consommé. |
Clément de Vitré : évêque de Dol de Bretagne, de 1231 à 1241; il a succédé à Jean VI de Lysenech, et a eu pour successeur Jean Mahé. |
Clisson (Olivier) : né à Clisson en 1336; seigneur de Josselin. Fidèle de Charles de Blois. Connétable de France. Mort à Josselin en 1407 |
Clisson (Simon) : évêque de Saint-Malo, en Petite Bretagne, de 1264 à 1285. Il a succédé à Philippe Bouchalampe, et a eu pour successeur Robert du Pont. |
Clotaire Ier : fils de Clovis et de ***; 497-561. roi des Francs de ** à *** |
Clotilde / Hlod Hilda
(hlod = gloire; hild
= combat): fille de Chilpéric, roi des Burgondes, et de
Carétène, princesse chrétienne. Nièce de Gondebaud,
son tuteur. Née à Lyon ou Genève vers 470 (475 ?), elle
épouse Clovis, roi des Francs, en 493. Mère d'Ingomer,
de Clodomir, de Clotaire Ier, et de Childebert.
Décédée à Tours le samedi 3 juin 545, Clotilde a
été canonisée. Inhumée à Paris en l'église Saint Leu,
près de Clovis et de Geneviève, son corps a été
réduit en cendres en 1793 pour éviter la profanation
par les hystériques et extrémistes 'révolutionnaires'.
Quelques reliques se trouvent dans la basilique Ste
Clotilde. Fête à l'origine le 3 juin, déplacée au 4
juin. ------------ Extrait de : Histoire de France. Niveau cours moyen. Programme 1902 : Sainte Clotilde. Clotilde était fille de Chilpéric, roi des Bourguignons, qui fut assassiné par Gcndebaud, son frère. Gondebaud. après s'être emparé du royaume de Chilpéric, éleva Clotilde, sa nièce, dans son palais. Clovis ayant envoyé des députés en Bourgogne, ils lui rapportèrent combien ils avaient été frappés de la rare beauté, des vertus et de l'intelligence de Clotilde. Le roi des Francs la demanda en mariage. Le jour des noces, Clovis lui ayant demandé quel présent elle désirait recevoir de lui : « Mon puissant époux, répondit-elle, je te demande de croire en Dieu le Père, créateur du monde, en son Fils unique, le Rédempteur des hommes., et au Saint-Esprit qui éclaire et vivifie les curs. » Elle ne cessa dès lors de travailler à la conversion de Clovis, se rappelant le précepte de l' Écriture : Que l'épouse fidèle ramène a la foi son époux infidèle Clovis étant mort, elle habita Paris; mais après le meurtre des fils de Glodomir, elle se fixa à Tours, où elle mourut dans la sainteté, en 545. |
Clovis / Hlodowegh /
Ludovicus : (hlod
= gloire; wig = bataille). Fils du roi franc mérovingien fédéré et romanisé Childéric et de
Basine. Né vers
465. Proclamé roi des Francs Saliens de Tournai en 481
à la mort de son père, à l'âge de 16 ans. Il est vainqueur de Syagrius à Soissons en 486, puis des Alamans à Tolbiac en 496, à la suite de quoi il se convertit au christianisme catholique. Il reçoit le baptême à Reims en 496 (8 ?) par Saint Rémi, évêque de Reims. Il écrase et soumet les Burgondes (c'est à dire le peuple d'origine de sa propre femme) en 500, puis les Wisigoths à Vouillé en 507. Il reçoit alors de l'empereur Anastase Ier (le Silentiaire) le diplôme de consul qui, bien que seulement honorifique, installe de fait Clovis en tant que patrice des Gaules.(Bordonove. Clovis, p 135 et suiv.; François Hartog; Guerre des Goths, note 75, p 202-203) Clovis a d'abord été marié, entre 481 et 486, à une princesse païenne dont on ignore le nom, mais qui lui a donné Thierry (Theoderic). Bordonove. p 65. Il a épousé ensuite Clotilde, en 493, princesse burgonde et chrétienne catholique, fille de Chilpéric, et nièce de Gondebaud. La conversion de Clovis au christianisme, lorsqu'elle est dépouillée de tout l'apparat mystique et merveilleux dont on l'a enrobé, apparaît en fait comme une opération de pur réalisme et de marchandage politique entre le chef barbare franc romanisé et les autorités romaines. En fait, pour devenir chef de l'armée romaine, comme on le lui propose en fait, il faut impérativement à Clovis d'être chrétien, conformément aux décrets impériaux et pontificaux ( voir ***), l'accès à la carrière militaire étant interdit aux païens. |
Chrestien de Troyes
: poète et romancier, né (probablement)
à Troyes, en Champagne, vers 1135. Il est mort avant
1190. Il se trouve d'abord sous la protection de la cour du comte de Champagne Henri Ier le Libéral, sous la protection particulière de la comtesse Marie. De cette époque, il a laissé : Ovidiana (c.1158), Philomena (c.1158), Guillaume d'Angleterre (c.1160), Erec et Enide (c.1160-1164), Cligès ou La Fausse Morte (c.1170), Lancelot du Lac ou le Chevalier à la charrette (c.1165), qu'il dédie à sa protectrice. Il se place ensuite sous la protection de la cour du comte de Flandres ou règne le comte Philippe d'Alsace (c.1168). De cette époque, il a laissé : Yvain ou le Chevalier au lion (c.1170), Perceval le Gallois ou le conte du Graal (c.1181-1182). De l'aveu même de Chrestien, il s'est inspiré d'un manuscrit de la bibliothèque de St-Pierre de Beauvais pour rédiger Gligès ou la Fausse Morte. Voir alors le recoupement avec Guillaume le Breton. |
Cibèle / Cybèle : déesse mère de Rome. voir page spéciale. |
Cimbres / Cymbri : Alliés aux Teutons, ils écrasent près d' Orange, le 06 Octobre 105 avant J.C, les légions romaines de Servilius Coepio et de Manlius Maximus. |
Cissa : deuxième fils du roi germanique Aelle, arrivé avec ce dernier en Bretagne romaine en 477; il a pour frères Cymen et Wlencing |
Classicianus (Julius Classicianus) : procurateur romain, successeur de Catus Decianus, après 61 après J.C. |
Claude ( Tiberius Claudius Nero Drusus Germanicus, puis empereur Tiberius Claudius Caesar Augustus Germanicus ) : empereur romain de 41 à 54 ap J-C. |
Clément III (Paolo Scolari) : d'origine romaine. Cardinal-évêque de Préneste / Palestrina, succède au pape Grégoire VIII, décédé le jeudi 17 décembre 1187. Élu pape le dimanche suivant, 20 décembre 1187. Décédé à Rome le samedi 30 mars 1191. Il a introduit la coutume d'élever l'hostie et le calice lors de la consécration, en attirant l'attention des assistants par un tintement de clochettes. |
Clément (saint) : 3è évêque supposé de Vannes. Il aurait succédé à saint Domitius. Son successeur, Modeste, est attesté au concile d'Orléans, en 511. |
Clodion
: roi franc (?-428 - Amiens, 448)
Extrait de Histoire de France.
Mme L. de SAINT-OUEN. 1850. |
Clothaire Ier
: fils de Clovis et ***; roi
des Francs, de 511 à 561. Clothaire et Childebert font périr leur frère Chlodomir. |
Clotilde : épouse de Clovis. |
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Cnut Ier : fil du Danois Swein. Roi d'Angleterre, de la maison de Wessex, de 1016 à 1035. Il a succédé à Aethelred, et a eu pour successeur Harold Ier. |
|
Cnut II : Roi d'Angleterre, de la maison de Wessex, de 1040 à 1042. Il a succédé à Harold Ier, et a eu pour successeur Édouard le Confesseur |
Coat-Coureden / Coëtgoureden (Roland de) : seigneur de Locmaria, en Ploumagoar, évêché de Tréguier, en Bretagne.; né au château de Locmaria, en Ploumagoar; chevalier; sénéchal universel de Bretagne pour le compte de Charles de Blois. ( vers 1346). |
Paulette Coat-Quévéran : Poétesse bretonne, de Saint-Hernin. |
Cocceia Irene : nom de personne; inscription en (G)Bretagne, RIB 507. |
Cocceianus : nom de personne; inscription en (G)Bretagne, RIB 902. |
Cocceius : nom de personne; inscription en (G)Bretagne, RIB 932. |
Cocceius (Firmus Cocceius) : officier de l'armée romaine, stationné à Auchendavy, auteur d'une dédicace (indice archéologique donné par I.A Richmond, Roman Britain, p 204). |
Coccillus : nom de personne. |
*cocco- : racine celtique servant à désigner la couleur rouge, et que l'on retrouve en toponymie aussi bien qu'en anthroponymie. Le nom est passé en brittonique sous la forme *Coccion (Gallois : coch = rouge). cf. Rivet & Smith : Place-Names of Roman Britain, p 310. |
* Coccus : nom de personne : le Rouge; |
Alain Cochevelou : voir Alan Stivell. |
Jord Cochelou : père d'Alan Stivell |
* Cocidius "le Rouge" : dieu de la Guerre identifié d'abord à Mars, dans le secteur de Bewcastle, et dans le Cumberland Irthing, puis à Sylvanus dans les secteurs plus à l'est. |
Famille de Coëtandon / Coëtaudon : "d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur / en aour, e leon en gwad, krabanet, teodet ha kurunet e glazur". |
Famille de Coëtanezre / Koedanaer : Texte
de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne
J.-C. Even
Seigneurs dudit lieu, en Ploaré; de Lezergué, par. d'Ergué-Gabéric; de Pratmaria, par. de Locmoria; marquis de la Roche, par. de Saint-Thoix; seigneurs du Granec, par. de Landeleau; de Pratanraiz, des Salles, de Kerpoën, et de Tréqueffelec, en Kerfeunteun. Réf. réf. et montres de 1426 à 1562, par. de Ploaré, Landeleau, Ergué-Gabéric et Kerfeunteun, év. de Cornouaille. "de gueules à trois épées d'argent, garnies d'or, les pointes en bas, rangées en bande" "en gwad e zri c'hleze en arc'hant krogennek en aour, begoù ouzh beg, sourinet" - Jean, procureur général en 1457, - Bertrand, aumônier du duc, vice-chancelier de Bretagne en 1459; La branche aînée fondue dans Bérien, puis Quélen-Vieuxchâtel; la branche de Lezergué fondue en 1532 dans Autret; la branche de la Roche, fondue en 1595, dans Kernezne. |
Famille de Coëtanscourt : "d'argent au chef endenché (endanché) de gueules / en arc'hant, e gab gourdentet en gwad (=gul)" |
C-Coafrec |
Famille de Coëtgoureden : Texte
de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne
J.-C. Even
COËTGOUREDEN ou COATGOUREDSN (DE), sr dudit lieu, par. de Pestivien; de Cotfrec, par. de Ploubezre; de Locmaria et de Runvezit, par. de Ploumagar; de Kerninon et de Lezuriech, par. de Ploulec'h; de Kerraoul, par. de Trébeurden; de Keranroux, par. de Plouaret; de Kerauffret et de Crec'hamblay, par. de Maël-Pestivien; de Kermatéman, de Lespoul et de la Haye, par. de Duault; de la Boëssière, par. de Trébrivant. Anc. ext. chev., réf. 1670, six gén., réf. et montres de 1427 à 1562, par. de Ploumagoar, Ploulec'h, Trébeurden et Plouaret, év. de Tréguier, Maël-Pestivien et Trébrivant, év. de Cornouaille. "De gueules à la croix endentée d’argent" "En gwad e groaz dentek en arc'hant" comme/evel Fraval et/ha Phélippes. Devise / Sturienn : Je me contente; et aussi / hag ivez : In cruce spes et munirnen. Cette famille dont le nom primitif est Phélippes, remonte à Nicolas Phélippes, sr de Coëtgoureden en 1300, père de - Rolland, sénéchal universel de Bretagne pour Charles de Blois, prisonnier au sac de Lannion en 1346; - Henry, député vers le roi Charles VI pour traiter de la paix en 1380, ratifia le traité de Guérande en 1381 et avait épousé en 1373 l'héritière de Coëtfrec; - Philippe, marié à Isabeau Provost, dame de Locmaria, ratifia le traité de Guérande en 1381; - Yves, capitaine de Brest en 1407; - Hervé et Philippe, abbés de Bégard de 1369 à 1417; - Alain, sr de Kermatéman, écuyer de la duchesse Anne, son sénéchal universel et son ambassadeur en Angleterre en 1489 ; - Olivier, sr de Kerauffret, fils du précédent, marié à Olive de Cabournais, quitta le nom de Phélippes par lettres de mutation de surnom en 1485 et ses descendants existent encore. La branche aînée fondue dès le XIVè siècle dans Kerimel, d'où la seigneurie de Cotgoureden a appartenu successivement aux Penhoët, Guillard, Bégaignon et le Brun du Lojou ; la branche de Locmaria fondue vers 1460 dans du Parc; la branche de Kerninon fondue dans le Roux. D'autres branches conservèrent le nom de Phélippes, voyez PHÉLIPPES. |
Famille de Coëtguiziou : "de sable, au massacre de cerf d'or / en sabel, e bann-karv en aour" |
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Famille de Coëtlosquet : Texte de Pol Potier de
Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even
COËTLOSQUET (DE), seigneurs dudit lieu, par. de Plounéour (-Ménez); de Kerannot, par. de Saint-Thégonnec; des Salles; de Keralivin et de Kerig ou, par. du Minihy; de Kerduff; de Kergoat; de Keroman; de Mesgoff; de Kermorvan, par. de Plougasnou; des Isles, par. de Guimaëc; de Kergoaret; de la Pallue, par. de Plougoulm; de Penlan, par. de Plounez; de Ranvelin; du Portzmeur, par. de Saint-Martin-des-Champs. Anc. ext. chev., réf. 1669, huit gén., réf. et montres de 1443 à 1534, par. de Plounéour-Ménez, év. de Léon. De sable semé de billettes d’argent, au lion morné de méme sur le tout En sabel hadet gant kanochennoù en arc'hant, e leon kudennek ivez en arc'hant e greiz comme / evel Carpont, Penhoadic, la Roche. Devise / Sturienn : Franc et loyal. - Bertrand, croisé en 1248 (cab. Courtois); - Olivier, de la compagnie d'Alain de Rohan, aux guerres de Flandre en 1383 ; - Jean, vivant en 1448 épouse Constance de Penhoadic; - Jean, chevalier de Malte en 1513; - Guillaume, chevalier de l'Ordre en 1647 ; - Jean-Gilles, né en 1700 à Saint-Pol, membre de l'Académie française, précepteur des enfants de France, commandeur du Saint-Esprit en 1776, abbé de Saint-Philbert de Tournus au diocèse de Châlons-sur-Saône, de Saint-Paul au diocèse de Verdun et évêque de Limoges en 1739, mort en 1784; un abbé de Saint-Gildas-des-Bois en 1760; plusieurs chevaliers et commandeurs de Saint-Lazare depuis 1721 ; trois pages du Roi depuis 1731; quatre membres admis aux honneurs de la Cour depuis 1758; deux frères fusillés à Quiberon en 1795; un maréchal de camp en 1791 et un lieutenant-général en 1821, mort en 1836. |
Famille de Coëtmen : Texte de Pol Potier de
Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even COËTMEN (DE), (ramage de Penthièvre), baron dudit lieu en 1487, par. de Tréméven; vicomte de Tonquédec, par. de ce nom et de Pléhédel, par. de ce nom; sr de Lannévez, par. de Perros-Hamon; de landégonnec, par. de Plourhan; de Chateauguy, par du Cellier; du Bois-Guézennec, par. de Louannec; de Kerangouëz, par. de Plouigneau; de Keruzec, ar. de Pleumeur-Bodou; de Rosserff; de Kergadiou et de Leingouez, par. de Guimaëc; de Blavon, par. de Bédée. Anc. ext. chev., réf. 1669, quinze gén., réf. et montres de 1427 à 1543, par. de Tréméven et Plourhan, év. de Saint-Brieuc, Tonquédec et Louannec, év. de Tréguier et Bédée, év. de Saint-Malo. "De gueules à neuf (alias : sept) annelets d’argent 3. 3. 3" "En gwad e na (neuz all : seizh) ruilhenn en arc'hant, 3, 3,3" Sceau / Siell : 1298 Devise / Sturienn : Item, item. - Geslin, fils juveigneur d'Henry, comte de Penthièvre et de Mahaut de Vendôme, sénéchal de Goëllo en 1220 et tuteur de son neveu Henry d'Avaugour, reçut en partage la baronnie de Coëtmen dont il prit le nom, et laissa de l'héritière de Tonquédec: - Alain, marié a Constance de Léon; - Rolland, fils des précédents se croisa en 1270, et épousa Annette de Laval. La branche aînée se fondit en 1495 dans la maison d’Acigné, d'où la baronnie de Coëtmen est passée aux Cossé-Brissac puis aux Neuville de Villeroy qui la vendirent aux la Pierre de Talhouët et ceux-ci en 1737 à Alexis-René de CFoëtmen, sr de Kergadiou, maréchal de camp en 1748 dont la fille aînée la porta par mariage aux Rougé en 1748, tandis que la fille cadette transmit par alliance en 1759 Kergadiou aux Caradeuc et successivement aux Kermarec, puis aux Mauduit. |
Famille de Coëtmenec'h : Texte de Pol Potier de
Courcy; adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even COËTMÉNECH (DE),vicomte dudit lieu, par. de Plouider; sr de Coëtjunval, par. de Ploudaniel; de Kerrom et de Rucat, par. du Minihy de Léon; de Keranhoat, par. de Loperhet; de Penandreff, par. de Plourin. Réf. et montres de 1446 é 1503, par. de Plouider, Kerlouan, Plourin, Languengar, Ploudaniel et le Minihy, év. de Léon. Fascé de vair et de gueules Treustellet etre brizh ha gwad (Sceau, Siell 1418). Devise / Sturienn : Soit. (Bez) - Prigent vivant en 1373, marié à Tiphaine du Chastel. - Jean, grand fauconnier de Bretagne en 1418 La branche aînée fondue au XVè siècle dans le Vayer, d'où la vicomté de Coétménec'h a appartenu successivement aux la Feillée, Beaumanoir, Rosmadec, Kergroadez, Montmorency et par acquêt aux Barbier de Lescoét. La branche de Coëtjunval fondue dans du Louët qui ont retenu les armes de Coëtménec'h; le chef d'une autre branche en épousant l'héritière de Lesguern, en Saint-Frégan, prit ainsi que ses descendants le nom de Lesguern, mais en conservant les armes de Coëtmenec'h. Voyez LESGUERN. |
Famille de Coëtmeur : "d'argent, à l'écusson de gueules, accompagné de six croix recroisettées de même / en arc'hant, e skoed en gwad, heuliet gant c'hwec'h kroaz adgazeliek keliv" |
Coepio (Servilius) : général romain, écrasé en compagnie de Manlius Maximus par les Cimbres et les Teutons, près d'Arausio / Orange, le 06 Octobre 105 avant JC. |
Famille de Coëtivy. Texte de Pol Potier de
Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even
COËTIVY (DE), sr dudit lieu, par. de Plouvien, du Ménant, de Froutguel et de Runinisi, par. de Plouguerneau; du Forestic, par. de Plouédern; de Tregouroy, de Kerhuon, par. de Guipavas. Réf. et montres de 1426 a 1503, par. de Plouvien, Plouédern, Guipavas, Plouguerneau, Plouénan, Ploudalmézeau et Saint-Frégan, év. de Léon.
Fascé d’or et de sable de six pièces Treustellet etre aour ha sabel a c'hwec'h pezh alias : écartelé de Retz / palefarzhet gant Raez (sceau / siell 1448). Devise / Sturienn : Bepret (toujours). - Prigent, croisé en 1270, épouse Plézou de Kerlec'h; - Alain épouse en 1398 Catherine du Chastel, et fut tué en 1425 - Prigent, amiral de France, marié en 1440 à Marie de Retz, tué d'un coup de canon, au siège de Cherbourg en 1450; - Alain, abbé de Redon, évêque de Dol, de Cornouaille et d'Avignon, et cardinal du titre de Sainte-Praxède en 1449, procura la canonisation de saint Vincent-Ferrier et mourut a Rome en 1474; - Olivier, frère de Prigent et d'Alain qui précédent, marié a Marguerite, bâtarde de Valois, fille de Charles VI et d'Agnès Sorel, décédé en 1480, père et mère de Charles, comte de Taillebourg, prince de Mortagne-sur-Gironde, époux de Jeanne d'Orléans, fille du comte d'Angoulême; - Louise, fille des précédents, épouse en 1501 Charles de la Trémoille, prince de Talmont; - Jeanne, abbesse de la Joie, décédés en 1490. La seigneurie de Coëtivy, aliénée en 1497 a été possédée depuis par les maisons du Juch, du Chastel, Rieux, Scépeaux, Gondy, Cossé-Brissac, Penancët, Crozat, et Contaut-Biron. |
Famille de Coëlogon :
Amiral. Né à ********; mort à Cherbourg en 1450. |
Cöetlogon (François de) : évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne, 1668 à 1706; il y a succédé à Charles du Liscouët, et a eu pour successeur François-Hyacinthe de Ploeuc. |
Famille de Coëtnempren de Trépombé : "de sable au cerf passant d'or / en sabel e c'harv tremenant en aour" |
Famille de Coëtquelfen : "d'argent, à une quintefeuille de sable / en arc'hant, e bempdiliaouennen en sabel" |
Famille de Coëtquelven : "de sable, au lion d'argent / en sabel, e leon en arc'hant" |
|
Famille de Coëtquen : (texte de Pol Potier de
Courcy. Adaptations mineures et traduction bretonne par J.-C. Even)
COËTQUEN (ramage de Dinan), marquis dudit lieu en 1576, par. de
Saint-Hélen, baron du
Vauruffler en 1576, par. de Plouasne,
comte de Combourg, sr
de Maupiron, par. de Moisdon,
vicomte d'Uzel en 1538, sr du Bois de la
Motte, par. de Trigavou, N'ont pas produit à la réf. de 1668; réf. et montres de 1478à 1513, par. de Saint-Helen, év. de
Dol, Maisdon, év. de Nantes, "Bandé d’argent et de gueules", (Sceau 1219); "Sourinet etre arc'hant ha gwad" (Siell 1219) Devise / Sturienn : Que mon supplice est doux.
- Clément, évêque de Dol, décédé en 1243; - Marguerite, abbesse de Saint-Sulpice de Rennes, décédée en 1363; - Raoul, maréchal de Bretagne en 1420; - Jean, grand maître de Bretagne, marié en 1491 à Jacquemine de Tournemine; - plusieurs gouverneurs des ville et château de Saint-Malo; dont l'un mort en 1679, fut marié à Marguerite de Rohan-Chabot surnommée par Mme de Sévigné la Brune, maîtresse du chevalier de Lorraine, puis de Turenne; - un lieutenant-général des armées en 1718. décédé en 1726. Fondu en 1735 dans Durfort-Duras. |
Famille de Coëtquenan : "d'azur, château d'or, sommé de trois tourillons de même / e glazur, e c'hastell en aour, leinet gant tri tourigan ivez en aour" |
|
Famille Coeret : article restant à
compléter
"d'argent à trois cœurs de gueules" / "en arc'hant e deir c'halon en gwad" - Etienne : évêque de Dol; chancelier de Bretagne en 1401; décédé en 1429 |
Etienne : évêque de Dol; chancelier de Bretagne en 1401; décédé en 1429 |
Coëtquis (Philippe de) : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1419 à 1427. Il a succédé à Alain de Kerazred, et a été suivi de Jean de Saint-Léon Validire. |
Famille de Coëtregal : de gueules, à six besants d'or; au chef danché d'argent / en gwad, e c'hwec'h bezantenn en aour; e gab en arc'hant : Coëtregal |
Famille de Coëtreze : |
Famille de Coëtuhan : "de gueules, à trois croissants d'argent / en gwad, e deir greskenn en arc'hant" |
Cogidumnos : roi des Atrebates de l'Ile de Bretagne; allié des Romains, il reçoit après la victoire de ceux-ci sur Caratacos, en 43 après J.C, le titre de "Tiberius Claudius Cogidumnus, rex et legatus Augusti in Britannia " (cf. I.A Richmond, Roman Britain, p 23 et 71) : "Cogidumnus, roi et légat de l'Empereur Tiberius Claudius en Bretagne" |
Cogitosus : biographe de Sainte Brigitte de Kildare, vers 650 (il est le père de Muirc'hu, biographe de St Patrick); Cogitosus proclame dans sa préface que l'évêque de Kildare est l'archevêque de toute l'Irlande, d'une mer à l'autre. |
Cognomerus : |
Cohors I Aelia Dacorum (Première cohorte dace aélienne) : unité d'origine dace, composante de la Legio VI Victrix, stationnée à Banna / Birdoswald Cohors I Asturum (Première cohorte asturienne) : unité d'origine asturienne, stationnée à Aesica / Great Chesters, sur le Mur d'Hadrien. (cf : ND XL-42; RIB 1738) Cohors I Britannica (Première cohorte britannique) : unité d'origine bretonne, stationnée en Pannonie; attestée par l'inscription CIL XVI-49 relative à Lucconi Treni F (voir Encyclopédie des noms de personnes, lettre D : la tribu bretonne des Dobunni ) Cohors I Fida Vardullorum (Première cohorte Fidèle vardulienne) : attestée par la découverte d'un diplôme militaire à Colchester / Camulodunum, le titulaire étant lui même réputé GLEVI, c'est à dire de Gloucester / Glevum. Les Varduli étaient une peuplade de Tarraconaise, en Espagne. ***** Cohors II Lingonum (Deuxième cohorte lingone) : unité d'origine belge (cité des Lingons : Langres), composante de la Legio VI Victrix, stationnée à Concavata / Drumburgh. Cohors II Thracorum / Thracum (Deuxième cohorte thrace) : unité d'origine thrace, stationnée au IIIè à Gabrosentum / Moresby, en prolongement ouest du Mur d'Hadrien, sur la Mer d'Irlande. Cumberland. ***** Cohors III Lusitanorum (Troisième cohorte lusitanienne) : unité d'origine lusitanienne (portugaise) composante de la Legio I (?) ou Legio XX (?) basée à Novaesium / Neuss entre 15 et 32/35 ou 43 ap JC. Cohors III Nerviorum (Troisième cohorte nervienne) : unité d'origine belge (cité des Nervii : Cambray, Tournay, Bavay); composante de la Legio VI Victrix, stationnée à Alauna / Alione / Maryport, Cumberland. ***** |
Coinmail : roi britto-romain battu et tué en 577 à Deorham, en même temps que Condidanus et Farinmail, par les West-saxons commandés par Ceawlin et Cuthwine. |
Colebaut Jacques, dit Jachet de Mantoue : compositeur musical, né à Vitré en 1483, et décédé à Mantoue le 02 octobre 1559 |
de
Coligny : "de gueules, à l'aigle d'argent,
becquée, membrée et couronnée d'azur / en gul, e erez
en arc'hant, pigoset, iziliet ha kurunet en glazur"
(Seigneurs de Montmuran, en Les Iffs) |
Colman Mac Lùachàn : *** ? (Ch. Kerboul, Gildas Le Sage p 123 : la Lorica. A vérifier et compléter). |
Columba / Colomban / Columbkill (Saint) : (521/597). moine chrétien irlandais; il décide de faire des copies de manuscrits appartenant au monastère dirigé par Finnian; découvert, il est mis en demeure, sur jugement du roi Diarmaid, de restituer les copies; Columba quitte l'Irlande en 565 pour s'installer en (G)Bretagne afin d'instruire les Pictes à la religion chrétienne; il fonde un monastère dans l'île Iona. (ASC); sa vie a été écrite par Adomnan, abbé d'Iona. |
Commios : fait roi des Atrebates du continent par Jules César après sa victoire sur ce peuple en ***. Jules César le charge de mission auprès des Atrebates de l'Ile de Bretagne pour leur conseiller d'accepter de se ranger du côté du général romain. Mais ceux-ci le prennent en otage, et ne le rendent qu'après la victoire du général romain. |
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Compita: déesse romaine., à laquelle sont consacrés les Ludi Compitalici, le 4 janvier. |
Conan : fils d'Erispoë et de Marmohec. |
Conan Ier (le Tors) : fils du comte Bérenger de Rennes. duc de Bretagne, en 990, après la mort de Drogon. Il s'empare du pays de Nantes, mais le perd face à Foulques Nerra, duc d'Anjou, en 992, au soir de la bataille de Conquereuil, où il est tué par Foulques lui-même. |
Conan II : fils d'Alain III; il descend des ducs de Bretagne et de Normandie par son père et du comte de Blois par sa mère; duc de Bretagne, de 1040 à 1066. |
Conan III (le Gros)
: fils d'Alain Fergent et d'Hermengarde
d'Anjou; né à ***, le ***; duc de Bretagne,
vassal du roi d'Angleterre Henry II Plantagenêt,
assermenté
à Rennes, en 1112. DUHG (1863) : "Il unit ses armes à celles de Louis le Gros contre le roi d'Angleterre, Henri Ier, son beau-père. Il désavoua dans ses derniers moments (1148) Hoel, fils de son épouse Mathilde, qui avait jusque là passé pour son propre fils. Cette déclaration fut la source de guerres civiles qui désolèrent la Bretagne pendant 50 ans, et qui firent passer successivement ce duché dans les maisons de Penthièvre, d'Angleterre, de Thouars et de France". De Mathilde, fille du roi d'Angleterre Henri Ier, il eut 3 enfants : un fils, Hoel, et deux filles, Berthe et Constance. Hoel fut déclaré bâtard en 1148, mais reçoit le comté de Nantes.. Conan III est décédé à ***, le *** 1148, après 36 ans de règne. Il a été inhumé à ***.(?) |
Conan IV (dit le Petit) : fils d'Alain le Noir II et de Berthe, fille de Conan III. Il devient duc de Bretagne de 1148 à 1169. Il épouse ------, qui lui donne Constance. |
Conan : évêque de Léon, en Petite Bretagne; attesté vers 962. Il a succédé à Jacob, et a été suivi par Mabbo. |
Concessa : nom de la mère de St Patrick. |
Conchubar / Conor : |
Famille
de Condest : Seigneurs dudit lieu et de Cocquerel, en Nivillac;
de Craon, en Langon; de Morterais, en Saffré;
vicomtes de Loyaux en 1490, en Fresnay.
"de gueules à trois épées d'or en pal, les gardes en
bas" / "en gwad e zri c'hleze en aour peuliek, krogennoù
ouzh kab".
* Gilles épouse vers 1460 Marie de Montauban, dont : Jean, marié vers 1490 à Jeanne de Pasquéau. |
Condidanus : roi britto-romain battu et tué en 577 à Deorham / Dyrham, en même temps que Coinmail et Farinmail, par les West-Saxons commandés par Ceawlin et Cuthwine. |
Conindri : évangélisateur de l'île de Man (Euvonia), avec Rumili.. |
Conisci : peuple du nord de l'Espagne, au sud des Cantabri. |
Conlaed : évêque de Kildare; Cogitosus, le biographe de Ste Brigitte, proclame que l'évêque de Kildare est l'archevêque de toute l'Irlande, d'une mer à l'autre. |
Connolly (James) : fondateur de l'Armée révolutionnaire irlandaise (Irish Citizen Army / I.C.A), en 1913. |
Conogan (ou Guenoc) (Saint) : 2ème évêque de Cornouaille, en Petite Bretagne; successeur de saint Corentin; il a eu pour successeur saint Alor. |
Conomore : "roi" en Bretagne
armoricaine, il est contemporain de St Gildas et de Warok. Son pays correspond à une zone "montagneuse" de Petite Bretagne : Joseph Chardronnet dit (Livre d'Or des saints de Bretagne, p 92) : "son repaire se trouve au château-fort de Castel-Finans, en forêt de Quénécan". Selon la Vie de St Gildas, Conomore avait l'habitude de faire tuer ses femmes dès qu'il apprenait qu'elles étaient enceintes. Ayant épousé Triphine, fille du roi Warok, il tenta de la décapiter lui-même. Mais il semble qu'elle s'en soit tirée (selon la Légende par l'intervention de St Gildas), et a mis au monde un fils qui fut appelé Gildas en remerciement. Celui-ci aurait été appelé Trechmorus = Trémeur = (Trec'h Meur = Grande Victoire). Protecteur de Chramme (Greg.Tours.35); protecteur de Maclou (Greg.Tours.33) Conomor est tué lors de la bataille entre Chramme et Clothaire (Greg.Tours.35), soit en 560. (voir mort de Chlothaire; Greg.Tours.36). Aussi : - Commentaires dans la monographie de la commune de Gouesnou. |
Conrad II le Salique :
Empereur du Saint-Empire romain-germanique du 26 mars 1027 au 04 juin
1039
(Wikipédia) |
Conrad de Warzburg : |
Consorani : peuple celtique pyrénéen, entre les Convenae à l'ouest, les Volcae Tectosages au nord, les Sardones à l'est. Capitale : -------- |
* Constance : a) empereurs romains. Constance Chlore : Constance Ier : Constance II : |
Constance III (Flavius Constantius) : Romain originaire de Naissus en Moesie. Magister utriusque militiae; En 411, il élimine l'empereur Constantin III. Consul en 414; patrice en 416; impose le foedus aux Wisigoths en 416; consul pour la deuxième fois en 417, il épouse Galla Placidia le lundi Ier janvier 417. En 418, Constance installe les Wisigoths en Aquitaine Deuxième plus les cités de Poitiers, Saintes, Angoulême, Périgueux, Bordeaux, Agen, et Toulouse. puis réorganise le Tractus armoricanus en tractus Armoricani et Nervicani (cf. Michel Rouche; p 24). Consul pour la troisième fois en 420; proclamé empereur d'Occident le mardi 8 février 421, sans reconnaissance de la part de Constantinople. Il a eu deux enfants de Galla Placidia : Valentinien III et Justa Grata Honoria. |
Constance : princesse normande; première épouse du duc Alain IV Fergent; décédée en 1090. |
Constance de Bretagne : fille de Conan IV le Petit, duc de Bretagne, et de Marguerite d'Écosse. Née à ***, le ***. Mariée encore enfant en 1181 à Geoffroy Plantagenêt, fils d'Henri II d'Angleterre et d'Aliénor d'Aquitaine. Elle lui donne successivement Aliénor, et à titre posthume Arthur Ier de Bretagne. Elle épouse ensuite Ranulf, comte de Chester, neveu d'Henry II, dont il n'y a pas de descendance. Elle épouse en troisièmes noces Guy, vicomte de Thouars, à qui elle donne trois filles : Alix (qui sera plus tard l'épouse de Pierre de Dreux), Catherine, qui devient baronne de Vitré, et Marguerite, qui devient vicomtesse de Rohan. Constance est décédée à ***, le *** 1201. |
Constance : ermite de Lough Oughter, Co. Cavan, en Irlande, à l'époque de St Patrick; |
* Constantin :
a) empereurs romains.
Constantin Ier |
Constantin II |
Constantin III (Flavius Claudius Constantinus) : Légionnaire stationné en Île de Bretagne; proclamé empereur en 407; s'empare de la Gaule; installe sa capitale à Arles en été 408; s'empare de l'Espagne. Proclame son fils Constant César en 408, puis Auguste en 409/410; Honorius reconnaît Constantin empereur en 409. Trahi par Gerontius, puis assassiné sur ordre de celui-ci en 411. |
b) Grande-Bretagne u Bas-Empire :
|
Constantin (Constantinus)
: "roi" de Domnonée
(Devon + Cornwall + Somerset), en Île de Bretagne romaine.
Il fait l'objet d'une sérieuse admonestation de la part
de Saint Gildas, qui l'accuse de parjure, de crime, d'adultère.
Compte tenu du fait que les admonestations de St Gildas s'adressent
à plusieurs rois, dont Maelgwn, roi de Gwynedd, il s'avère
que ce texte est antérieur, ou concomitant de 547, date
de la mort de Maelgwn. Il est intéressant de noter que Gildas qualifie Constantin de "chien de l'immonde lionne de Domnonée". Ceci tendrait à soulever l'idée que le personnage serait issu du Lioness, l'un des pays de Domnonée de l'époque; voir Lioness appliqué aussi à Guenièvre, épouse du Roi Arthur. |
c) rois d' Écosse.
- Constantin Ier (12.04.862 / 877) : - Constantin II (900/943) : |
Consuls romains : activer les liens pour arriver directement à la page spéciale consacrée aux consuls romains. |
Convenae : peuple celtique pyrénéen, entre les -------- à l'ouest, les Volcae Tectosages au nord, les Consorani à l'est. Capitale : Lugdunum Convenarum (St Bertrand de Comminges. |
Conwoion :
|
Cordelière
(Ordre de la ...) : Ordre créé en 1492 par
Anne de Bretagne, en hommage aux Christ aux Liens (aux
Outrages)
Croisée d'ogives de la cathédrale de Nantes Photo / Skeudenn J.-E. Even |
Corentin (Saint) : fondateur de l'évêché de Cornouaille, en Petite Bretagne, au VIè siècle; il a eu pour successeur saint Conogan (ou Gunenoc) |
Coriondi : nom de peuple celtique d'Irlande. Selon Ptolémée, II,2,8 : Koriondoi. |
Corionototae : nom de peuple celtique non identifié;
le nom apparaît seulement sur une inscription ( RIB 1142)
: 'caesa Corionototarum manu' provenant
apparemment de Coriosotopitum / Corbridge. Rivet
& Smith, p 322, proposent qu'il s'agirait d'un peuple
stationné au nord du Mur d'Hadrien, incorporé ensuite
dans une tribu plus importante. * Rivet & Smith, p 322 : SOURCE An inscription, RIB 1142 (Hexham Abbey, but thought to have been brought from Corbridge); an ofFicer sets up an altar caesa Corionototarum manu 'after slaughtering a band of Corionototae' DERIVATION. We follow the admirable analysis of this name by T. M. Charles-Edwards in 'Native Political Organisation in Roman Britain', Antiquitates Indogermanicae (Innsbruck, 1974), 35-45, at 38. The first element is British *corio- (see CORIA-1) with *-no- suffix (cognate with the suffix in Latin tribus-tribunus, domus-dominus), 'used to form words for leaders or representatives of a group'. The second element is British *tota, earlier *teuta, *touta 'people, state', represented by Welsh tud (Latin cognate totus < * toutos 'all, everybody'). Charles-Edwards continues : ' In view of inscriptions to Mars Toutatis and the cult of the war-god Camulos, it is possible that *Korionos was a bye-name of the Celtic war-god, the god by whom this particular people swore, and after whom they called themselves. The whole name, Corionotatae, can be interpreted in two ways, either as the name for a group of *totas, or as the name for the inhabitants of a single *tota.. . . This second interpretation, which makes the Corionototae men belonging to a people or kingdom called *Korionotota, seems the more likely.' IDENTIFICATION. An otherwise unknown people, presumably dwelling north of Hadrian's Wall and perhaps incorporated in one of the major tribes in this area. ------------ JCE : Interprétation délicate ! Si l'on s'en tient
à une localisation au nord du Mur d'Hadrien, et aux
racines proposées, on pourrait interpréter ce nom comme
'l'assemblée des combattants', non spécifiques d'un
peuple ou d'une tribu, mais rassemblant des individus
combattants de plusieurs groupes à la fois, c'est à
dire une confédération combattante pour une cause
commune. |
Coriosolites /
Curiosolites : peuple
celtique de l'ouest de l'Armorique gauloise; chef-lieu
romain : Fanum Martis / Corseul.
Cesar, BG, II, 3, 4 : (ad) Coriosolitas Pline, H, IV, 18 : Coriosvelites |
Coritani : peuple celte de (G)Bretagne, probablement de la vague belge; capitale Ratae Coritanorum / Leicester; actuellement le comté de Lincolnshire. |
Coriticus : voir Caradoc, fils de Cunedda. |
Cornic-Cuchesne (Charles) : * Éditions Flohic : "Charles Cornic-Duchesne est né à Morlaix en 1731. Mousse à 8 ans, second capitaine à 15, lieutenant à 16, il poursuit sa carrière avec de nombreuses campagnes contre les Anglais, ce qui lui vaut une grande réputation. Mais, roturier de naissance, l'uniforme rouge de la Royale lui est interdit. Il appartient au corps des "officiers bleus". A l'age de 26 ans, ce corsaire, commandant de la frégate Félicité, attaque de front trois navires anglais, en coulant un et mettant les autres en fuite. A 30 ans, il commande le Prothée, vaisseau du roi avec lequel il capture cinq bateaux anglais. Mais sa renommée lui attire les foudres du "Grand Corps", les officiers de la Royale, dont il tue sept représentant en duel. En 1776, il réalise le balisage, notamment composé de douze tours, de la baie de Morlaix, qu'il cartographie, et dont il entretient les éléments à ses propres frais. retiré au château de Suscinio à Ploujean, il y meurt en 1809". |
Cornovii (du Cheshire) : peuple 'celte' de la première vague en (G)Bretagne, entre l'Angleterre actuelle et le nord est du pays de Galles; capitale Viroconium / Wroxeter. |
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Cornovii (du Caithness) : peuple 'celte' de la première vague en (G)Bretagne, à l'extrême nord-est de l'Écosse. |
Cornovii (du Cornwall) : il s'agit là d'une
monumentale bévue historique, qui a eu de graves
répercussions dans des interprétations aberrantes, en
particulier dans ce que de nombreux auteurs appellent ' l'émigration
bretonne en Bretagne armoricaine'. Les soi-disant Cornovii du Cornwall n'ont jamais existé, et n'ont donc jamais été à l'origine, ni ethnique, ni toponymique, de la Cornouaille armoricaine. ! Ce qu'on appelle aujourd'hui le Cornwall / Cornouailles britanniques, faisait partie intégrante de la cité des Dumnonii, aussi bien à l'époque celtique qu'à l'époque romaine. Ce secteur ne s'identifiait que par sa proximité des caps, à savoir *Corn / *Kern-, mais ne détenait aucun sens ethnique particulier. Le cap Land's End portait alors soit le nom d' ANTIVESTAEVM PROMONTARIVM, soit celui de BELERIVM PROMONTARIUM; Le cap Lizard portait alors soit le nom de DUMNONIUM PROMONTARIUM, soit celui d' OCRINVM PROMONTARIUM. Ce qu'on appelle aujourd'hui le Cornwall n'est que le reliquat de l'ancienne cité des Dumnonii resté aux mains des Britto-romains face aux West-Saxons, APRES la chute de l'empire romain et la prise d'Isca Dumnoniorum / Exeter. Il s'agit donc aux yeux des Anglo-Saxons du secteur des caps resté sous le contrôle des Bretons, secteur connu sous le nom hybride : Kerniu-o-Wealas > Cornowallis > Cornwall. |
Cornovii (de Bretagne armoricaine) : ce nom
est basé sur les ressemblances entre les noms de la
Cornouailles britannique (Cornwall), et de la Cornouaille
de Bretagne armoricaine. Certains historiens en ont tiré
la conclusion de ce seraient des Cornovii du
Cornwall qui seraient à l'origine des Cornovii de
Bretagne armoricaine. De la même façon que les Cornovii du Cornwall sont une monumentale bévue, les Cornovii de Bretagne armoricaine, qui auraient donné leur nom à la Cornouaille, est une bévue toute aussi monumentale que la précédente. D'une part, le Cornwall ne tire pas son nom des Cornovii (voir cet article). D'autre part, la Cornouaille armoricaine est le résultat de la partition en deux de la cité des Ossismes, opérée par l'empereur Maxime, vers 385, et désigne la portion sud de cette cité laissée aux Gaulois (Corn-u-Galliae), tandis que le nord était confié à des Britto-romains, du Menez-Hom / Cruc Ochidient à Kerchouan / Mons Jovis (près de Quintin). Parmi les auteurs qui ont soutenu l'idée Cornovii (venus du Cornwall) > fondateurs de la Cornouaille armoricaine, nous pouvons, sans leur faire offense, citer : - - |
Famille
Cornulier :
CORNULIER, sr de la Haudelinière, de Lucinière, de Montreuil, baron, puis comte de la Roche en 1718, par. de Nort; sr de la Haye, par. de Sainte-Luce; de la Touche, par. de Nozay; vicomte de Rezé, par. de ce nom; sr des Gravelles, par. de Saint-Onen; marquis de Château-Fremont en 1683, par. de Saint-Herblon; comte de Vair, par. d'Anetz; sr du Bois-Maqueau et de la Sionniére, par. de Teillé; comte de Largouët, par. d'Elven; baron de Montrelais, par. de ce nom; sr de la Caraterie et de la Pajotterie, par. de Saint-Etienne-de-Mer-Morte; du Pezle, de Loriére, de la Grande-Haye, de Jasson et de Malnoë, par. de Brains; du Vernay et du Meix, par. des Touches; baron de Lanvaux, par de Grandchamp. Anc. ext. chev., réf. 1668, sept gén. ress. de Nantes. "D’azur au rencontre de cerf d’or, sommé d’une moucheture d’hermine d’argent" "En glazur e arbenn-c'harv en aour, leinet gant ur vrizhenn erminig en arc'hant" Devise / Sturienn : Firmus ut cornus. - Pierre, sr de la Haudelinière, époux en 1490 de Marie de Concoret et Pierre son fils, successivement capitaines des arquebusiers à cheval du sire de Châteaubriant en 1487 et 1525. Cette famille a produit deux maires de Nantes en 1569 et 1605; deux généraux des finances en 1570 et 1588; un capitaine de cinquante hommes d'armes, gouverneur de Nantes, en 1596; - deux grands-maîtres des eaux et forêts et grands veneurs de Bretagne, Jean en 1602, et Pierre en 1642; - Pierre, abbé de Saint-Méen, de Blanche-Couronne et de Sainte-Croix de Guingamp et successivement évêque de Tréguier et de Rennes; décédé en 1639; - Claude, aumônier du Roi, abbé de Blanche-Couronne; décédé en 1681; - sept présidents à mortier depuis 1640; - quatre présidents aux comptes depuis 1674 et quatorze conseillers d'État; - deux chevaliers de Saint-Lazare en 1681 et 1723; - un chevalier de Malte en 1764, commandeur de la Roche-Villedieu en 1774; - un chef de division des armées royales de la Vendée; décédé en 1843; - un commandant des chasseurs à pied de la garde, tué sur la brèche à l'assaut de Sébastopol en 1855, frère d'un contre-amiral en 1868; décédé en 1886. Suivant une tradition rapportée par du Haillan, histographe de France sous Henri III, les Cornulier, dont le nom se trouve
souvent écrit Cornillé, sont issus de Grégoire de Cornillé, très
grand et habile chasseur de cerfs, dont le duc Jean IV changea les armes en I381. Voyez
CORNILLE. |
Pierre Cornulier : évêque de Rennes, en Petite Bretagne, de
1619 à 1629; Il a succédé à François Larchiver, et a
eu pour successeur Henri de la Motte-Houdancourt.
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Famille Coroller : "de sable au cerf passant d'or / en sabel e c'harv tremenant en aour" |
Famille le Corre : "d'argent, au chevron de sable, accompagné de trois quintefeuilles de même / en arc'hant, e gebrenn en sabel, heuliet gant teir pempdiliaouenn keliv" |
Famille le Corre : "d'azur, à une chauve-souris éployée d'or en pal, l'estomac percé de gueules / e glazur, e logodenn-dall en aour dispaket, lakaet e peul, he poull-kalon toullet en gul" |
Famille le Corre de Keruzoré : "d'or, à trois trèfles d'azur / en aour, e deir melionenn e glazur" |
Famille du Coscoat : "d'argent, au lévrier passant de sable / en arc'hant, e c'hadgi tremenant en sabel" |
Famille de Cosnoual : "d'azur, à trois chevrons d'or / e glazur, e dri kebr en aour" |
Famille du Cosquer : "d'or, au sanglier de sable / en aour, e c'houezhoc'h en sabel" |
Famille du Cosquer de Kernecheriou : "écartelé d'or et d'azur / palefarzhet etre aour hag e glazur" |
Famille Cosquerguen : "d'argent, à la fasce d'azur, surmontée d'une merlette de même / en arc'hant, e dreustell e glazur, leinet gant (e)ur voualc'henn kevliv" |
Famille
Cotereau : originaire de Paris; Seigneurs de Maintenon. "d'argent
à trois lézards de sable / en arc'hant e zri c'hlazard en
sabel"
Dominique, conseiller au Parlement de Bretagne en 1603. |
Famille de Cotte : "d'argent, au croissant de gueules; au chef de même, chargé de trois macles d'azur / en arc'hant, e greskenn en gwad; e gab kevliv, karget gant teir mailhenn e glazur" |
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Famille Cottel : Seigneurs de Kerjean, en Louannec. "d'azur à un poignard garni d'or, engaîné de gueules / en glazur, e c'houstilh en gwad krogennek en aour" |
Famille de Couëdic : "d'argent, à une branche de chêne de sinople, à trois feuilles d'azur / en arc'hant, e barr derv geotet, e deir delienn e glazur" |
Famille de Couëtus : Seigneurs
dudit lieu, en Carentoir;
de la Villelouiais et de la Vallée, en Campénéac;
de la Brétaudière, en Saint-Philbert,;
de la Roche-Blanche ?; de Penros. "d'argent,
au rencontre de cerf de gueules / en arc'hant, e arbenn-c'harv en gul".
Devise / Sturienn : "Plutôt mourir que mentir".
* Jean-Baptiste de Couëtus (1744-1796) : page de la reine en 1760; chef chouan, général en second de l'armée de Charette; intercepté et fusillé à Challans le 4 janvier 1796 |
Coupaia / Koupaia : voir Pompée (Sainte) et Langoat. |
Famille Couppu :
Texte de Pol Potier de Courcy; adaptations mineures et traduction
bretonne J.-C. Even
COUPPU, sr de la Couppuaye, par. de Comblessac; du Corrouét; de la Villequéno, par. de Carentoir; de Quélen, par. de Guégon. Réf. de 1427 à 1442, par. de Comblessac et Guer, év. de Saint-Malo. "D'argent à la croix de sable, chargée de cinq étoiles d'or" "En arc'hant e groaz en sabel karget gant pemp steredenn en aour" (Sceau / Siell 1381). - Pierre, surnommé le Sage, sénéchal de Rennes et l'un des rédacteurs de la très-ancienne coutume en 1330, imprimée pour la première fois en 1484; - Guillaume, ratifie (le traité de) Guérande en 1381 et épouse Olive de Liniac, dame de Quélen. - Bertrand, président au parlement du Duc en 1398; La branche aînée fondue dans Raguenel |
Courantguen : évêque de Vannes, en Petite Bretagne, de 848 à 869; Il a succédé à Susan (démissionné et exilé), et a eu pour successeur Dilès. |
Famille Courtois de Fournevez : "d'or, à deux jumelles de sable et trois trèfles de même en fasce entre elles / en aour, e div eilenn ha teir melionenn treustellet etrezo, an holl en sabel" |
Famille Courtois du Ger : "d'argent, à l'aigle éployée de sable / en arc'hant, e erez dispaket en sabel" |
Famille Courtois de Kérantron : "d'argent, au chevron de gueules, accompagné de trois hures de sanglier de sable / en arc'hant, e gebren en gwad, heuliet gant teir joskenn gouezhoc'h en sabel" |
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Famille Le Cousturier du Rortay : (?)
"d'argent à la fleur de lys de gueules / en argant e
vlourdilizenn en gwad".
Pierre, alloué et lieutenant-général au présidial de Nantes, conseiller au Parlement de Bretagne e 1570 |
* Coventina : nom d'une source sacrée à Brocolitia / Carrawburgh. (cf. I.A Richmond; Roman Britain; p 196) |
Famille le Coz : "d'argent, à la croix pattée de sinople / en arc'hant, e groaz pavek geotet" |
Famille le Cozic : "d'argent, à l'aigle de sable, armée et becquée de gueules / en arc'hant, e erez en sabel, krabanet ha pigoset en gwad" |
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Pierre Le Cozic : sénéchal du Trégor sous le duc Pierre II. |
Famille Cozou : "d'argent, à six feuilles de lierre de sinople / en arc'hant, e c'hwec'h iliavenn geotet" |
Famille de Cramezel de Kerbuet : "d'or, à une crémaillère de sable / en aour, e zrezenn en sabel" |
Famille
de Craon : Texte de Pol Potier de Courcy. Adaptations mineures
et traduction bretonne par J.-C. Even
CRAON (DE), (originaire d'Anjou), barons dudit lieu; comtes de la Suze, au Maine, seigneurs de Briolay; de Chantocé; d'Ingrande; de Sablé; de Sillé-le-Guillaume; vicomtes de Châteaudun; seigneurs de la Porte, par. de Maumusson. Losangé d’or et de gueules Talbennanek etre aour ha gwad (Sceau / Siell 1379). - Maurice, sénéchal de Bretagne en 1187 - Guy, croisé en 1190; - Jean, évêque du Mans, puis archevêque du Reims, 1373; - Jean, grand échanson de France, tué à la bataille d'Azincourt en 1415; - Antoine, grand panetier de France, tué à Azincourt en 1415; - Pierre, favori du duc Jean IV, et célèbre par l'assassinat qu'il tenta sur la personne du connétable de Clisson en 1392, se retira après ce crime en Bretagne, où le roi Charles VI marchait à sa poursuite, lorsque la folie de ce prince se déclara dans la forêt du Mans; - Jeanne, épousa Pierre de Beauvau, mort en 1435, et leurs descendants sont qualifiés princes de Craon depuis 1722. La branche aînée de cette maison alliée aux Vitré, Fougères, Bodégat, Lohéac, Machecoul et Rochefort, s'est fondue en 1373 dans les suivants, d'où la baronnie de Craon est passée aux La Trémoille, puis aux d''Aloigny, qui la vendirent au commencement du XVII“ siècle aux la Forest d’Armaillé. |
Crassus (Publius Crassus) : lieutenant de César lors de la Guerre des Gaules; il soumet les Sotiates en ... et reçoit la soumission d'Adiatuanus. |
Famille Crechgrizien |
Famille Crechquerault : "d'argent, à trois tours crénelées de gueules / en arc'hant, e dri tour kranellet en gwad" |
Credigones : nom de peuple cité par Ravenna, 10756. Voir Creones ci-dessous. |
Chremes, archonte d'Athènes en -326 |
Famille de Cremeur : "de sable, à trois quintefeuilles d'argent; une étoile de même en abîme / en sabel, e deir fempdiliaouenn en arc'hant; (e)ur steredenn kevliv ouzh kondon" |
Famille de Cresolles : "fascé, danché, de six pièces d'or et d'azur / treustellet, gourdentek, a c'hwec'h pezh en aour hag en glazur" |
Crida (???) : décède en 593 (ASC) |
Crougin-Toudadigoe : (forme dative) nom de divinité attaché à l'inscription CIL II.2565 du nord-ouest de l'Espagne (cf : Rivet & Smith, Place-Names of Roman Britain, p 327). |
Famille Crocelay :
Seigneurs de la Violais et de la Briançais, paroisse de Fay;
de la Gracinais, paroisse de Blain.
Ext., réf 1668, huit génération, ressort de Nantes - Gilles; seigneur de la Violais épouse en 1440 Jeanne de Lescouble; - un chevalier de l'ordre de Malte en 1644; - Philippe, seigneur de la Violais, grand maître des Eaux et Forêts de Bretagne en 1661. - un page du Roi en 1700. Fondu en 1714 dans Berthou de Kerverzio. |
* Cruthin : nom donné par l'historien O'Rahilly à une vague celtique en Irlande, vers le 6è / 5è siècle avant J.C. Ce nom semble être proche de celui des noms en KRN de (G)Bretagne, peut-être aussi de celui des Coritani. JCE. |
Cuanu / Guanach : nom donné par Nennius à un Scot (irlandais) auteur d'une filiation de Brutus, éponyme selon lui de la G. Bretagne, à partir d'Enée, et au-delà, de Jupiter. |
Cuchulain : |
Cuillus : premier fils de Caunus, et frère se St Gildas. Cuillus succéda à son père. |
Cunadan : évêque supposé de Vannes, entre 919 et 950; Il aurait succédé à saint Bili, et aurait eu pour successeur Blinlivet. |
Cunedda / Cunedag
: chef de clan des
Votadini (Manau Gododdin), venu en tant que
fédéré renforcer les Britto-romains des côtes ouest (nord-ouest
de l'actuel Pays de Galles) confrontés à des problèmes
de piraterie de la part de Scots d'Irlande. Le clan de
Cunedda s'est installé dans la moitié nord du Pays de
Galles, en se basant essentiellement sur les forteresses
de Deva / Chester et Cair Segaint / Caernarvon. Le nom de Cunedda est identifiable dans le nom de personne écossais Kenneth. Il est complété du titre de Wledig, qui signifie "chef de la nation" Les fils de Cunedda : Tybion, Osmael, Rumanus, Dunawd, Ceredig, Aflog, Einion Girth, Dogfael, Edern. ********** Ronan Coglan, Illustrated Encyclopaedia of Arthurian's Legends, p 77, apporte qu'une tradition prétend que la fille de Coel Hen, du nom de Gwawl, aurait été l'épouse de Cunedda. ********** Une page spéciale est en cours de construction |
Cuneglasius (chien bleu, chien gris = lévrier de combat) : l'un des rois bretons destinataires de la violente admonestation de St Gildas, document antérieur à 547. Compte tenu de sa position dans le texte, entre Vortipor au sud-ouest du Pays de Galles, et Maelgwn au nord ouest du Pays de Galles, il est vraisemblable que Cuneglasius soit un roi de la cité des Ordovices, justement situés au milieu ouest du Pays de Galles; la racine *Ordo- a induit certains chercheurs à une identification entre Cuneglasius, qualifié d'Ours par Gildas, avec le roi Arthur. Mais celui-ci était mort le lendemain de la bataille de Camlann, vers 532, il ne peut s'agir du même personnage. |
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Cunetes : nom d'une tribu d'Espagne, probablement d'origine ibérique, donc non-celtique (cf. Rivet & Smith, Place-Names of Roman Britain, p 328 / Cunetio) |
Cunobelinos : roi des Catuvellauni et des Trinobantes,
en Ile de Bretagne celtique. Héritier de Tasciovanos. Il
entretient des relations commerciales et politiques avec
l'empire romain installé en Gaules. Il est gratifié par
les Romains du titre "Britannorum Rex".
Son autorité prend de l'extension en direction des Cantiaci, ce qui provoque des craintes chez les voisins
Atrebates, descendant de Commios. On lui connaît trois fils : Adminios, Caratacos, Togodumnos. Cunobelinos a régné une trentaine d'années environ, et s'est éteint vers 40-41 après J.C. Le personnage est à l'origine d'une pièce de Shakespeare : Cymbeline (1605). En breton moderne, son nom correspond à Konvelen. |
Cunomaglus (Apollo Cunomaglos) : épithète du dieu Apollon, à Nettleton Shrub, 10 miles / 16 km nord-est de Aquae Sulis / Bath, en Ile de Bretagne. L'étymologie de ce nom semble être basée sur * kun-o = grand ? chien ? + *magl- > bret. mael = prince, éminence. |
* Cunovalos : nom de personne celtique, basé sur les racines *Cuno- = chien + *Valos = fort, courageux, valeureux, pour désigner, de façon emphatique : un combattant valeureux. |
Cupif (Robert) : évêque de Léon, en Petite Bretagne, de 1639 à 1646, en remplacement de René de Rieux, dépossédé. Celui ci lui a a nouveau succédé en 1646. |
Cutha : frère du roi saxon Ceawlin, qu'il aide en 568 à refouler le roi du Kent Aethelbert; Cutha est tué en 584 lors de la bataille de Fethanleag contre les Bretons. (N.B : il y a confusion entre ASC/Parker et ASC Laud entre Cutha et Cuthwulf). |
Cuthwine : fils de Ceawlin, roi de Wessex; vainqueur avec son père à la bataille de Deorham, en 577. |
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Cuthwulf : fils de Caeawlin, roi du Wessex; en 571, il bat les Bretons à Bedcanford, et s'empare de trois villages : Limbury, Aylesbury, Benson, et Eynsham; Cuthwulf décède en cette même année 571.(ASC) |
Cwichelm (???) : décède en 593 (ASC). |
Cybèle / Cibèle : déesse mère de Rome. voir page spéciale. |
Cyleddon Wledig : personnage des romans arthuriens, dans les Mabinogion. Il est le père de Cyleddon Wledig, et grand-père de Culwch. |
Cymen : premier fils du roi germanique Aelle, arrivé avec ce dernier en Bretagne romaine en 477. Il a donné son nom au lieu-dit Cymenesora. Il a pour frères Cissa et Wlencing. |
Cynan ap Hywel : Roi de Gwynedd de 1000 à 1003. Il était fils de Hywel ab Ieual. |
Cynfyn ap Gwerstan : Père de Bleddyn ap Cynfyn, roi de Gwynedd de 1063 à 1075 |
Cynddelev : |
Cynegils : devient roi saxon du Wessex en 611, après le décès de ***; en 614, il bat les Bretons à Beandun, en leur tuant 2065 hommes. |
Cynric : fils du roi saxon Cerdic, arrivé en même temps que celui-ci en Ile de Bretagne en 495; il succède à son père en 534; en 552, il bat les Britto-romains à Searoburh / Old Sarum; en 556, en compagnie de Ceawlin, il écrase à nouveau les Britto-romains à Beranburh / Barbury castle; Cynric est décédé en 560, laissant le royaume de Wessex à son fils Ceawlin. |
Cynwal : nom de personne; basé sur les racines *cyn- = prince + * val- = fort, puissant, courageux, valeureux. |
Cyrus : roi des Perses, de -559 à -530 |